𝐼𝑧𝑢𝑜𝑐ℎ𝑎 [ 𝑇𝑜𝑚𝑒 2 ] ✨

Chapitre 10 : L'alter de Shomo.

On descend des escaliers puis allons à la récréation. Tout le monde part jouer que ce soit de la corde à sauter, du football ou du tennis de table...

« Tu m'as lâché, Fumiyu ! » m'énervais-je.

« C'était pour t'apprendre une leçon ! » tirait-elle la langue.

Je soupire puis aperçois Shomo, qui était assis derrière un fin poteau blanc, esseulé. Les garçons jouaient ensemble mais abandonnaient Shomo. J'eus de la peine dans le cœur.

« Tu m'écoutes, Oku ? » dit-elle.

J'acquiesce de la tête tout en observant Shomo, il était beau...

Soudainement, Fumiyu se positionne devant moi et me fait sortir de mes pensées. Je m'écrie, surprise, ce qui attire Shomo. Sur mon visage, je laissait apparaître quelques rougissements sur mes joues.

« Tiens, pourquoi tu rougis ? C'est Shomo ? » me taquine Fumiyu.

« T'es folle ou quoi ! Il est pas mon genre. »

Elle me regarde d'un air sérieux. Je l'ignore puis je vois une bande de garçons embêter Shomo. Il lui donnait des tapes avec leurs pieds, et semblait dire de mots grossiers. Je regardai la maîtresse qui était occupée à draguer un de ses collègues.

Je cours vers Shomo, mais c'était trop tard car il avait utilisé son alter. Je m'arrête en le regardant faire. C'était de la télékinésie. Le jeune homme active sa télékinésie en dirigeant avec ses doigts la bande de garçons. Ils étaient tous en l'air et s'écriaient ce qui attire l'attention d'un maître qui discutait avec ma maîtresse qui la draguait.

Les deux profs viennent en courant en essayant de stopper l'alter de Shomo. Il avait un regard noir, haineux semblait-il. Le maître emmène Shomo chez le directeur tandis que la maîtresse grondait la bande de garçons.

« T'as vu ! L'alter de Shomo est de la télékinésie ! C'est ridicule, totalement absurde ! »

Je la fixe avec de grands yeux tueurs.

« RETIRE CE QUE TU VIENS D'DIRE ! » m'écrie-je.

Elle s'exclame elle aussi, la maîtresse vient vers nous. Et essaye de comprendre la situation.

« Ce n'est pas bien de se moquer des alters des autres ! » gronde la maîtresse.

« Surtout le tien, Fumiyu. Qui est de voler comme un écureuil volant ! » ajoute-je.

« Et toi, tu te tais. Oku ! » me dit violemment la maîtresse.

La cloche retentit. Fumiyu se range avec une autre personne. Moi je me range seule, puisqu'on était en nombre impaire sans les autres.

En classe, je me souviens de la phrase violente qu'a dit la maîtresse : « Et toi, tais-toi. Oku ! » Ceci me traumatise et me fait affreusement pleurer...

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Voilà pour ce chapitre ! J'espère qu'il vous aura plu ! J'ai eut pas mal d'inspiration donc c'est pour ça que j'ai continué !

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~ Au delà des limites ~
~ Plus ULTRAAAAAAA ! ~
( ça datait cette phrase :B )

KimLinku
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Publié le Samedi 11/05/2019
13h51