Juste une nuit... ou pas

779 21 6
                                    

Cela faisait maintenant 5 mois que j'étais en couple avec Ronald Weasley. Mais je n'étais pas à l'aise avec cette relation. Je l'embrassais mais je ne ressentais absolument rien. J'avais presque honte de lui tenir la main en publique. Nous avions déjà couché ensemble, mais c'était très loin de mes attentes. Et c'était bien moins exceptionnel de ce que les autres racontaient. Et c'est pourquoi j'avais un secret. Personne n'était au courant. Ils ne l'accepteraient jamais.

•Flash back•

Je zig zagais dans les couloirs. Trop saoul pour réussir à marcher correctement. Ma tête tournait, mon esprit était embrouillé. Quand j'aperçus un silhouette s'approcher de moi. Nous marchâmes l'un vers l'autre, quand arriva le moment de nous croisé et de continuer notre chemin, je perdis l'équilibre et tomba. Je voyais le carrelage geler s'approcher violemment de mon visage. Je ferma les yeux par reflex, attendant le choc quand il main s'agrippa à mon poignais. Je tourna la tête et vit une touffe blonde écheveler. Il m'avait rattrapée de justesse avant que ma tête ne cogne contre le sol. Il m'aide à me relever et j'essaya de le remercie mais aucun song compréhensible ne sortie de ma bouche. Alors je me contenta de le regarder droit dans les yeux. Mes idée était embrouiller et confuse. Je savais que je devrais m'éloigner au plus vite de lui, mais je n'arrivais pas à me souvenir pourquoi. Puis, mon regard descendis vers ses fines lèvres rosés. J'avais terriblement envie de l'embrasser. Je ne savais pas pourquoi mais c'était comme ça. Elles avaient l'aire si douce. Je en perdit pas un instant de plus et écrasa mes lèvres contre les siennes. Il me repoussa presque aussitôt. Me regarda par la suite avec ses yeux célestine remplie d'incompréhension. Il avait l'aire perdue et indécis. Puis, après quelque seconde de silence, repris le baisser. Un baiser doux et délicat , mais qui devint très vite passionner lorsqu'il inséra sa langue dans ma bouche. Mes mains slacrichait désespérément à sa nuque tant disque les siennes tenait fortement mes hanches. Descendant peut à peut vers mes fesse. Il sentait l'alcool, mais je m'en fichait. Il me plaqua violemment au mur, faisant entrer en contact ma tête avec le mur de pierre. Sur le coup, s'a me faisait quand même mal, mais je bleu pas le temps de m'en soucier qu'il souleva mes cuisse pour que j'enroule mes chambre autour de son bassin. Je ne sait pas combien e tend nous restâmes là à s'embrasser. J'avais perdue la notion du temps depuis bien longtemps. Puis, sans que je m'en rende réellement compte, nous nous retrouvâmes dans une salle de classe vide, moi coucher sur une longue table. Je vous laisse deviner de quelle façons c'est terminé la soirée.

•Fin du flash back•

J'étais dans mon cours de métamorphose, quand je reçus un bout de parchemin déchiré sur lequel était griffonné quelque mots « salle sur demande 21h. M. » Je souris à cette pensée. Depuis cette fameuse nuit, tout avait changer entre nous. Au début, nous nous étions ignorer, faisions comme si rien ne c'était jamais passer. Puis, un soir où il ne restait que nous deux dans la bibliothèque, j'avais été le voir à sa table. A mon avais, il fallait parler de ce qui c'était passer pour passer à autre chose. S'en était suivie une violente dispute qui volerait fini en baiser brusque et sauvage, mais pas piur autant moins passionner que la dernière fois. Puis, d'autre retrouvaille nocturne avait fini par nous rapproche de plus en plus.

Cela faisait un moment que nous nous étions donner un rendez-vous, et je dois avouer que ça commençait à me manqué. La cloche sonna annonçant la fin des cours. Je ramassa mon matériel et sortie de la classe accompagné de mes deux meilleurs amis. Les heures passèrent et la soirée était interminable si vous voulez mon avis. 21 heures arriva et je quitta discrètement mon dortoir. En arrivant des cours, lorsque personne n'était encore arriver, j'avais pris soins d'aller chercher la cape d'invisibilité d'Harry et la ranger dans ma mâle. De cette manière, je pourrais tranquillement vagabonder dans les couloirs sans craindre d'être attrapée par Rusard. Arrivé devant le fameux mure de pierre, je ferma les yeux et pensa au vert et argent. Une fois la porte de fer forgé apparue en face de moi, je pénétra dans la grande pièce apparu à la penser du serpentard. Un grand lit au couvre lit argenté trônait en son milieu. Un lustre au diamant parfaitement sculpté était suspendu au plafond. Plus loins un foyer où crépitait les  flamme couleur rubis qui réchauffait doucement la pièce en cet hiver glacial. Un grand fauteuil de cuire était placé juste devant. Une tête blonde dépassais du haut du dossier. Je m'approcha doucement de lui, accota mon ventre contre le dos du siège et passa mes mains sur son torse. Je le vis tranquillement tourner la tête en ma direction.

Juste une nuit... ou pas Où les histoires vivent. Découvrez maintenant