Point de vue de Barthelemy :11 ans était passer, et pourtant pas un seul jour ne passe sans que je ne pense à ce qu'il c'est passé. Je crois que j'ai cessé de me battre depuis bien longtemps, et même si mon tatouage sur mes phalanges fait croire le contraire; au fond de moi je sais que j'ai arrêté d'y croire. Tout les soirs, les images me reviennent en tête et même si j'avais 8 ans à l'époque, elles ne se sont pas atténués avec le temps, bien au contraire. Je me rappelle absolument de tout, l'odeur de sang qui avait était versé en abondance ce soir là, les cris qui résonnaient, les coups...j'aurais préférais mourir, si j'avais sus que cela me suivrais toute ma vie. J'aimerais voyager dans le temps, revenir en arrière et ne pas être descendu en douce ce soir là, mais le petit garçon que j'étais n'en faisait qu'à sa tête, curieux et joueur. Je suis bien loin de tout ça maintenant putain. J'ai compris trop tôt que la vie est cruelle et que les gens qu'on aime le sont tout autant. Après ça, j'ai commencer à me renfermer sur moi même, je me méfiais de tout et de tout le monde, je ne sortais plus, je n'aimais plus... Et encore ce soir je me rappelle en boucle ce fameux tournant dans la vie d'un petit garçon qui à tout changer. Ma vie a plus que changer, ce soir là, elle a exploser en plein de petits éclats et je sais que jamais je n'arriverais à recoller les morceaux même si j'avais toute l'éternité devant moi, rien ni personne ne pourrais soulager le fardeau qui me ronge l'esprit depuis 11 ans, absolument rien...
Flash-back : 11 ans plutôt
J'étais un petit garçon tout ceux qu'il y a de plus normal, une mère aimante, une petite sœur que je chéris plus que tout, un père stricte mais qui a toujours fait attention à ce que je sois le petit prince. C'est vrai, j'étais l'ainé et le seul fils de la famille, j'étais traité comme un roi, mon père ma toujours apprit que les hommes de cette famille sont puissants et très respectés. Il me disait tout un tas de choses quand il rentrait du travaille, la plus part du temps trop compliqué pour un petit garçon de mon âge, mais je l'écoutais toujours avec admiration, plus que ça, j'idolâtrais mon père avant...
Un soir il n'est pas rentrer pour le dîner, mais ça lui arriver parfois, j'ai manger mon repas en silence, jouer un petit peu avec ma sœur dans la salle de jeu puis j'ai fais ma toilette et je suis partie me coucher dans mon grand lit bien douillé. Et c'est là que j'ai entendu, la porte d'entrée s'ouvrir en bas, au beau milieu de la nuit, des chuchotements, quelques choses glissait sur le parquet du séjour, comme si on traînait un meuble. Qu'est ce que mon père pouvais bien faire à une heure pareille ? Est-ce qu'il a eu une frénésie et a décider de changer tout les meubles de place ?
Je n'en sais rien du tout. Alors j'ai refermer les yeux et essayais de me rendormir. Les bruits c'étaient tuent j'étais sur le point de me rendormir quand cette fois-ci j'ai entendu des cris, pas des cris comme pousse ma sœur quand elle a faim, non des cris de frayeur, de douleur. Alors sans réfléchir j'ai poser mes pieds sur le parquet et j'ai commencé à sortir de la chambre en douce, en regardant d'abord par l'entrebâillement de la porte pour voir si personne n'était dans les parages. Rien, la voit était libre. Alors je me suis engagé dans le couloir sur la pointe des pieds pour arriver au grand escalier. J'ai descendu les marches, une par une, guettant les horizons, mais là encore toujours rien. Je me suis introduis dans le séjour et c'est là que j'ai entendu les cris s'intensifier, je n'étais pas loin. J'ai donc tout simplement suivis le bruit, dans l'obscurité quasi complète de la maison et c'est comme ça que je suis descendu à la cave. On n'y voyait absolument rien dans le couloir et j'étais obligé de m'accrocher à la rambarde pour ne pas louper une marche en descendant. Le sous-sol de la maison est grand, mais je n'ai pas trop de mal à trouver l'endroit d'où proviens ces gémissements plaintifs. Une porte, qui n'étais pas complètement fermer, laisser échapper une lumière dans le couloir. J'avais peur, mais plus que tout je voulais savoir ce qui était à l'origine de tout ce raffut ! Est-ce que mon père était en danger ? Je devais le savoir !
