Il ouvrit les yeux . Il faisait froid ... il faisait sombre ... Katsuki reconnu un cercueil et il paniqua .
« J-Je suis mort ?! A-Alors pourquoi ?! »
Il donna un violent coup dans la parois en bois mais son poing passa au travers. Il baissa le regard pour constater son corps sans vie . Les yeux fermer . Et il se trouvas étrangement beaux dans ce cercueil .
Son tient était pâle , ses yeux entrouverts semblait vouloir se rattacher à la réalité. Mais leurs couleur ayant disparu il compris rapidement que c'était impossible ...
Alors il se releva rejoignant la lumière . Les oiseaux chantait , il faisait beaux ...
et pourtant un grand vide le remplissait .
Une voiture noire s'arrêta à l'entrée et ses parent en descendirent . Sa mère , la tête basse , tenait dans ses mains une rose écarlate .
Elle s'arrêta juste devant le blond qui s'était assis sur la pierre lui étant consacrer .
« Kastuki ... espèce d'idiot »
Elle releva la tête ses yeux embuer de larme trahissait se sourire qu'elle se forçais à faire . Mais elle craquât . S'écroulant au sol elle pleura la mort de son fils .
Son mari s'agenouilla près d'elle et là sera fortement .
« chérie ... Calme toi ... I-il est dans un monde meilleur d-d'accord ...?»
Sa voie était tremblante .
Il posa sa main sur celle de sa femme qui tenait la rose.
Le blond resta figer devant cette scène ... jamais il n'aurait imaginer cette scène pourtant elle lui arracha un doux sourire plein de tristesse .
Il se baissât à leurs niveaux et le serra bien qu'il leurs passe au travers .
« Je suis désoler » murmura-t-il
Il embrassa le front de sa mère . Et parti .
Personne ne le voyait ... ses parents et l'avait ignoré . [Évidement ... je suis mort]
Il baissât la tête avant de la relever pour regarder le ciel .
« Je suis un idiot »
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Kurikyo : bokuno tenshi
FanfictionBonjour ! Merci d'avoir choisi mon histoire ! Se sera un Kastudeku ! ( Kastuki x Izuku ) Donc c'est un Boy x Boy ! Désoler les homophobes vous pouvez partir ! Il parleras de suicide . Et traiteras des thèmes de violence et de viol . Bien qu'il n'y...