Je rentrai chez moi je me sentais bien il m’avait remonté le moral je sais c'est mal mais j'aimais bien être avec lui. Elias le remarqua d’ailleurs.
-Alors toi c'est sure t'as rencontre un bête de bg t'es amoureuse ca se voit.
On peut rien lui cacher a lui c’est trop.
-Nimp lui dis-je.
Il croisa les bras.
-Jeune fille je ne suis pas née de la dernière pluie.
-Salle cingle.
-Raconte wesh.
Je lui racontai donc sinon il m'aurait pas lâché, il était tout excité il disait que j'avais trouvé mon mari n’importe quoi –'.
Cette nuit pour une fois mes pensées n'allaient pas vers Robsco mais vers Karim je repensais a son sourire son regard, je m'endormis sur cette belle image.
Un mois était passé j'avais envoyé un message a Karim j’avais tenu une semaine je n'avais pas pu tenir plus, on se parlait tout les soirs au téléphone on se tapait des barres, Elias il en pouvait plus il disait qu'il pouvait plus dormir a cause de nous –', du coup on parlait par sms. Je crois que j'étais tombé amoureuse de lui en tout cas il me plaisait beaucoup et je voulais que ca aille plus loin entre nous que la simple amitié que nous partagions a l'époque. Du coup la veille de Noël il m'a donné rendez vous, il avait réservé dans un bête de restaurant, il avait plus de sous maintenant qu'il avait commencé son job a L'OREAL. On avait passé une super soirée je n'avais pas beaucoup mangé mdr j'avais faim encore alors après le restau il m'a en mené au grec tel un gentleman zerma. La j'étais callé bref, avant de me déposer chez moi, il a essayé de m'embrasser mais je n'ai pas pu, j'ai tout de suite pensé a Robsco, je ne sais pas pourquoi j'avais l'impression de le trahir je me sentais mal.
-Désole Karim lui dis-je. Je ne peux pas.
Je sortit en courant de la voiture, je pleurais. Pourquoi alors que j'étais de nouveau heureuse avec un homme, alors que je me sentais de nouveau bien, pourquoi devais-je repenser a lui ? Pourquoi ne pouvais-je pas l'oublier ? Pourtant je n'avais plus de nouvelles depuis bien longtemps ca allait bientôt faire un an qu'il était emprisonné mais je n’arrivais pas a l'oublier il était la ancrée dans mes pensées. Je voulais l’oublier je priais toujours pour ca mais je ne pouvais pas je n'y arrivais pas.
-Pourquoi Elias ? Lui demandais-je.
Je pleurai la tète sur ses genoux, il me caressait les cheveux.
-Parce que même si ca me dégoûte de dire ca, c'est l'amour de ta vie, ton âme sœur ou une connerie comme ca. Tu pourras jamais l'oublier Amaria ca c'est sure.
Alors quoi lui dis-je je dois quitter Karim c'est ca ?
-Non surtout pas tu ne vas pas t’empêcher de vivre pour ce hmal, il faut que t'aille le voir pour exorciser tout ca.
-Non non tes ouf.
Je pouvais pas aller le voir, je ne supporterais pas de le voir en prison, ça me tuerait je le sais.
-Amaria, t'es obligé si tu veux vraiment passer a autre chose tu dois aller le voir.
-Non fin de la discussion.
-Tu sais que j'ai raison.
-Khlass lui dis-je.
-Dabri Rassak (Debrouille toi) me dit-il.
Dans le fond je savais que Elias avait raison mas je ne pouvais pas aller le voir cela m'était impossible je devais écrire ce que je ressentais alors pendant qu'Elias dormait. J’ecrivis une lettre a Robsco dans laquelle je lui dévoilais tout, je ne comptais même pas l'envoyer, mais j'avais besoin de lui écrire.