La curiosité l'emporta sur la peur et j'avança, ridiculeusement lentement vers la source de lumière. Les cris me faisais sursauter chaque fois, et une fois arriver je glissa ma petite tête dans l'entrebâillement de la porte. Les murs étaient en pierre, le sol aussi mais tout avaient toujours étaient comme ça ici. Sauf les chênes accrocher aux murs et un homme pendu par les mains et les pieds. Il était différent ça je l'ai tout de suite remarqué, il dégagé quelque chose de différent des Démons, mais qui pouvait-il être ? Il avait la tête baisser vers le sol, ses beaux habits blancs et bleus étaient froissés et même déchirés à quelques endroit qui laisser voir des entailles profondes. Ce pauvre homme avait l'air de souffrir, j'avais mal pour lui mais je n'ai pas put entrer dans la pièce. Car au même moment mon père sortit de l'ombre et s'approcha de l'inconnu. Il avait un air sérieux, méchant même, jamais je ne l'avais jamais vu aussi en colère. Il tenait une dague dans sa main droite qu'il approchait de plus en plus près du visage de l'homme, un frisson me parcourut quand la voix de mon père retentit dans tout la pièce.
- Dit moi pour qui tu travaille !
Dépêche toi ! Le prisonnier, parce que maintenant je savais que sans était un, ne répondit pas et mon père fou de rage donna un coup sur son visage, je ferma les yeux prêt à entendre encore un autre cris mais rien, j'ouvris les yeux doucement et aperçu une balafre sur la joue de l'homme, le sang coulé dans son cou et sur sa chemise mais cette fois-ci il ne criait pas, il serré les dents et il leva la tête vers moi, son regard était triste, inquiet, mais étrangement on aurait dit qu'il c'était contenu pour moi. Mon père balança son poing dans sa figure et je recula contre le mur du couloir. Je n'en pouvais plus de ce spectacle. Et au dernier coup de mon père, je savais qu'il n'allait par tarder à abandonner et sortir de la pièce et il ne fallait absolument pas qu'il me vois ici. Alors je me suis précipité dans les escaliers en entendant les paroles menaçante de mon père qui disait qu'il reviendrait plus-tard pour lui soustraire des informations. Je ne comprend rien à ce qui arrive ce soir. Est-ce que je suis entrain de dormir ? Je suis bien obliger d'admettre que tout est réel lorsque j'entre dans ma chambre et me réfugie sous la couette. Les minutes passent et j'essaye toujours de retrouver un rythme cardiaque normal. Des grincements dans les escaliers ce font entendre et je sais d'or et déjà que c'est mon père qui part se coucher comme si de rien était. J'entends ses pas sur le parquet du couloir et la poignet de ma porte de chambre cliqueter, mince, il vient sûrement vérifier que je dors, alors je ferme les yeux en croisant les doigts pour qu'il ne remarque rien et c'est ce qu'il se passe cette première nuit, mais ça c'était avant que j'y retourne quelques jours plus tard.
VOUS LISEZ
Forever And Ever In The Sky
RomanceVictoire est un ange, Barthelemy un démon. Ils se haïssent ! Elle a tout prévu pour que cette première année à l'Université de Sky soit parfaite, mais ça c'était sans compter sur l'aide de ce démon arrogant et provocateur. Un vrai badboy, cruel mai...