La jeune fille , la mort et le lampadaire

Titre de la partie

17 mai 1921
Elisabeth- jane Courter avançait a pas rapide dans les rues de Londres. Une fine pluie commençait à tomber éclaboussant au passage de minuscules goutte d'eau les chaussures de la jeune femme.

Dans un instant le drame va se produire elle va mourrir mais ça elle ne le sait pas encore ; comment pourrait elle le savoir .

10 mètre plus loin il y a un lampadaire et juste à cotée attends une magnifique lady toute vêtu de noir avec de beaux yeux argenté et brillant comme la lame de aiguiser d'un poignard ; ses yeux son fardée de noir , sa bouche émet un sourire démoniaque elle n'attend qu'une chose et cette choses se nomment Elisabeth.

Cette femme c'est la mort elle a pour mission d'arrêter les souffrances de ceux qui ne veulent plus vivre , mais une fois par jour la mort a le droit de choisir une personne innocente à emmener dans son monde.

Elisabeth arrive enfin au niveau du lampadaire la rue est déserte. La mort saisi son grand couteau et poignarde Elisabeth au passage celle ci ne s'en aperçoit même pas et continue son chemin la robe tachée de sang.

Surprise la mort la mort lache son poignard et court après la jeune fille. Elle la rattrape en un rien de temps et l'arrête.

-toi là!!! Pourquoi est tu encore en vie ? Lui demande la mort
-c'est très simple madame repondit celle ci , c'est parce que je vous ait reconnu vous me poursuivez depuis des jours et des jours, je vivais dans la crainte de vous, mais aujourd'hui en vous voyant j'ai compris que j'etait condamné. Je suis déjà morte madame en même temps que celle qui n'ont pas osez vous affronter. Alors maintenant si vous le désirez vous pouvez m'emmener avec vous dans votre royaume je suis prête j'arrive.

Elle avait parlait d'une voix très calme mais la mort sentit la tristesse de sa voix ; et pour la première fois la mort décida d'épargner sa victime.

Elisabeth ne le sût jamais même elle fut la première personne à avoir échappé à la mort.
Elle devint une femme intelligente et forte et lorsque on lui demander d'où venait sa détermination et son goût de la vie elle répondait:
- de la mort