Chapitre 1 🥀

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Le soleil tape sur l'eau cristalline, de cet endroit magique, je me trouve là, à marcher pied nue, sur le sable chaud.
Voilà l'endroit où j'ai trouver refuge, celà fait maintenant bien 3000 ans que les Pevensie sont rentré, dans leur monde, Peter à maintenant 20 ans et moi 18 ans.
Je n'ai pas tant changer que ça.
Je suis là, à attendre que le jour de refaire surface, arrive.
C est le jour où Océan reviendra.
Je marche jusqu' à une belle petite maison, et m'assois en soufflant, je prend un cadre photo, où se trouve Peter et moi dans les bras.
Je souris et caresse le visage de celui que j'aime.
Je souffle encore une fois et ferme les yeux.
Je veux les revoirs...tout les 4...

Je les réouvre avec un sentiment glacial.
Un grondement ce fait dans le ciel, mais il est... comment dire...lointain.
Je souris et sort de la petite cabane et regarde le ciel remplis d étoile, maintenant.
C est bientôt le jour de partir...

Je souris encore plus.

Pdv de Peter

Je fou une droite dans le visage d'un de ses idiots, pour qui se prennent-ils à me bousculer et à me demander de m excusé!
Je sais très bien que Elerinna aurait soufflé et si elle aurait était là, elle nous aurait envoyer chacun dans un mur avec ses pouvoir de gardienne.
Mais elle n'est pas là et je ne la reverais jamais !
Il y a de belle filles à Londre, mais je le sais, au fond de moi, c est Elerinna la femme que j aime, elle seule et personne d'autre, qu'elle.
Alors que les deux idiots s acharnent sur moi, Edmund arrive et saute sur l'un d'eux, je prend le dessus sur l autre.
Alors que nous nous battons, un contrôleur arrive et nous sépare avec force.
Je regarde l autre droit dans les yeux et très vite toute la foule qui c'est attroupé se disperse, ne laissant que mes soeurs et mon frère.
Je me tourne vers Edmund, la rage dans la voix.
- Je n avais pas besoin de ton aide !
Ce dernier me regarde droit dans les yeux.
-Ah bon car on dirait pas.
Je ne dis rien et prend mes affaires, passe devant, tout en le bousculant. Susan me regarde exaspéré.
Je ne dis rien, et continue d avancé.
Ils finissent par me rejoindre sur un banc, en attendant le métro.
Edmund s assois à ma droite et Lucie à ma gauche.
- Ça me manque Narnia. Souffle Lucie, brisant le silence lourd qui nous entouré.
Mon coeur se sers, quand je l entend dire ça.
- Il faut se faire une raison, nous ne retournerons plus jamais à Narnia. Souffle Susan, me brisant le coeur.
Je ne dis rien et reste dans le silence.
D un coup Susan chuchote.
- Oh non cacher moi...
Je la regarde sans comprendre et elle m indique derrière elle, je regarde et aperçois un garçon de son âge, je pouffe de rire.
D un coup Lucie se lève et sortant un Aie.
- Qu'est ce qui te prend Lucie ? Fait Edmund.
- Quelque chose ma pincé. Je regarde, là où elle se trouvait mais ne vi rien. Puis d un coup quelque chose me pousse à me levé.
Je ne comprend pas et me lève à la hâte, un vent se fait dans la station de métro, très vite Susan et Edmund se lèvent à leur tour, et nous regardons autour de nous, la brise se fait bien plus violente, et encore plus quand un métros passe, arrachant les carré de ciment. Nous nous mettons à regarder droit devant nous, et comme dans un rêve, la station se transforme en une sorte de petite caverne, nous laissant voir l extérieur, une belle plage, l'eau couleur cristalline.
Je souris, sentant la joie en moi.
Lucie nous regarde, un regard joueur.
Très vite elle fait.
-Le dernier à l eau n est autre qu' un oeuf pourri ! Dit elle, elle se mit à courrir en riant. Je souris et la rejoins dans sa course folle.
Les deux autres sur nos talons, nous terminons à l eau, a s amusé comme des enfants.
Très vite nous nous arrêtons quand Edmund s exclame.
- Ou somme nous ?
- Réfléchi un peu! Dis je avec joie.
- Je ne me souvenais pas qu'il y avait des ruines à Narnia. Répond ce dernier pas très sûre.
Je lève le regard et aperçois effectivement des ruines et pas une petite.
Nous nous mettons en route vers ses ruines étrangement, familière.
Nous arrivons et commençons à faire le tour.
Très vite, un sentiment d horreur me prend, puis de la tristesse.
J'entend Lucie dire, de là où je suis.
- Je me demande bien qui vivait là.
Puis Susan répond.
- Je pense que c'était nous.
Quoi? Je vais les rejoindre et je retrouve Edmund une pièce d échec dans la main.
- C est une pièce de mon jeu d'échec !
-Quel jeu d'échec ? Je demande perdu.
- Je ne joue pas avec de simple pièce, je joué avec des pièce en or massif.
- C est pas vrai... soupir Lucie.
Puis elle marche vers je ne sais où.
- Qu' est ce qu' il te prend Lucie. Je demande.
Elle me regarde avec évidence.
- Vous ne comprenez pas ?
Elle viens vers moi et m' attrape les vêtements, elle metire sur une plateforme.
- Tu ne comprend pas ?
- Quoi ? Je demande, perdu.
Elle me place face à une grand aller, majoritairement détruite, tout en nous placant elle dit:
- Imaginez vous, des murs, et là des colones et pour finir un toit de verre. Mon coeur se fissure, quand je compris.
- Cair Paravel...
Elerinna...
Susan me regarde avec peur...
Nous continuons notre expédition, quand Edmund s agenouille face à un rocher.
- Des catapulte...
- Comment ?
Ed' se tourne vers moi et dis avec évidence.
- Ce n est pas arrivé naturellement, Cair Paravel à était attaquer.
Je relève la tête, doucement tout en digerant l annonce.
Je pose mon regard sur un mur que je connais bien. Je me dirige vers lui, Edmund sur mes talons, avec son aide nous poussons le mur, laissant apparaître une porte en bois, je mis quelque petit coups et arrive à enlevé un maximum de bois sur la serrure et ouvre la porte.
Je prend un couteau et m arrache un morceau de ma chemise. Que j enroule autour d un morceau de bois. Je me tourne vers Edmund et lui demande:
- Tu aurais des allumette sur toi ?
Edmund souris à nos soeur, ouvre sa sacoche et dis sur un tont rieur.
- Non mais j ai ça si tu veux. Dit il en me sortant une lampe torche.
Je pouffe de rire.
- Non mais Franchement t'aurais pas pu le dire plutôt? Nous ricanons, puis Ed' passe devant, je laisse passer les filles et nous descendons sous terre. Quand nous arrivons, je vis des rayons de soleil traversé des troue qu il y a dans le plafond, Lucie s arrête et observe, moi je passe devant et ouvre les grilles, je regarde tout autour de moi et dis encore surpris.
- J y crois pas tout est encore intacts...

Dans cette sale se trouve 5 coffres, dont 2 en or, 2 en argent et un couleur or et 4 pierres précieuse, une bleu, une verte, une transparente et une rouge.
Les élément...
Et derrière chaque coffre, une représentation des rois et reines se trouve.
Mes soeurs et mon frère vont à leur coffre, alors que moi, je trouve un emblème d Aslan, remplis de poussière.
J entend la voix de Lucie s'exclamé.
- Que j étais grande !
Susan dis sur un tont joyeux.
- Normal tu étais plus âgée.
- Alors que maintenant des centaine d année plutard, tu es plus jeune. Commente Edmund sur un tont rieur.
Je fixe une statu qui est au milieu. Une belle femme, habillé d une magnifique robe, une épée dans les mains, des longs cheveux descendant en cascade derrière sont dos et une couronne sur la tête. Elerinna.
Je souris, puis regarde l emblème d Aslan, je souffle un bon coup dessus et souris un peu plus.
Je pose l objet et me tourne vers mon coffre.
Alors que j avance vers ce dernier j entend mes soeurs parler.
- Qu'est ce qu' il y a ? Demande Lucie.
- Ma trompe, elle a dû rester sur ma selle, le jour où nous somme parti.
J arrive devant mon coffre et regarde la statue, puis entrepris d ouvrire, ma famille se tourne vers moi et me regarde quand je sors mon épée. Je la regarde et dis d une voix mélodieuse...
-Quand Aslan montre ses crocs, l hiver meurt aussitôt...
Puis Lucie prend la suite...
-Quand il secoue sa belle crinière, le printemps réchauffe la terre. Tout ceux que nous avons connu, Mr. Tumnus, Mr et Mme Castor, ne sont plus là.
Je baisse le regard essayant de garder mes larmes, espérant qu' elle soit toujours là à Narnia...
Susan se tourne vers moi, je les regarde tous et déclare.
- Nous allons découvrir ce qu' il se passe....

Je prend ce dont j'ai besoin, et alors que je prenais une tenue, quelque chose de brillant tombe de celle-ci. Je me penche et l'attrape, je me fige quand je reconnais ce que j ai dans la main.
Le pendentif que nous avons fait Elerinna et moi...
C est un pendentif qui prouve notre amour, et à l intérieur, il y a le visage de celui qu'on aime.
Je l'ouvre et souris, j'essaye de retenir mes larmes, mais impossible...
Elle me manque tellement...
Son visage fin, ses lèvres, que j'aime tant embrassé, ses beau cheveux brun, et ses yeux... ses yeux, d un bleu cristal, qui m'a tant fait voyager dans tellement de monde, ses yeux remplis de puissance, d'intelligence, de beauté, d'amour, mais aussi d'un lourd passer.
Je le prend et me le met autour du coup.
Alors que nous allons partir, je me tourne vers la statue de Elerinna, Lucie viens près de moi et dis d une voix remplis de compassion et de sûreté.
- Elle est en vie, j'en sûre.
Je la regarde et souris.
- Merci de me rassuré petite soeur.
Je lui prend la main et nous partons.
Je veux être sûre qu' elle va bien...

Une cinquième reine... Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant