Chapitre 2.

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Précédemment :

De, Alyson Carter :

Je fais ce que j’ai envie, je n’ai pas peur de toi, Hood.

Je sais que je joue avec ses nerfs, mais je ne vais pas me laisser abattre comme ça sous prétexte qu’il s’appelle Calum Hood, qu’il est vraiment populaire, et qu’il est un peu flippant des fois.

De, Calum Hood :

Tu n’as pas peur de moi hein, c’est ce qu’on verra.

Je termine enfin ma journée de cours, aussi banal que les précédentes. J’ai eu peur ce matin en me levant, que Calum me fasse vraiment regretter de lui avoir parlé comme je l’ai fait, puisque personne ne le fait, je pense que ça ne lui a pas plu qu’une fille comme moi fasse ce que j’ai fait. Mais je pense que la vie est généreuse aujourd’hui, puisqu’il n’est pas venu en cours. C’est comme-ci j’avais reçu un Awards, « Je voudrais remercier la Vie d’avoir été bonne avec moi, parce que sans elle j’aurais surement était dans une salle situation, j’aimerai aussi remercier la Chance, qui est apparue au bon moment pour moi, elle est merveilleuse ». 
Je marchais tranquillement direction ma maison, écouteurs et musiques à fond dans les oreilles, et pour une fois, un sourire aux lèvres, que je fini par ne pas garder très longtemps finalement, oh ça non. J’ai dit que la Vie était bonne avec moi et que la Chance était merveilleuse ? C’est à bannir de leur liste de qualités.

-          Carter, qu’elle bonne surprise 

C’est officiel, ce sont des salopes. La Vie et la Chance.

-          Alors, tu ne me réponds pas ? C’n’est pas vraiment très poli Alyson 

Calum Hood, appuyé sur le portail de ma maison, les bras croisés. Je ne sais pas exactement si je dois me mettre à crier comme une furie parce que j’ai intérieurement peur qu’il me frappe pour hier, ou si je dois courir au risque de me faire courser.

-          Qu’est-ce que tu fais la ? finissais-je par dire

-          Je viens voir une camarade de classe, pour parler, répondis-t-il en s’approchant de là où je me trouve actuellement

-          Tu n’as pas besoin de venir vers moi, le stoppais-je, que veux-tu ?

-          Me venger je pense, mais j’pense pas que ce soit nécessaire la nature la déjà fait pour moi… Franchement, tu n’trouves pas ?

Je levais simplement un de mes sourcils pour répondre à sa remarque, parce que je n’avais rien à répondre.

-          Tes cheveux ressemblent à des poils de chien, j’ai jamais vu quelque chose d’aussi dégueulasse après ta gueule. Et puis, tu devrais te maquiller, t’as l’air d’un zombie, ou d’un vampire, dit-il calmement

Ne pas répondre Alyson, ne pas répondre. Ce sont des remarques qui reflètent sa personnalité : inutiles et grossières.

-          Quoique, rien ne sert de repeindre un mur, quand les fondations sont pourries.
- Tu sors ça d’où ? Un proverbe chinois peut-être ?

Et voilà comment rajouter de l’essence sur un feu naissant. Son regard noir me fixait, et je ne pense pas que ce soit parce qu’il veuille m’embrasser. J’ai plutôt l’impression que je vais me faire tuer.

-          Tu sais ce que j’ai envie de te faire Alyson, là tout de suite, tu le sais ? lança-t-il en élevant la voix

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 04, 2014 ⏰

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"Australian Idiot"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant