XII.

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Je le vois bien. Je le sais que tu te moques de moi. Les coups et les injures que tu m'infliges chaque jour, du matin au soir. Ça t'amuse hein ? Et ça continuera de t'amuser jusqu'à ce que tu ai ma mort sur la conscience. Mais ça pour l'instant, tu ne t'en doutes pas.
J'ai hâte de voir tes larmes couler quand tu le découvrira. Les coups que tu recevras tant tu auras attisé la haine vers toi. Et pourtant c'est pas comme si tes futurs bourreaux me défendent quand tu t'en prends à moi. Encore une fois, juste pour le plaisir t'attiser la haine, la souffrance. Bien fait pour ta gueule. J'espère que tu en crèveras. Mais pour l'instant je te regarde faire, je souffre mais je ris intérieurement. Je ris de voir à quel point tu fais pitié. Tu as besoin de t'en prendre a quelqu'un de plus faible que toi pour exister.
Juste désespérant.

Je ne voulais pas leur faire mal, juste les tuer. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant