𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟼

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Nous avons travaillé comme ça pendant deux heures avant de descendre manger quelque chose et sommes remontés tout de suite après.

Le travail était plus simple qu'on ne l'aurait cru et il était à présent terminé.

C'est ainsi que nous nous sommes mis à parler, la discutions était évidemment sur les parties plus « sombres » de notre passé, mais cela nous faisait du bien à tout les deux d'en parler.

Il m'a ainsi dit pourquoi il cachais son visage, tout a commencé avec son arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, qui a condamné et maltraité une servante pour la balafre sur son visage.

La servante s'est avérée être une sorcière, qui l'a maudit, lui et le reste de sa descendance masculine.

Par conséquent, une malédiction a été transmise de générations en générations où la progéniture masculine aurait une marque hideuse sur son visage, et la malédiction ne pourrait être brisée que si quelqu'un l'aimait malgré son apparence extérieure.

Aucun des membres masculins de la famille du côté de sa mère n'avait brisé la malédiction.

De plus, une fois qu'il aura atteint l'âge de 18 ans, la malédiction serais éternelle, marquant son visage pour la vie.

Cela peut paraître totalement fou mais je n'ai pas pu m'empêcher de le croire, j'ai été sincère avec lui, il l'a été avec moi aussi, je me voyais mal lui dire que je ne le croyais pas.

Une heure après nous connaissions pratiquement toute la vie de l'autre.

Chris devait maintenant rentrer, c'est à contrecœur que je lui dis au revoir, j'aurais aimé passer la soirée à parler avec lui, de tout et de rien, comme des amis.

Je referma la porte derrière lui et suis allée voir ma mère qui faisait à manger dans la cuisine.

«-Merci de m'avoir laissé l'inviter, du coup on a réussi à tout finir en une après midi, les consignes n'étaient pas si compliquées que ça.

-De rien, après tout vous auriez bien du vous voir pour faire ce devoir. Mais dis moi, vous aviez l'air de bien vous amuser, je vous ai souvent entendus rire.

-Maman pas encore...!

-Je dis juste que je suis heureuse que tu ai quelqu'un avec qui discuter et rire, je ne veux que ton bonheur ma chérie.

-Oh, maintenant je m'en veux un peu pour avoir pensé que tu insinuais quelque chose, dis-je en riant, quelque peu gênée.

-Mais il était très mignon malgré ce bandage, tu devrais en profiter, il te regardais presque comme la 8ème merveille du monde lorsqu'il est partit.

-Arrête c'est gênant, dis-je en rougissant, sinon qu'est-ce qu'on mange ce soir ?»

𝑇ℎ𝑒 𝑆𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒 𝐵𝑜𝑦 𝑎𝑛𝑑 𝐻𝑒𝑟. 𝐵𝑎𝑛𝑔 𝐶ℎ𝑎𝑛Où les histoires vivent. Découvrez maintenant