partie 63

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Je l'entendis démarrer la voiture. Je voyais rien, je pleurais. J'en avais marre putain, ma vie c'est un film ou quoi. Je peux jamais, être tranquille c'est grave. Depuis, que je connais Robsco j'avais vécue, plus de choses que dans toute ma vie entière. Jamais au grand jamais, je n'aurais pensé vivre cela.
Je sentis qu'on me mettait, quelque chose dans la bouche, pour que j'évite de parler j'imagine. Je voyais rien, j'avais peur, ils m'avaient attachés les bras dans le dos.
Je sentis qu'on m'ouvrait ma veste.
-Putain elle a de ses seins, c'est grave ils sont énormes wesh. Entendis-je dire un des gars.
Je sentis qu'on me relevait, mon pull, je me suis mise a hurler. Je voulais parler mais je ne pouvais pas a cause de ce qu'il m'avait mit dans ma bouche. Je sentis quelque chose de froid contre mon ventre, je tremblais de peur.
-Ferme ta gueule, salope, vaut mieux pour toi que tu la ferme,sinon ce shlass, je l'enfonce dans ta bouche? putain t'es bonne c'est grave.
J'entendis des mecs rigoler, le gars mit ses mains sur mes seins, j'avais mal, il appuyait fort, je pleurais, gros pervers putain.
- Pourquoi tu pleures, ca ne te plait pas? Pourtant les meufs elles kiffent quand je les touche d'habitude.
Ce chien de la casse, j'avais envie de lui cracher dessus. Il se mit a me faire des bisou sur le ventre, j'étais dégoutée. Je sentis qu'il déboutonnait mon slim, putain j'avais peur.
-Oh arrête, wesh faut qu'on la ramenne au boss, tu enfin on la baisera après putain.
Putain, qu'est ca qu'il allait encore m'arriver? J'avais peur. Le mec s'arrêta de mettre ses mains toutes dégueulasse, sur mon ventre et ma poitrine.
Plus personne, ne me toucha, je sentis qu'on rabaissai mon pull. Ils parlaient entre eux, ils me dégoutaient. Ils parlaient, des sexe, de drogue, de trucs dégueulasse. Comment ils parlaient des femmes, c'était grave, ils se racontaient ce qu'ils avaient fait avec leur pute, et ils rigolaient, mais c'était trop répugnant, j'avais envie de vomir, carrément.
Le mec qui m'avait relevé mon pull, s'approcha de moi et me susurra a l'oreille.
-Tkt je vais bien m'occuper de toi, je vais te faire la même chose.
Tfou batard, j'avais envie de vomir, ca fit rire ses potes.
Bref après avoir bien roulé, nous nous sommes arrêtés, ils m'ont aidée, a descendre. Je voyais rien je savais pas ou j'étais, ils m'ont guidés, jusqu'à la porte.
Ils m'ont assise, sur une chaise ou je ne sais quoi, j'entendais des rires de meuf, des gars parler.
Puis on m'a enlevée, le tissus, qui couvrait mes yeux et le chiffon qu'il y avait dans ma bouche.
J'eus du mal, a m'acclimater a la lumière, on était dans un grand salon. Il faisait nuit.
J'étais assise, sur une chaise face a une sorte de grosse chaise , Il y avait un homme assis dessus, il me regardait en souriant, il était blond J'avoue il était canon.

Il souriait, sur ses genoux il avait une pute assise, il était en train de fumer un cigare.
Il y avait plein de gens autour de lui, assis sur des canapés, debout en train de discuter. La plupart étaient des hommes, il devait être au moins 20, sans déconner. Il y avait de tout, des noires des chinois,des arabes des blanc, mais il y avait surtout des blonds.
Il y avait quelques putes, forcément, quand il y a plein d'hommes il y a toujours des putes.
Il y avait un homme et une femme en train de s'embrasser, elle était collée, au mur le mec la touchait de partout, elle avait ses jambes autour de sa taille. Ils allaient limite le faire devant nous, je détournai le regard.
Ils avaient tous le regard fixé sur le chef, il y avait un homme a genoux, en train de le supplier. Je l'avais pas vu avant, il me faisait de la peine, je comprenais rien a ce qui se passait.
-Anatoly, je suis désolé pour l'argent stp je te rembourserais plus tard. J'ai ma famille a nourrir, trop de dettes je t'en prie, par pitié.
Anatoly, putain j'en étais sure, le chef de la mafia, russe. Mais qu'est ce qu'il me voulait? Il avait surement du capturer Robsco, j'espérais vraiment qu'il soit toujours en vie.
La pute assise, sur Anatoly se mit a rire, elle avait un rire de hyène. On aurait dit, que la souffrance de cet homme, la rendais heureuse. Nahel sheitan, ou étais-je encore tombée? Je rencontre que des psychopathes moi, c'est grave on dirait que je les attire.
Anatoly, fit un coup de tete a un de ses hommes, un homme s'approcha, de l'homme qui était a genoux, et le releva. Il sortit un couteau, et lui trancha la joue. L'homme hurla, plein de sang coula, j'avais de la peine, j'avais les larmes aux yeux. Le regard d'Anatoly était toujours fixé sur moi, il continuait a sourire, je détournai mon regard. Je ne voulais pas croiser le sien, il me dégoutait.
Anatoly poussa la pute de ses genoux et se leva, il avait toujours son cigare dans la bouche, il était vraiment beau en vrai, en plus il était torse nu, canon le mec, mais c'était un gros batard ca se voyait sur sa tete, il me dégoutait.
Il se dirigea vers l'homme a genoux, il sortit un flingue de sa poche, il le releva par ses cheveux, et pointa le flingue sur sa tempe.
-Je t'avais prévenue, espèce de Sobaka ( mdrr ca existe c'est du russe, ca veut dire connard et chien je crois lol), je t'avais dit qu'il fallait me rembourser a l'heure, je fais pas de crédit moi, t'as pas ma thune, alors va dire bonjour a Staline, en enfer pour moi.
Il avait un, petit accent russe, il roulait un peu les r quoi. Il faisait peur, sérieux personne n'osait bouger, l'homme pleurait mescin, ca devait être un père de famille, j'avais de la peine pour lui, il chargea son flingue, il allait tirer je criai.
-Non arrête, fais pas ca.
Je voulais pas que cet homme meurt, il avait des enfants, j'en avais marre de voir des gens mourir.
Tout le monde me regarda, j'étais grenée, un peu, Anatoly me regarda dans les yeux, il me fit un grand sourire, il tira une taf de son cigare.
-Hum, dit-il au mec, t'as de la chance que cette magnifique femme soit la. Et que sa beauté, m'ait mis de bonne humeur, remercie la.
Il le prit par les cheveux, et le retourna de force, vers moi, il y avait plein de sang qui coulait de sa joue, il avait un trou, on voyait sa chaire limite, ca me donnait envie de vomir.
-Merci me dit-il avec difficulté.
Je lui fis un petit sourire, Anatoly le lacha et dit a deux de ses hommes de le prendre.
-Prenez moi ce fils de pute, et faites le dégagez d'ici. Je te laisse un mois, pour me ramener ma thune.
-Mais dit l'homme.
Il lui mit un gros coup de pied dans le ventre.
-Un mois, ou je m'en prend a ta famille, ta fille elle a quelle age. 16 ans?
Il fit un sourire pervers.
-L'age parfait pour sa première fois non?.
L'homme se mit a l'insulter, mais les hommes d'Anatoly, le frappèrent jusqu'au sang mescin. Puis ils le prirent avec eux et sortirent.
J'étais dégoutée, c'est vraiment qu'un chien de la casse, il me dégoutait. Un psychopathe putain, je m'étais refait kidnappée par un putain de psychopathe. Pourquoi tout le monde veut me kidnapper en vrai? J'en ai marre putain, foutez moi la paix un peu.
Anatoly se retourna et s'approcha de moi, il se baissa a mon niveau et me souffla la fumée de son cigare, sur mon visage. Ca puait putain, je me mit a tousser. Je ne supporte pas l'odeur du cigare, sa pue grave.
J'entendis,les personnes présentes rigoler.
-T'es vraiment belle toi, putain le fils de pute de Robsco, il a du goût pour les femmes me dit Anatoly.
Il vient d'insulter Robsco de fils de pute on est d'accord? Je ne supporte pas qu'on l'insulte, alors je me suis mise en colère.
-C'est toi le fils de pute lui dis-je.
Ca la énervé grave, il me prit par les cheveux.
-Je suis un fils de pute moi, Anatoly, t'ose me dire, salope que je suis un fils de pute?
Tout le monde était choqué j'imagine que peu de gens devaient lui parler comme ca, il me détacha et me prit par les cheveux, il me trainait. Il me faisait grave mal ce chien j'hurlais.
Il me fit descendre des petits escaliers, il ouvrit une porte et me jeta dedans comme un chien.
J'avais envie de pleurer, mais je ne voulais pas lui faire ce plaisir, il m'avait défoncée ce batard. Il rentra avec plusieurs de ses hommes. Puis une fille fit son entrée, elle était habillée normalement, avec un jean et un T-shirt, mais je la reconnaissais c'était la pute blonde de l'hôtel, je suis sure que c'était a cause d'elle que j'étais la. J'avoue qu'elle ressemblait a Anatoly, j'étais choquée parce qu'elle était pas habillée comme une pute.
J'étais toujours par terre, il m'avait défoncée le coxis quand il m'avait jetée ce batard.
-Regarde ce que je t'ai ramenée, dit-il. Ca te fait plaisir non.
Mais a qui parlait-il, je me retournai doucement, j'étais choquée putain je fis les gros yeux. Il y avait Robsco attaché sur une chaise, torse nu, juste avec son jean. Il avait l'air fatigué mais il n'avait pas de trace de coups ou autre.
Il beuga dés qu'il me vit puis il fronça ses sourcils. Il m'avait manquée putain il était toujours aussi beau peut-être encore plus qu'avant. Mais j'avoue j'avais le seum contre lui parce qu'il ne m'avait pas calculée pendant plus d'un mois, et ca passait pas.
-Espèce de fils de pute, dit-il.
Il cracha au sol. Anatoly lui fit un grand sourire.
-C'est elle ta meuf alors, j'avoue qu'elle est bien bonne putain. En plus elle a l'air toute gentille, toute mignonne.
Ca fait longtemps que j'ai pas baisée de meuf comme ca.
Il fit un sourire sadique a Robsco, celui-ci avait pire que la haine, il se mit a hurler.
-Touche la fils de pute et je te nique ta race, pose un seul de tes doigts de crasseux sur elle et la tu vas voir ce qui va t'arriver réfléchis bien.
Il avait jeté un froid dans la pièce, j'avoue que Robsco, a une réputation dans son milieu, les gens savent très bien que quand il se venge il se venge vaut mieux pas le chercher.
Anatoly fronça ses sourcils, il avait l'air enervé.
-Ah oui, a cause de toi Kader a disparu, c'était mon meilleur, fournisseur fils de chien. Et personne ne sait ou il est maintenant.
Je comprenais rien, je croyais que Kader travaillait pour la mafia italienne, il avait prit la suite de l'italien.
-Tfou, Robsco cracha au sol, Kader ce fils de pute il est dans sa tombe, il est très bien ou il est. Alors si tu ne veux pas qu'il t'arrive la même chose, relâche ma femme tout de suite
Tout le monde était choqué, putain j'en étais sure, il avait tué encore tué quelqu'un, je le regardais de travers. J'en ai marre de lui et de sa violence, regardez où je me trouve aujourd'hui encore pas sa faute. C'est vrai que Kader méritait la mort, vu ce qu'il avait fait a Elmira, mais quand même putain, ca saoule les morts a un moment.
Anatoly avait l'air choqué, puis la haine traversa son visage.
-Tu l'as tué? Putain comment je vais faire pour ma cam maintenant moi.
Ok le mec, il venait d'apprendre qu'un de ses alliés vient de mourir et la seule chose, qui l'intéresse c'est sa cam, dans quel monde je vis putain.
-Mais je m'en bat les couilles moi, d'ailleurs qu'est ce que tu fais a Marseille? Ton secteur c'est Paname pas Marseille, alors tire toi de la parce qu'ici t'es chez moi, et je ne veux pas qu'un fils de pute de russe, pose les pieds dans ma ville? Lui dit Robso.
J'étais choqué de comment il lui parlait, Anatoly le regarda de travers et serra ses poings, ca se voyait qu'il voulait le défoncer mais il n'osait rien lui faire je ne sais pas pourquoi.
-Parce que je n'avais pas de nouvelles de Kader, et vu qu'il est mon meilleur allié, et qu'il devait me livrer ma cam, je suis descendu sur Marseille, pour voir où il était.
En plus espèce de batard, t'as violé ma sœur, alors tu vas payé.
Wah la salope, je suis sure elle avait inventée ce mytho a son frère, pour se venger de Robsco.
-Mdrrr dis Robsco, moi violée ta sœur. C'est une putain de grosse pute, cette meuf, une nymphomane, zeubi. Je suis sure qu'elle s'est faite tournée par la moitié de tes hommes, n'est ca pas les gars?
Ils baissaient tous la tete, personne n'osait la parler, putain une grosse crasseuse beurk, vieille meuf. Anatoly avait l'air zehef, sa sœur se mit a pleurer, surement pour détourner l'attention, tfou vieille meuf.
-Je te jure mon frère, il m'a violer, il m'a forcé a lui faire des choses horribles. Il m'a volée ma virginité.
Ste vieille mytho rien qu'elle pleurait, tfou. Anatoly s'approcha de moi, je reculais contre le mur j'avais peur.
-T'as voulu violé ma sœur, hein Robsco ben je vais bien baiser ta femme devant toi en plus. Puis mes hommes se la feront aussi, elle est bien bonne en plus.
J'avais grave peur, j'avais envie de pleurer. Je croisai le regard de Robsco, il avait pire que le seum.
-Écoute moi bien fils de pute, tu me kidnappe ok, tu m'attache dans une cave merlish je suis un bonhomme je m'en bat les couilles. Mais moi, on touche pas a ce qui m'appartient. T'as kidnappé ma femme, et veut la tu violer, mais la tete de moi tu veux aller en enfer la. Si j'étais a ta place, je la toucherais pas, parce que ce que je vais te faire subir si tu la touche, ce ne sera même pas de la torture ce sera pire, même l'enfer c'est magnifique a coté alors, détache la et laisse la partir.
Putain rien que dans sa voix il faisait flipper, Anatoly fronça ses sourcils et le regarda je sentais qu'il avait peur un peu, puis je croisai son regard, il regarda ma poitrine, je mis mes mains dessus j'étais gênée. Il me sourit perversement et se mit sur moi.
Je me mis a hurler je me débattais, il m'enleva mon pull, je me retrouvai en soutif devant lui. Deux de ses hommes vinrent m'attacher les bras a une chaine, je crias. Il me touchait de partout. J'entendais Robsco hurler des insultes. Il détacha mon jean et me l'enleva, je criai a l'aide. J'entendis un rire de femme sa sœur rigolait.
Anatoly s'arrêta.
-Elle est vierge ta meuf, n'est ce pas? Lui dit-il.
-Fils de pute lui dit Ronsco.
-Je crois que j'ai jamais dépucelé de vierge, j'avoue que ca m'excite grave dit-il.
Tfou fils de pute, il se remit sur moi, il m'embrassait le corps, il me touchait, j'étais dégoutée. Il a enlevé son jean, il m'écarta les cuisses de force, ca me fit mal, il allait surement me dépucelée quand j'entendis Robsco hurler.
-Arrête lui dit-il, arrête.
Anatoly se redressa, et souria a Robsco, celui-ci avait la haine, on aurait dit un fou. Il faisait flipper.
Je voulais pas pleurer devant ce fils de pute je le regardait de travers, j'étais soulagée un peu mais je sentais qu'Anatoly me lâcherais pas.
-Qu'est ca que t'as Robsco? Lui demanda Anatoly.
-Pourquoi tu t'en prend a elle, c'est moi qui ait soit disant violé ta sœur pas elle. Ah mais je viens de comprendre en fait, t'es un zemel puisque tu préféré t'en prendre a ma femme plutôt qu'a moi.
Robsco le narguait, j'avais compris sa technique, il voulait le faire passer pour un zemel devant ses hommes. C'est vrai que Robsco n'avait pas une seule égratignure je trouvais ca bizarre.
Anatoly sourit, et fit signe a un de ses hommes, c'était un mec hyper baraqué, il s'approcha de Robsco, et lui mit une patate, je criai je ne supportais pas de le voir ainsi.
Le mec se détacha de lui, Robsco cracha par terre, il y avait du sang.
-Ta meuf elle est mignonne, elle a crié quand on t'a frappé lui dit Anatoly.
Robsco lui sourit.
-Ok bien, t'appelle ton chien pour qu'il me frappe, je comprends en fait t'as pas les couilles de le faire à sa place. T'as peur de moi en fait. Mdrr les gars votre chef c'est un gros PD, venez travailler pour moi, je vous offrirais tout, des putes à gogo, de la thune plein les fouilles, en plus les flics vous casserons pas les couilles parce que j'ai un petit arrangement avec eux.
Tout le monde regardait Robsco, lui souriait, il narguait Anatoly, il l'avait fait passer pour un gros zemel devant tout ses hommes, mais j'avoue qu'il avait raison, je sentais qu'Anatoly avait peur de Robsco, il osait même pas le toucher, alors qu'il s'était pas gêné avec l'homme tout a l'heure.
Je regardais les hommes dans la pièce, ils avaient l'air intéressés par la proposition de Robsco, je le voyais dans leur yeux, Anatoly se mit dans une colère noire, il s'approcha de moi et se mit a me frapper comme si j'étais un homme, il enchainait les coups je sentais du sang couler de ma bouche, mais bon j'avais vu pire. Il n'avait pas la force de Robsco, j'avais envie de crier, et de pleurer mais trop de fierté je ne voulais pas le faire devant lui.
-Salle PD lui dis-je, tu frappe une femme mais t'as pas de couille devant tes hommes.
J'avoue je suis folle, mais j'en avais marre de me laisser faire, trop de faiblesse tue la faiblesse lol.
-Mdrr lui dit Robsco, elle a raison ma femme, t'es vraiment qu'un gros PD.
Ca l'a rendu encore plus, fou il s'est remis a me frapper, il me mettait des coups de pied dans le ventre, j'avais mal. J'entendis Robsco l'insulter. Un des hommes d'Anatoly s'approcha de lui et lui souffla quelque chose dans l'oreille. Celui-ci s'arrêta.
-T'as de la chance aujourd'hui petite pute, t'as vraiment beaucoup de chance. Mais tkt pas je reviens demain, je te baiserais bien comme il faut.
Les gars on y va dit-il.
Ils sortirent lui et tout ses hommes, ainsi que sa pute de sœur. Dés qu'ils furent sortis j'explosai en sanglots, je m'en foutais de pleurer devant Robsco, il avait l'habitude avec moi lol.
-Chut, princesse calme toi, ca va aller.
Il essayait de me calmer, j'avais envie qu'il me serre dans ses bras, mais c'était impossible, on était attachés tout les deux.
-Putain le fils de pute, je vais le niquer je vais le tuer, je le laisse pour mort dit-il. Tfou fils de pute, je suis un zemel pour qu'on s'en prenne a ma femme, je suis un gros pd c'est ca?
Il disait plein d'insultes contre Anatoly, moi je disais rien je continuais a pleurer.
-Putain j'en ai marre qu'on s'en prenne aux gens que j'aime putain, ma sœur après toi, princesse, j'en ai marre zeubi.
-Pourquoi tu m'as pas calculé pendant un mois, hein pourquoi? Lui demandais-je.
J'avais arrêtée de pleurer, j'avais grave le seum contre lui, je comprenais pas pourquoi pendant un mois il m'avait pas calculée, ca m'énervait grave.
Il soupira.
-Je pouvais pas princesse, j'étais trop occupé avec mon biz.
-Pfff toi et ton biz de merde, c'est ta faute si je me retrouve la, mon père mescin il doit être super inquiet, comment je vais faire moi, j'en ai marre putain.
Je me suis remis, a pleurer, j'étais dégoutée, mon père mescin, il va surement me défoncer, deux fois que je disparaissais comme ca, sans lui donner de nouvelles, deux fois que je me fais kidnapper en fait. J'en ai marre c'est grave.
-Dis pas ca wesh, je t'ai dit que j'allais arrêter c'est pas facile pour moi. Mais je vais arrêter je te jure.
Je croisai, son regard, il fronçait ses sourcils.
-Tu dis toujours ca, je sais pas si je dois te croire, je sais plus lui dis-je.
Il soupira.
On entendit la porte s'ouvrir, la sœur d'Anatoly fit son entrée, qu'est ce qu'elle voulait encore celle-la?
-Putain toute sa famille ils vont me casser les couilles, maintenant, russe de merde. Tu veux quoi salope? Casse toi de la. Lui dit Robsco.
Elle lui dit un grand sourire.
-Putain t'es encore plus beau, que la dernière fois, tu me chauffe grave.
Nahel sheitan la meuf, elle parle a mon gars la, j'avais le suem.
-Asy casse toi de la, tu dégoutes lui dis-je.
Elle me fit un grand sourire.
-C'est pas de ma faute, si tu fais la sainte nitouche, avec Robsco tu rates quelque chose en tout cas. Le meilleur coup de ma vie.
Ok, la neuf elle est sérieuse? Tfou ja la déteste, c'est vraiment qu'une crasseuse.
Elle s'approcha de Robsco, et l'embrassa,j'étais dégoutée, j'avais envie de la bruler, puis elle se détacha de lui, il cracha au sol.
-Me touche pas avec tes lèvres de pute, lui dit-il.
Elle lui fit un grand sourire, puis me regarda et me nargua, je crachai au sol et l'insulta. Elle se mit a genoux, et enleva le jean de Robsco, j'étais choquée, elle est sérieuse elle. Robsco l'insultait.
-Chut bébé lui dit-elle, j'ai trop envie de te faire du bien.
Putain comment j'étais choquée, je vis avec des fous, c'est ca? C'est la fin du monde alors, je suis dans un cauchemar ou je ne sais quoi. C'est quoi ce genre de meuf putain, choquée.
Elle commença a enlever son caleçon.
-Ferme les yeux me dit Robsco.
Je les fermais, si j'avais pu me boucher les oreilles je l'aurais fait. J'entendais Robsco gemir, j'imagine que ca devait lui plaire, c'est qu'un homme après tout. Ca me dégoutait, j'avais envie de vomir, ca me rappelait quand Youssef me forçait a faire ca, comment une femme peut-elle faire ca de son plein gré c'est dégueulasse, avilissant, rabaissant? Ca me dégoutait.
Je ne saurais dire combien de temps ca a durée, j'étais pire que dégoutée, j'entendis Robsco jouir j'imagine qu'ils avaient finit leur trucs répugnants. Tfou j'étais dégoutée, c'était grave.
J'entendis des bruits de talon, j'ouvris les yeux. Je regardai Robsco, la pute lui avait remit son jean et son caleçon, hamdouleh c'était déjà ca. Je croisai son regard, il avait l'air désolé, je le regardais avec plein de dégout, j'avais envie de vomir.
La pute s'approcha de moi et alluma une cigarette, j'étais toujours en sous-vêtements. Elle me souffla sa fumée sur le visage, j'avais envie de vomir, surtout vu ce qu'elle venait de faire avec sa bouche ca me dégoutait encore plus.
-T'as vu je sais donner du plaisir a ton homme moi, me dit-elle.
-C'est normal lui dis-je, t'as l'habitude de faire ca, en même temps pour faire ca faut être la pire des crasseuses, une grosse salope. Tfou je crachai sur elle, j'avais envie de lui vomir dessus.
Elle regarda mon crachat sur son T-shirt, elle fronça ses souris, elle me regarda perversement.
Elle prit sa cigarette, et vous avez ce qu'elle a fait cette pute, elle l'a éteint sa cigarette, sur ma peau, juste en bas du ventre, du coté droit. J'ourlais de douleur, mon sang monta a la tete, j'avais trop mal c'était une douleur insupportable.
