Horreurs mortelles🔥

Chapitre 5 -FOLLE ?-

Un policier m'interpella et me dit d'une voix à peine audible que je pouvais partir, mais pour mieux entendre ce qu'il me disait je me rapprochais de lui.
Et là! !☠!BAM!💥! Je m'éfondrais sur le sol sans comprendre ce qui venait de m'arriver! Je pausa ma main sur mon ventre et quand je la renleva, du sang rouge foncé casiment noir la recouvrait! Les policiers détachèrent Yohan et le transportèrent dans l'hélicoptère qui venait de se poser, quatres hommes arrivèrent vers moi dont celui qui m'avait tiré dessus, ils me mirent sûr un brancar pour ensuite m'enmener dans l'hélicoptère de sauvetage. Je voulais réajir, me débattre mais j'étais impuissante, et beaucoup trop faible pour faire quoi que soit, j'avais mal, à cet instant tout ce qui comptais c'était que je reste en vie... Mes yeux se fermèrent pour me plonger dans un long sommeil.
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Quand mes yeux s'ouvrirent avec difficultés, je me trouvais à l'hôpital, allonger sur un petit lit blanc, j'étais seule dans la petite salle, un bandage serré à mon ventre.J'ÉTAIS ENCORE VIVANTE !😈

J'essayais de me mettre debout et d'enlever tous les fils accrochés à ma peau mais j'arrivais à peine à tenir sur mes deux pieds, je réussis tout de même à clencher la porte et aller dans le couloir. Des gens et des infirmières y passaient en me désisageant et en s'écartant au maximum de moi.
Quand j'arrivais devant un ascenseur, je le pris pour déscendre d'un étage, après je me mise à marcher dans les longs couloirs en cherchant désepérement une porte de sortie, mais quelque chose me freina, dans une des salles dont la porte était entrouverte j'aperçut mon père, ma mère, Axel, Rose et son mari ! J'ouvra la porte sans faire de bruit et m'incrustais derrière eux. Yohan était allongé sur un lit, son corp recouvert de bangades ne bougait pas !

Rose se tourna vers ma mère et lui dit:
《Je n'arrive toujours pas à croire que ta fille est fait une chose pareille😢.
-Ne l'appelle plus ma fille, ce n'est pas fille, ses actes étaient inhumain! Je m'excuse sincérement de l'avoir mis en vie et de l'avoir emmené chez toi, je m'en veux horriblement ! Mais je ne compte pas la laisser s'en prendre à une autre personne! Avec André (père de Lola) on a pris une décision.
mon père répond:
-Quand elle sera rétablie, elle ira dans un asile psychiatrique pour les enfants fous, comme elle ! Et nous souhaitons qu'elle y reste longtemps !
suite à ces mots je criais:
-JAMAIS ! JAMAIS J'IRAI DANS UN ASILE DE FOU ! Je ne suis pas folle !》

Tout le monde se retourna brusquement. Dans leurs regards noirs je sentis qu'ils me destaient tous ! C'est comme si ils essayaient de me tuer rien qu'en me regardant.
Mon père essaya de me giffler mais à la dernière seconde il retira sa main, je pense qu'il avait peur de ma reaction si il me gifflait il pourrait finir dans le même état que Yohan. ....Ce qui va peut-être se produire...

Quelques minutes après un long silence, ma mère essaya de sortir de la pièce mais je me mis en travers de son chemin.
《Lola, laisse moi passer, dégages !
-Depuis quand tu dis des gros mots ! Je ne bougerai pas temps que tu voudras me mettre dans un asile ! 》
Soudain ma mère me vomissa dessus ! Beurk ! Non mais c'est écoeurant ! Comment est ce qu'elle a osé faire ça ! J'ai du vomi partout sur moi et ça empeste. Elle va me le payer !!! Elle va vite regretter son geste ! J'aggripais rapidement un scalpel qui était posé sur une petite table à côté de moi et je tenta de lui enfoncer dans coeur ! Mais avant que je puisse le faire, quelqu'un me poussa dans le dos, et je tomba réde au sol, et le scalpel me transperça le doigt ! Axel, me tirait la langue, c'était lui qui venait de m'humilier en me faisant tomber ! Arg... Lui aussi il va me le payer! !!! ILS VONT TOUS ME LE PAYER !!!

Je me relevais comme je pouvais pour prendre ma vengeance mais quatre infirmières m'attrappèrent les bras et le ventre puis me trainèrent jusque dans les douches. Elled verouillèrent la porte et me laissèrent m'enlever le vomi.

Quelques minutes après j'enfilais des habits blancs à des points bleus qui puaient la transpirations🤢, et je réfléchis à une solution pour m'enfuir de cet hopital. Je ne pouvais rien faire dans cette pièce donc je laissais les femmes me trainer jusque dans le couloir, puis je donnais soudainement un coup de poing dans la figure d'une infirmière et un coup de pied dans les jambes d'une autre qui tomba par terre, et de ma deuxième main je tirais les cheuveux de la troixième infirmière, mais la quatrième me planta dans le coup une grosse seringue, sans m'avoir laissée le temps de faire quoi que se soit, je tomba dans les pommes.

-FIN DU CHAPITRE 5-