« Robsco,
Je t'écris cette lettre je ne compte pas te l'envoyer mais je dois écrire ce que je ressens. Je vis a Paris maintenant je ne sais pas si tu es au courant, mais même a des kilomètres de toi je n'arrive pas a t'oublier. Ça me rappelle des souvenirs ce n'est pas la première lettre que je t’écris tu te souviens je pense de celle que je t’ai écrite après que tu m’ais relâché. Je n'étais qu'une gamine faible a l'époque et j'étais folle de toi. Je t'en veux pour tellement de choses, tu le sais très bien je ne vais pas ressasser, mais même si je t'en veux je t’aime toujours autant encore plus qu'avant peut-être. Ca me tue de t'imaginer enfermé dans cette prison dans le noir seul. Je m'inquiete tellement pour toi, la prison c'est dangereux je sais que tu es un homme fort mais j'ai peur pour toi. Et même si je t'aime encore je ne pourrais jamais me remettre avec toi parce que toi et moi c'est impossible on le sait depuis notre première rencontre tout les deux Je ne t'en veux plus vraiment de m'avoir abandonné pour l'histoire de Rayan tu as su te racheter a mes yeux comme tu as toujours su le faire mais je me sens coupable au jour d'aujourd'hui car tu es en prison a cause de moi pour m'avoir défendu et pour m'avoir protégé comme jamais personne ne l'a fait pour moi auparavant. Tu sais depuis que tu es emprisonné je ne vis plus enfin je ne vivais plus mas je l'ai rencontre lui, il s'appelle Karim c'est une homme bien tu sais il me fait rire c'est ça qui m'a le plus séduit chez lui, je ne devrais sûrement pas te dire ça, je connais déjà ta réaction « Je suis pas un pd moi pour que tu parles a d'autre mec » mdr je ris la rien que d'y penser. El mouhim même s'il me plaît énormément je n'arrive pas a t’oublier tu m'a scholé (ensorcelé) ou quoi? Il faut que je t'oublie, il le faut. Je crois en Karim je pense que je serais heureuse avec lui j'en suis sure, alors s'il te plaît disparaît de ma vie, sors de mes pensées je ne veux plus te revoir je ne veux plus rien a voir a faire avec toi.
Cela peut sembler dur mais c'est mieux pour nos deux. Je voulais te remercier d'une chose quand même, de m'avoir endurci parce que grâce a toi j'ai changé je ne suis plus faible comme avant tout le monde me respecte et ca c'est grâce a toi.
Sois heureux Aymane et prend soin de toi.
Amaria. ».
Après avoir écrit cette lettre je me sentais mieux je me sentais soulagé. Je cachai la lettre dans le placard que je partageais avec Elias et partit dormir.
Les mois passaient on était déjà en avril ca faisait plus d'un an que Robsco était en prison je ne lui avais pas envoyé ma lettre il avait eu 27 ans en février. Ce jour la je l'avais passé avec Karim, je n'avais même pas pensé a Aymane, et c’était mieux comme ca. J'étais guéri enfin je pensais l’être et Karim y était pour beaucoup il m'avait sauvé. Nous étions officiellement ensemble, ca se passait bien entre nous, bien sure on se disputait comme tout les couples, mais ca se passait bien. Notre couple était vraiment différent de celui que j'avais eu avec Robsco, il était beaucoup moins jaloux que lui et on se disputait moins souvent. Il me faisait vraiment rire en fait, et c'est surtout pour cela je crois que je restais avec lui, il me plaisait physiquement mais il m’avait séduite par son humour.
Bref c'était la mi-avril, Elias rentra dans ma chambre. Il allait beaucoup mieux lui d’ailleurs, il était en licence pro, et il avait crée un blog sur la mode qui marchait très bien d'ailleurs, un styliste l'avait même contacté il était au top. Niveau amour c'était le désert, la dech comme il me disait souvent, après l’histoire qu'il avait eu avec Booba il préférait rester seul même s'il se faisait draguer par plein de gars et des meufs d'ailleurs –' mdr je me demandai c'était quoi leur problème. Elles devaient être aveugles --'
Bref Elias entra dans la chambre. Il s’assit sur le lit et mit sa tète dans ses mains. Puis il fit les cent pas dans la chambre. Puis il s'allongea en étoile de mer sur le lit fit un gros soupir puis se relava et s'assit cote de moi.
-Arrête wesh, lui dis je, tu me stress.
-Amaria tes la femme de ma vie, tu le sais ca ?
Je soupirai.
-T'as fumé ?
-Je t'aime plus que tout t'es la femme parfaite, t'es belle bonne intelligente et si j'étais pas pd je t'aurais épousé.
Je levai un sourcil. Il avait fait une connerie c'était sure, je le connais trop, il avait la tête du mec qui se sent coupable.
-Dis moi tout de suite ce que t’as fait.
Il me tendit une enveloppe.
-Tas reçu une lettre habibti (mon amour).
Je fronçai les sourcils et prit la lettre je regardai l’expéditeur. Il y avait ecrit Les Baumettes.
Mon cœur s’arrêta de battre d'un coup Robsco m'avait écrit ? J'étais choquée, étonnée j'avais mal au ventre au cœur j'allais m’évanouir.
Je criai.
-oh mon Dieu. Je me mis a sauter sur le lit, j'avais des réactions bizarres que moi même je ne comprenais pas.
-Oh mon Dieu qu'est ce que je vais faire ? Pourquoi il m'a écrit.
Elias se mordait la lèvre.
-Amaria je suis désolé.
Je compris tout de suite je me mis a fouiller dans le placard a jeter tout les vêtements, la lettre n'y était plus, putain pensais-je j'aurais du la jeter, la brûler même.
Je regardai Elias de travers et lui sauta dessus je me mit a le taper.
-Je vais te tuer t'as envoyé ma lettre, je vas te tuer.
La porte s'ouvrit d'un coup c'était Fouad.
-Wesh arrêtez de gueuler nan ? Vous faites quoi même ? Nous demanda-t-il.
J'avais les jambes de part et d'autre de la taille d'Elias et je le frappais j'avoue c'était étrange comme réaction. Elias m’arracha la lettre des mains et la cacha sous l'oreiller.
-Rien on s’entraîne a la boxe style. Dit Elias.
Il leva les yeux au ciel.
-Vous êtes aussi ouf l'un que l'autre. Arretez de gueuler sinon c'est moi qu vais vous boxez.
Puis il ferma la porte.
Je me relevai, j'étais grave en colère contre Elias, il aurait au moins pu me demander l’autorisation je ne sais pas j'étais en colère.
-T'es qu'un connard t'as lu ma lettre et tu l'as envoyé sans me me demander putain !!
-Amaria, la vie de ma mère je suis désole. Mais j'ai fait ca pour ton bien.
-Euh mon bien ? Tu te moques de moi la ?
On s'est embrouilles pendant longtemps comme ca je lui en voulais beaucoup mais avec du recul je sais que c'était la meilleure chose a faire, et qu'il avait fait ça pour mon bien mais sur le coup je me sentais trahi c'était mon frère vraiment je le considérais comme tel et lui il avait fait ca derrière mon dos. En plus j'avais peur de lire cette lettre vraiment très peur de ce que Robsco avait pu me répondre. J'avais une boule au ventre de stress.
Je m'assis sur le lit et sortit la lettre de derrière l'oreiller.
-Je vai pas la lire lui dis-je.
Il me regarda choque.
-Attend t'es sérieuse la ?
-Ouais c'est du passé pour moi tout ca j'ai Karim maintenant ca ne se fait pas pour lui.
Il soupira
-Ca a rien a voir avec lui wesh, donne la moi je vais la lire.
Avant que je n'ai pu protester il ouvrit l'enveloppe et déplia la lettre.
Je pris sa main et la serra fort j'étais tellement angoissée.
-Donne je vais la lire.
Je lui arrachai la lettre des mains. Je lus :
« Wsh g b1 recu ta lettr jvoulai pa la lir ms hsl je lai luse ou lise che ap cmt on dit.
Elias ria mdr je l'ai lise il a sorti j'avoue que c'était marrant il écrivait vraiment trop mal –' mais sur le coup ca m'a énerve donc je regardai Elias de travers. Je continuai a lire.
«G ap envi decrir fo ktu vienn me voir, croi ap jsui 1 dep jte cour aprè c fini tt ca ms fo kon parl ke jte dise ke c termné en face com tu la di.
Slm ».
C'est tout ? Pensais-je sur le coup, j'étais encore plus énervée alors moi je lui écris une lettre dans laquelle j'expose tout mes sentiments comme une pauvre meuf et lui c'est tout ce qu'il trouve a me dire. Je jetai la lettre sur le lit et mit un coup de poing dans la mur, je me suis fait très mal d’ailleurs –'.
-Connard de merde !!
-Chaud... Me dit Elias. Je ne pensais pas que...
Je le coupai.
-Tu croyais quoi ? Pfff merci en tout cas je suis encore passé pour une grosse conne devant lui.
-Attend Amaria, ca se voit qu'il a le seum tu lui a quand même dit que t'avais retrouvé un mec ce n'est pas rien hein.
Je le regardai de travers.
-C'est de ta faute tout ca ok ? Donc si j'étais toi je ne parlerais pas trop.
Il soupira.
-Tu vas faire quoi mntn ? Me demanda-t-il.
-Rien du tout je chiffonnai sa lettre et la jeta a la poubelle.
-Tes malade wesh va le voir au moins.
-Jamais de la vie, qu'il crève dans sa prison de merde.
-Tu vas le regretter.
Il avait raison je suppose je le savais au fond de moi mais j'étais trop en colère trop déçue, je claquai la porte et sortit prendre l'air. Je ne savais pas trop quoi faire, j'appelai Karim je sentais que c'était le moment pour que je lui raconte tout. Javais besoin de me confier a quelqu'un et c'était le seul sur lequel je pouvais compter.
Il me rejoignit une heure plus tard, il n’emmena au MacDo puis nous sortîmes nous poser dehors pour manger.
-Tu veux qu je devienne obèse toi, lui dis-j Macdo grec glace tout le temps.
Il sourit.
-Même obèse je t'aimerais toujours.
-Mdr la disquette.
Je soupirai j'avais peur de sa réaction.
-Qu'est ce qui t'arrive Amaria ?
-Je dois te parler d'une chose, j'aurais du le faire depuis longtemps mais je n'osais pas de peur que ca gâche tout.
Il fronça ses sourcils.
-Dit tkt rien ne changera je t'aime Amaria et je suis sincère avec toi.
Il était un homme bien, trop bien pour moi surement.
J'inspirai un grand coup et lui raconta tout enfin sans rentrer dans les détails détails je ne voulais pas qu'il me prenne pour une fille facile déjà que je ne le laissais même pas m'embrasser, le pauvre.
Il avait la bouche grande ouverte tout le long de mon récit, de temps en temps il faisait des petits commentaires du style « Sah ? Nan ! Wow ! Chaud !». Moi eh continuais de temps en temps j'avais les larmes aux yeux de temps en temps je souriais en repensant aux bons moments que j'ai passe car il y en a eu quand même.
A la fin de mon récit. Il se leva me regarda et me dit :
-Je te ramène.
Je montai dans sa voiture, j'avoue que j'étais déçue je lui avais tout raconté et lui ne disait rien je ne sais pas a quoi je m'attendais mais j'étais déçue.
Arrivé vers ma cité j'allais descendre de voiture mais j'avais besoin de lui parler de me justifier je ne voulais pas que ça soit fini entre nous j'étais attaché a lui.
-Karim je, c'est du passé tout ca. C'est...
Il me coupa, sans m'adresser un seul regarda.
-Amaria descend s'il te plaît, j'ai besoin de réfléchir.
Je descendis donc de sa voiture et rentrai chez moi j'étais dégoûte déprime au bout du rouleau quoi.
Je parlais plus a personne j’allais juste en cours et je rentrai chez moi pendant plus de 3 semaines je n'ai pas eu de nouvelles de lui jusqu'au jour ou je reçus un appel de sa part et décrochai tout de suite. Il vint me chercher en voiture, nous roulâmes pendant un bon bout de temps, nous étions sortis du 93. Il s’arrêta dans un quartier délabré comme il existe plein en France. Il m'aida a descendre de la voiture.
-C’est la que j'ai grandis me dit-il.
-Ou sommes nous ? Lui demandais-je.
-Quelque part dans le 92.
-Ah...
-J'ai toujours détesté vivre ici, bien sure j'avais des potes j’allais au foot avec etc mais dans le fond je détestais vivre ici. Les trafics, les descentes, la police qui nous toisait et nous méprisait tout ca ca a forgé une haine en moi, et depuis tout petit je me suis toujours battu pour sortir d'ici.
-Hamdouleh tu t'en est sorti lui ds-je.
Il sourit.
-Mon frère par contre il a toujours aimé vivre ici, d'ailleurs il s'y est installé après s’être marié.
Je ne savais pas quoi répondre je ne comprenais pas pourquoi il m'avait emmené la.
-Je comprends pas Karim.
-Remonte dans la voiture.
Je remontai donc mais je ne comprenais rien il commençait a me faire peur.
Il s’arrêta devant une boulangerie acheta des gâteaux et redémarra. Il se gara ensuite devant une grande et belle maison. Il se tourna vers moi .
-Amaria je suis désole de ne pas t'avoir rappelé, mais j'avais besoin de réfléchir a tout ca tu comprends ? C'était trop d'un coup.
J’acquiesçai.
-C'est pas grave Karim lui dis-je, mais je ne comprends toujours pas...
Il mi un doigt sur ma bouche.
-Liasse moi finir stp.
-Depuis le premier jour ou je t''ai vu tu m'as tout de suite plu, t'es belle tes une fille bien et j'ai eu le temps de réfléchir, tu n'aimes plus ce type n'est ce pas ?
-Qui ?
-Ton Robsco la ! Me dit-il d'un ton plein de mépris.
-Non je.. C’est fini je te le promets c'est du passé.
Je n'étais même pas convaincu par ce que je disais, je ne pouvais pas l’oublier mais il est vrai qu'entre lui et moi c'était termine.
Il sourit.
-Très bien alors oublions tout ca, ta vie teh les films hollywoodiens et tout.
J'eus un petit sourire.
-T'es bête.
-Ce soir je te presente a ma mère.
Je restai figée un moment, j’espérais vraiment qu’il se moque de moi je n'étais même pas habillée pour la circonstance, je ne m'y attendais pas en plus ça ne faisait que quelques mois qu'on était ensemble, ca allait top vite.
-Mais Karim, regarde comment je suis habillé en plus, je lui ai pas acheté de cadeau et...
Il me coupa.
-C'est qu'un détail tout ca.
J'étais paniqué. Il m'aida a sortir de la voiture.
Il rit quand il vit ma tète.
-Mdr panique pas, mes parents ils sont tranquilles, ma belle sœur par contre elle est un peu chiante j'avoue.
J'ouvris la bouche en grand.
-Il y a tas belle sœur aussi ????
-Ben oui tout le monde voulait te rencontrer !
J'étais pire que paniqué la.
-Karim pas aujourd'hui stp je suis pas prête.