Je faisais que de hurler, je pleurais, j'avais trop mal, j'avais l'impression que mon corps brulait, c'était horrible, j'avais jamais eu aussi mal de ma vie. Mme les coups que j'avais pris c'était rien du tout face a cette douleur, j'en pouvais plus, c'était horrible. Je fermais les yeux, je me débattais, j'ourlais, la douleur était trop intense. Je voulais mourir, c'était tout ce que je voulais, j'en avais marre de souffrir, et cette souffrance la était trop intense trop forte.
-Princesse entendis-je, calme toi, putain fais chier c'était Robsco.

Ca faisait au moins une heure que j'hurlais, j'avais trop mal au ventre, je l'avais même pas calculée tellement. Je remarquai que la pute était parti, la douleur était toujours aussi intense, c'était horrible. Je pleurais fort, mes larmes n'arrêtaient pas de couler.
-Je veux mourir, je t'en supplie Allah prend mon ame, je veux plus vivre la vie est trop dure je t'en prie, reprend mon âme. Je veux rejoindre mon grand-père et Nacer dis-je.
Je parlais a haute voix, j'en pouvais plus. Robsco est devenue fou, quand il m'a entendu dire ca.
-Princesse putain dit pas ca, putain. C'est finie tout ca princesse, c'est finie, on sors d'ici, Jeremy et Medhi vont surement venir. J'arrête tout, Amaria, j'arrête tout, je viens te khtob, on se marie. Et je m'occuperais de toi, je te jure je m'occuperais de toi.
Je ne dis rien, a vrai dire je le calculeras même pas, j'étais trop focalisée sur ma douleur, il y avait que ca qui comptait.
J'entendis du bruit, quelqu'un descendis. Je relevais ma tete, c'était Jeremy, et le chinois qui m'avait kidnappée, je comprenais pas ce qu'il faisait la , mais a vrai dire je m'en foutais.
-Putain Robsco Amaria, j'en étais sure que vous étiez la. Dit Jeremy.
Il partit détacher Robsco, et le chinois me détacha.
Je tombai au sol, j'arrivais même pas a marcher tellement, que la douleur était forte. Robsco me porta. J'arrêtais pas de pleurer, j'avais trop mal, je les entendis discuter mais je ne calculais même pas tellement j'avais mal.
-Robsco lui dit le chinois, je suis désolé d'avoir aidé a kidnapper ta femme.
Il le regarda de travers.
-J'ai d'autre chose a m'occuper la, lui dis-il, on réglera ca après.
Nous montâmes les marches, et nous nous retrouvâmes dans le grand salon. Il y avait Medhi aussi, il s'approcha de nous dés qu'il nous vit.
-Putain Amaria, ca va tu vas bien?
Je pouvais pas parler, j'avais trop mal.
-Non zeubi lui dit Robsco, l'autre salope, lui a écrasé sa cigarette de pute sur elle, si je la retrouve je la tue lui dit Robsco.
Il y avait plein de sang, dans le salon, il y avait des morts, probablement tué par les hommes de Robsco. Anatoly était attaché a une chaise.
-Je reviens m'occuper de toi après lui dit Robsco.
Anatoly ne dit rien, il était plein de sang.
-Baissez vous hurla Medhi.
Nous nous baissâmes, la pute fit son entrée, elle avait un flingue. Elle tirait de partout j'avais peur
-Restez la ou je vous tue tous nous dit-elle.
Ma vie c'est un film, j'en ai marre sérieux. J'étais allongée au sol, Robsco était sur moi, son visage était juste au dessus du mien, il m'essuya mes larmes.
-Princesse, arrête de pleurer, ca va bien se passer. je te protège je suis la tkt pas.
Elle continuait de tirer, elle s'approcha de nous.
-Leve toi dit-elle a Robsco.
Il la regarda de travers.
-Leve toi ou je bute ton pote.
Elle pointa son flingue, sur Jeremy, Robsco se leva, elle se dirigea vers moi.
Medhi était juste a coté de moi. Elle chargea son flingue, elle allait tirer, mais Medhi se mit sur moi pour me protéger, elle tira. Robsco sauta sur elle, et l'a défonça, j'avais Medhi sur moi, il appuyait sur mon ventre la où elle avait écraser sa cigarette sur moi, je le poussai de moi.
Je vis du sang couler, juste en dessous de son cœur, il y avait plein de sang qui coulait, il ya en avait même qui sortait de sa bouche. Non pas Medhi putain.
-Medhi, Mefhi ca va tu vas bien?
Il ne répondit, pas, il y avait plein de sang qui sortait de sa bouche.
Je pleurais, j'avais peur;
-Medhi mon frère je t'en supplie nous laisse pas.
Jeremy se dirigea vers nous, il pleurait.
-Medhi mon kho ca va aller, Robsco hurla-t-il.
Il se leva de la pute qu'il avait frapper, il l'avait défoncé, il se dirigea vers nous, il fit les gros yeux quand il vit Medhi plein de sang.
-Medhi putain, mon kho, mon frère.
Il le porta, et se dirigea et sortit, Jeremy m'aida a marcher nous sortîmes. Robsco mit Medhi dans sa voiture. Je montai devant avec lui, Jeremy nous suivit en voiture.
Robsco parlait avec Medhi tout le long du chemin, qui menait a l'hôpital, mais il répondait pas.
Moi je continuais a pleurer, ma vie c'est de la merde, il y a que du malheur dedans.
Nos sommes arrivés a l'hôpital, ils nous ont prit en charge Medhi et moi, ils m'ont soigné les blessures, surtout celle que j'avais a cause de l'autre pute, ils étaient choqués. Il voulait appeler les flics, mais je refusai,je leur ai dit que j'étais majeure, donc ils m'ont laisser. Ils m'ont mit un bandage sur mon ventre, et m'ont prêté une blouse blanche d'infirmières parce que je n'avais pas de vêtements.
Je m'inquiétais grave pour Medhi j'espérais vraiment qu'il aille bien. Je suis sorti, et je me suis dirigé vers la salle d'attente.
Tout le monde chialait, Jeremy était au sol, et pleurait dans ses bras, Robsco mettait des grands coups de poing dans le mur, il avait des larmes qui coulaient. Non ne me dites pas, que non je vous en prie tout sauf ca, pas lui.
-Qu'est ce qui se passe?
Robsco me regarda, et baissa les yeux.
-Medhi il, il est mort.
J'explosai en sanglots, je tombai au sol. Putain pas Medhi, pas lui, il s'était repenti il avait tout arrêté, s'il s'était trouvé la ce soir c'est parce qu'il voulait nous aider. Pourquoi les hommes bons partent toujours trop tot, putain Medhi.
Je réalisais pas, je n'arrivais pas y croire, putain je pleurais comme jamais encore plus que quand Nacer est mort.
Robsco s'approcha de moi et me prit dans es bras. Je voulais pas qu'il me touche, c'était de sa faute, s'il avait arrêté tout son hlam, Medhi ne serait pas mort.
-Me touche pas hurlais-je.
Je me relevai, il avait l'air choqué, il ouvrit ses bras comme pour me faire un câlin, mais je reculai.
-Je te déteste, c'est de ta faute, tout les gens que t'as tué, tu croyais quoi qu'il n'y aurait pas de conséquence? Comme tu as fait on te fera, tu le connais ce proverbe, tu le connais?
J'avais pire que le seum, contre lui pour moi tout ca était de sa faute, ma vie était mieux avant qu'il m'ait kidnappée. J'avais la haine que Medhi soit mort, je trouvais ca dégueulasse.
-Amaria je t'en prie dis pas ca.
-Laisse moi, hurlais-je, ta vie c'est que de la merde que du hlam, je veux plus de tout ca. Je veux plus te voir c'est finie, finie.
Il m'attrapa, par le bras, je me détachais.
-Fous moi la paix, je veux plus rien avoir a faire avec toi.
-Je t'en prie Amaria, putain il me reste plus que toi, mon meilleur pote est mort putain.
-C'est finie Robsco, finit.
Je le vis mettre des grands coups de poing dans le mur, je sortis en courant de cet hôpital. Loin de lui et du malheur que sa vie m'offrait.

kidnapper par un chef de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant