Vkook - INVISIBLE, World's blood [ARRÊTÉE]

Corde (intro.)

- Yoon !

Jungkook couru sur le sable.

- Allez venez on va dans l'eau ! Profitons du moment !

Tout le monde se mit à courir après lui.

Nous étions sept. Un groupe de sept amis devenu un groupe d'Idols.

Je n'ai jamais compris le sens de la vie, le sens de ma vie. Lorsque je voyais cela, cette merveille du monde, éblouissant.

8 ans.
Mes parents et moi sortions du musée. Énervé, nous rentrâmes à la maison.

Moi, neutre, les regardant se disputer devant moi à propos de "notre enfant, séparation".

- Taehyung ! Q'uest-ce que tu fais ?! Vas dans ta chambre !

Je restai figé, comme si je n'avais rien entendu.

- TOUT DE SUITE ! Cria-t-elle

Sa voix cassante me faisait très peur. Je sursautai et allai dans ma chambre.

Je ne sortis plus de ma chambre jusqu'au lendemain.

Je n'entendais plus rien. Pas de cris, pas de voix.

Je sortis de ma chambre.

Comment réagir ? Lorsque je vis cela, dans un coin du salon. Une chaise, une corde. Un cadavre. Pendu, là chez moi. Mon père, une tête apaisée, les yeux ouvert et la peau pâle. Très pale.

Je le regardais, neutre.

Dans la cuisine, des coups de couteau. Ma mère, coupait des carottes.

- Chéri... es-tu heureux ? Ta vie est-elle parfaite ? Regrettes-tu ? De vivre ?

Pourquoi me dit-elle cela ?

Je la regardai pointer son couteau vers sa poitrine.

Le sang. Il gicla une, deux, trois fois. Trois, quatre, cinq coups de son arme pointu.

- C'est fini ! Fini ! C'est fini Taehyung !

Elle s'écroula. Je la regardais, toujours sans émotion.

Driing...

Je me dirigeai vers la porte et l'ouvris. La voisine.

- Ah Taehyung. Tu vas bien ? Est ce que tes parents sont là ?

- Non, ils ne sont pas là.

- Ah quel dommage j'avais entendu dire qu'ils avaient des problèmes en quelque sorte et je voulais en parler. Oh mais ne t'en fait pas ce ne sont pas des graves problèmes.

Je ne répondit pas.

- Oh heu.. ça va tu es sûr ?

- Oui.

Je fermai la porte.

Plus tard, je fis recueillis par une famille.
Elle s'inquiétait énormément pour moi à cause de mon caractère. Mais je ne comprenais pas, j'allais très bien.

Je fus inscrit en seconde dans un lycée publique à cause de la pauvreté de ma famille.

C'est ici que je rencontrai ce qui me fit oublier mon passer.