Bonheur

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Divine devine des futurs défunts,
Futile et vide de vie, tu feins la faim ;
La faim des miens, mais aussi la fin des tiens, Quoiqu'un peu moins des tiens, dans leurs confins.

La détresse te délaisse de ses caresses ;
De ses tendresses que sciemment le temps déverse,
Et que l'ivresse, nécessairement emporte, s'empresse
De fermer la porte derrière vingt verrous,
Le tout à double tour, mais sans savoir vers où.

Moi j'étais là, regardant les vils sacripants,
Comme un enfant ignorant, dansant dans l'ancens.
Ouvrir ou oublier, mourir ou subsister ;
Ses pensées de tendresses se sont dérobées...

Mes problèmes perlent, meurent, et glissent sur ma peau
Tandis qu'au dessus je m'éveille, et je m'éleve.
De plus en plus haut, et comme des gouttes d'eau,
Mes maux se déversent et te réveillent de tes rêves.

RébellionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant