Chapitre 1: nouvelle vie

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C'est ma première histoire, tous les personnages m'appartienne ainsi que l'histoire, je m'excuse des fautes d'orthographe. Bonne lecture.

Elle y es enfin, le lycée, la délivrance, la maturité. Enfin pour certain, elle se dirige vers le tableau d'affichage et cherche son nom dans les listes. Elle finit par le trouver sur la liste de la 2nd B ainsi que sa salle. La sonnerie retentit et elle se précipite dans l'immense bâtiment. Arrivée en retard le premier jour il n'y a qu'elle pour faire sa, elle arrive devant la porte essoufflé. Le professeur la toise lorsque qu'elle se faufile au fond de la salle pour s'assoir sur la dernière table libre, seule, c'est vrai qu'elle n'a pas voulut aller dans le lycée de ses amies, mais c'est ici qu'elle pourra faire ce qu'elle veux.
La matinée passe rapidement et viens le moment du repas, encore une nouvelle chose pour elle, il y'a beaucoup de monde et elle se sens plus perdue que jamais. Elle soupire en s'asseyant sur une table dans le fond du réfectoire.

A la fin de la journée, elle attendait le bus lorsque qu'on la bouscula, elle trébucha et tomba la tête la première dans la flaque d'eau la plus proche.
Elle monta dans le bus, tremper de la tête au pieds. Une incroyable journée sensée être son anniversaire, depuis la mort de sa mère elle n'avait plus le coeur a la fêter.
Elle poussa la porte de chez elle et entendit les cris de son père et sa nouvelle femme, une personne adorable mais malheureusement marier a un homme peu fidèle.
Emma ne détestait pas son père mais il était plus un inconnu a ses yeux.
Sa chambre était toujours aussi dérangée mais agréable,
C'était son refuge, la où elle pouvait être elle même, elle s'affalant sur son lit, épuisée et triste elle sentit une choses dur sur les draps.
Une petite boite marron reposait sur la couette, une lettre  signée de sa mère attira son attention. Elle l'ouvrit, un petit bout de papier et une clé tombèrent sur le lit, sur le papier une sorte d'énigme : 
- je file mais personne ne me voit, je tue mais personne ne le sait, je suis parfois long et on me remonte seulement dans les contes.
La carte était signer de la douce écriture de sa mère.
Une vague de déception la prit, elle pensait a des mots réconfortant ou des indices pour une nouvelle vie, mais non ce n'était qu'une énigme incompréhensible. Elle  reporta son attention sur la clé et la boîte. Elle glissa la clé dans la serrure de la boîte, un petit déclic se fis entendre redonnant le sourire a la jeune fille.
Elle découvrit son contenu et son sourire s'évanouit, une simple montre accroché a une chaîne. En l'examinant elle découvrit qu'elle ne marchait même pas. Déçue, elle enfila la chaine autour de son cou, mais un détaille attira son attention, un petit message graver dans le métal.

-les contes on toujours une part de vérité

Elle courut récupérer le bout de papier sur son lit, il devaient être liés.
Elle prit la petite montre entre ses mains et réfléchis a l'énigme de sa mère.
Si l'énigme était une métaphore alors la gravure aussi. La réponse a l'énigme devait être sur un des deux. Par réflexe elle tournait le petit bout de métal entre ses mains, soudain elle eu une idée, et si la réponse était le temps, il file mais on ne le voit pas, il tue mais on ne le sais pas et il n'est remonter que dans les comptes, le message de la montre est la suite de l'énigme.
Elle remarqua alors de petites inscriptions sur les aiguilles immobiles:
Si le temps avance, il peux aussi reculer.
Elle prit le gousset et le fit tourner, les aiguilles remontèrent et la pièce disparue, une vive lumière l'éblouit et les aiguilles s'immobilisèrent. Elle atterrit sur l'asphalte dure et sale, ce n'était plus le Paris qu'elle connaissait...

Voilà premier chapitre je verrais pour le deuxième n'hésiterai pas a me donner des idées car j'écris comme sa viens.

Au fil du tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant