Imaginez que vous êtes dans votre fast-short-story préféré et que vous venez commander votre menu !
Je compose vos souhaits et vous les apporte à votre table directement. Je vous souhaite un bon appétit de lecture !
@histoires_91
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lesizzl i'm running out of captions
Voir les 68 commentaires 28 août 2018 • Afficher la traduction.
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Je rassemble toutes mes affaires, posées sur ma petite table en verre puis vérifie que j'ai bien tous mes cours pour cette journée à la fac.
Étant donné que j'étudie en fac de droit à Lyon, je me dois de ne rien oublié sous peine d'être paumée devant le professeur.
- Bon, c'est parti, je regarde l'heure et vois qu'il est déjà dix heures vingt-cinq, et merde, je vais être en retard.
Je balance mes cahiers et manuels dans mon sac puis ferme à clé mon petit appartement avant de courir à la station de métro à une dizaine de minutes de chez moi.
Je monte les escaliers me menant aux quais, plus précisément, à mon quai de train, puis cours de plus en plus vite en voyant qu'il commence à repartir.
- Putain !
J'arrive à appuyer sur le bouton, permettant d'arrêter ce maudit train, puis un homme, plus grand que moi, en taille mais pas forcément en âge, me frôle et passe devant moi avant de prendre la place qu'il restait, éloignée des autres passants.
Je regarde partout dans le transport et remarque que vraiment toutes les places sont prises, sauf à côté de cet homme avec des lunettes de soleil puis un gros sac de sport.
Je m'avance à la place à sa gauche puis laisse tout de même, un espace entre nous deux. Je fourre ma main dans mon sac pour attraper mes écouteurs puis les mets dans mes oreilles avant de lancer Ma Bella de MHD.
Je ferme légèrement mes yeux, après avoir envoyé un message à mes deux frères jumeaux, Evan et Liam, âgés de quatorze ans.
Un petit tapotement se fait sur ma cuisse droite, et, par réflexe, je me réveille et retire ma cuisse subitement sous le rire de mon voisin de droite. L'homme mystérieux au gros sac de sport.
- Excuse-moi, je ne voulais pas te faire peur, m'assure-t-il avant de sourire.
- Euh.. non, non, enfin t'inquiètes, tu m'as pas fait peur.
Il hausse un sourcil, malgré ses lunettes de soleil encore posées sur son nez. D'ailleurs, c'est bizarre.
- M'ouais, franchement si t'as pas eu peur, j'ose pas te regarder avoir vraiment peur. Il rit.
