Plus je te parlais, plus je savais,Combien je t'aimais.
Combien je te désirais et combien je t'adorais,
Aussi combien ne te voir m'aimer me faisais souffrir.
Même la tête vide, ton visage apparaissait avec ce sourire,
Qui n'était pas miens, car j'étais l'autre.
Me rappelant que ton cœur appartenait à une autre,
Une autre que je n'étais pas, car j'étais lâche
Dont je désirais tant prendre la place,
Une autre dont ma jalousie s'intensifiait chaque jour que vous passiez ensemble,
Mais jamais je n'aurais l'audace d'affirmer ces sentiments car il me semble
Que ma lâcheté ne veux pas effacer violemment par un rejet, ce sentiments si doux.
Garder au fond de moi cette douleur mais rester dans l'insouciance et le confort de pouvoir conserver cet espoir dévastateur et fou.
Pour continuer à faire vivre au fond de moi, les fantasmes et les illusions dont mon cœur a besoin pour supporter encore, les jours dont l'intérêt se dissipe.
Je t'aime mais jamais tu ne saura
Et je garderai toujours enfouis
Ce sentiment pur et inscrit
Dans mon cœur froid et délicat.