.Six.

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C'était remplie, plusieurs enfants y figurait, leurs âges allant de 4 à 19, je dirais. Marie aussi y était, elle s'occupait d'un tout petit garçon qui semblait s'avoir fait mal. Mais, une autre dame y figurait aussi, elle avais la soixantaine je dirais.

Elle portait un tee-shirt décorée de fleur dont le devant était rentrer dans un simple pantalon noir. Ces cheveux était noir profond ,très bouclée, elle avais un teint terne qui tirait presque vers le gris. Et enfin des cerne figurait sur son visage, sûrement l'âge et le travail. Bizarrement, elle, malgré son âge, ne m'inspirait aucune sympathie.

Elle fixait l'enfant dont Marie s'occupait, le regardant de ces yeux noir, le scrutant du regard en fronçant ces sourcils presque inexistant. Elle était terrifiante.

Soudain, je senti une pression sur la manche de mon t shirt à manche longue.

??? : " Tu est très jolie. " Avait prononcée une mignonne voix d'enfant, une petite fille.

Ainsi, je m'était retournée, dernier moi, une petite fille, 5 à 6 ans, me titrait mon t shirt. Elle était incroyablement mignonne, ces joues était d'une rondeur, elle avait les yeux pétillant et une compote à la main. Lorsqu'elle me vis, un sourire apparus sur son visage rond.

Cette fille m'avais fait complètement oubliée le regard froid de la présumée soixantenaire.

??? ; " Coucou, tu est nouvelle ? " Ça voix était ireelement douce. Elle semblait extrêmement mature.

Moi ; " Oui, je suis arrivée hier soir " Lui avait adressé.

??? ; " Oh, je dois y aller " Elle marqua une pause puis reprit ; " J'espere qu'ont pourras se parler un autre moment. " Dit elle en baissant le regard.

Moi ; " Bien sûr " Avais-je dit en lui caressant doucement lez cheveux.

Et puis, elle était partit en rigolant, d'une raison qui m'est totalemment inconnu. M'enfin, moi je m'était retournée, plus personne n'était là. C'est comme si l'image de tout à l'heure n'avait jamais existé, plus d'enfants, Marie et la vieille dame eux aussi, n'était plus là. C'était vide, plus un bruit.

Lasser, je m'était diriger vers ma chambre, reprenant le même chemin qu'avec lequel j'était arrivée dans ce salon.

Une fois pas de la porte franchit, des cris ce sont fait entendre, provenant du salon. Identique à ceux de la matinée, j'allais sûrement devenir folle.

Quelques heures défilerent, je m'était encore une fois endormie, j'en avais presque oubliée ma faim. Mais celle ci, ne m'avais pas oubliée. Elle m'avais réveiller, plusieurs glousement provenant de mon ventre. Cette fois ci, je devais manger.

Regardant l'heure sur l'horloge, 19 heures et 30 minutes, j'avais l'impression que je n'avais pas manger un jours entiers, peux être est ce le cas. Mais je n'avais vraiment pas la tête au calcul. J'était arrivée dans la salle à manger, la table était remplie, et les chaises eu aussi, ils mangeaient, les enfants était à table. J'avais aisin tirée une chaise, et pris de quoi manger, c'était soupe. Pas de quoi me remplire le ventre, mais à ce niveau là, même un bout de pain me suffirait. Alors, j'avais manger sans aucun mots. Marie était à l'extrémité de la table, la vieille dame était sûr l'autre extrémité de la table rectangulaire. Elles fixait les enfants sans dire un mots, prenant ds bouchée de temps en temps.

Ce silence était presque bizare, nous étions entourée d'enfants de plus bas âges. Mais ils ne fessais rien, mis à part manger rapidement.

Moi j'avais terminer, bien avant eux. Mais j'était restée la, à les observer. Me terrifiant seule en imaginant mes pires scénarios.

" Ceux qui et ont terminer, peuvent se lever. " Avais dit Marie, de ça douce voix.

J'allais partir me lever, mais la veille dame en avait décidée autrement, me faisait sursauter de ça voix grave et qui sonnait telle un bout de ferraille rouillé.

La soixentenaire ; " T/p, pars pas maintenant, j'ais à te parler, suis moi "

Un frisson m'avais rapidement touchée le dos. Mais, je l'avais suivis, que pouvais-je faire d'autre.

Un bureau, vieillot ou la lumière peinait s'installer, malgrés les nombreuse bougies présente dans la pièce. Elle m'avais donc ordonnée de m'asseoir d'un signe de main. Je le fais donc.

La soixentenaire ; " Bon alors, je sais que tu est arrivée hier, mais tu devra bientôt repartir. " Elle marqua une pause analysent ma réaction, croyait elle que cette phrase allait me faire quelque chose maintenant ? Puis elle reprit " Il y'as trois heures apeurés, ont m'as téléphoner, c'était ton juge. Il m'as dis que tu devait aller chez quelqu'un de t'as famille " Ça je le savait, ça parfait totalement logique " Et il ont trouvée, un membre de t'as famille, lorsque je lui ait demandait qui par raport à toi, il m'a répondu qu'il ne s'avais pas et que du devra demain, t'en aller "

Moi ; " Vraiment ? " J'avais dis d'un réflexe.

À vrai dire, je n'y croyait pas vraiment, après tous je n'était arrivée ici qu'hier soir.

M'enfin, je n'avais rien à perdre en y croyant. Alors j'avais reprit ;

Moi ; " D'accord, je peux aller dormir maintenant ? "

Elle soupira puis répondit " Oui, oui ..."

Ainsi, j'était sortit de son terrifiant bureau me dirigeant vers les bras de Morphée. Mon lit était fait, comparée à l'état ou je l'avais laisser, je remercie la personne qui l'avais fait, même si je me doutais que ce n'était que Marie.

J'ouvris donc lentement -du à ma fatigue- mon armoire et sortis le premier pyjama qu'était venu. Totalement noir, après tous je n'avais presque que cette couleur.
J'était telement fatiguée et lasser de cette vie, que j'avais oubliée de me brosser les dents mais tant bien même, je n'en avais de toute façon, pas la force.

Le sol était froid sous mes pieds, le soleil s'incrustais dans ma chambre, enfin peux être pour plus longtemps.

__________________

- To be continued .


- 948 mots.

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⏰ Last updated: Jul 15, 2019 ⏰

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