-Amaria ai confiance en moi, te prend pas la tête reste toi même. Tiens, prend les gâteaux c'est toi l'invité après tout.
-Je vais te tuer lui dis-je.
Il rit.
-Mdr la je te trouve.
Il sonna a la porte puis me regarda et fronca ses sourcils.
-Ah et Amaria, il est hors de questions que t'ailles le voir en prison je te préviens.
Je n'eus pas le temps de répondre, la porte s'ouvrit une femme d'une cinquantaine d’années ouvrit la porte, elle était grande mince brune et très bien habillé. Elle me fit un grand sourire.
-Ca doit être toi Amaria, rentre ma fille rentre.
Je rentrai donc, j'étais toute genée. Je lui tendis la boite de gâteaux.
-Merci benti, fallait pas.
-Amaria, voulait pas venir les mains vides zerma. Dit Karim a sa mère.
-En plus d’être belle elle est bien éduquée c'est très bien masha Allah.
Je rougis j'étais super gênée.
Nous la suivîmes a la cuisine, c'était une cuisine assez moyenne mais elle était joli. Il y avait une femme d'une trentaine d'années dans la pièce, elle était un peu forte. Elle me fit la bise.
-Amaria c'est ca ?
-Oui lui dis-je.
-Moi c'est Sahra, je suis la sœur de ce hmal la. Elle lui mit une petite tape sur la tête.
-Enchantée lui dis-je ;
-Ne sois pas gênée ma fille tu fais partie de la famille maintenant.
C'était la belle famille idéale pensais-je, mais ça allait trop vite pour moi enfin je sais pas j'étais perdue un peu.
Nous partîmes au salon ensuite ou Karim me présenta son père sa belle sœur qui était une très belle femme mas elle me regardait de travers –' je sais pas pourquoi d’ailleurs, il y avait aussi son frère ainsi que son père son beau frère et ses neveux il y avait la Joulia 5 ans la fille de sa sœur, elle avait épousée un italien un chrétien, très bel homme, et Abdel le fils de son frère, sa femme était enceinte d’ailleurs.
Il me fit visiter sa maison, elle était assez grande, ça se voyait qu'ils avaient de l'argent sûrement grâce a Karim parce qu'avec son travail il gagnait pas mal de tunes.
Enfin bref nous partîmes manger, je m'étais explosé le ventre ce soir la, sa mere cuisinait trop bien.
J'avais passé une super bonne soirée, ils étaient tous sympas a part la belle sœur de Karim qui arrêtait pas de faire des réflexions –' sinon j'avais bien aimé passer du temps avec je pourrais me plaire dans cette famille c'est sure même.
Karim me raccompagna chez moi.
-Me refais plus ca lui dis-je. Hmal !
Il sourit.
-Mdr tranquille tu vois que c c'est bien passé.
J'eus un coupe de speed m'approcha de lui et posa mes lèvres contre les siennes, je ne sais pas pourquoi je fis ca mais il était tellement gentil avec moi. Ce baiser ne dura qu'une seconde je décollai tout de suite mes lèvres des siennes. Il avait l'ai choqué puis il sourit.
-C'est vraiment une super bonne soirée.
Je lui souris et descendis de la voiture. En marchant vers mon bâtiment je mis ma main sur ma bouche, je n'avais pas ressenti ce que j'aurais aimé ressentir en l'embrassant, ce sentiment cette sensation que j'avais en embrassant Robsco je ne l'avais pas ressenti avec lui mais je ne devais pas penser a cela après tout Robsco et moi c’était terminé. Il était tard lorsque je rentrai mais bien sur Elias m'attendait je lui fis mon compte rendu et m'endormis.
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kidnapper par un chef de gang
Ficción Generalla meilleure fictive et je rappelle que c'est pas moi qui l'ai écrite , moi j'enregistre les meilleures chroniques qui étaient sur Facebook mais désactivées pour vous les faire découvrir ici ou là-bas