Si un jour, alors que vous êtes à table avec vos parents et vos frères et sœurs, ne pensez pas que tout est normal car tout peut changer en tout et rien.
Si ce même jour, à cette même heure vos parents qui d'habitude sont souriant, semblent cette fois ci préoccupés, ne vous dites surtout pas que c'est normal.
Si vos parents vous déclarent avec un sérieux à vous glacer d'effroi qu'ils ont un truc de très important à vous dire, ne vous dites pas que c'est normal, et ne restez pas comme moi assise bien sagement sur votre chaise en attendant la suite des événements.
Oh non ! Ne faite pas cette regrettable erreur.
A ce moment, vous devrez prendre vos jambes à votre cou et courir le plus rapidement possible vers un foyer pour jeune le plus proche et leur demander asile tout en leur expliquant que chez vous, tout est devenu anormale. Mais si vous sonnez à une heure imaginable et que vous emeutiez le quartier avec votre histoire, ne vous étonnez pas s'ils vous prennent pour un fou.
J'avais donc raison de rester assise bien sagement sur mon siège même si la chose très important que mes parents allaient annoncer pouvait rentre dans un livre d'or des records dans la catégorie de la blague "carambar" la moins drôle.
En tout cas, ne vous posez aucune question car vous en aurez la migraine et elles seront longtemps sans réponses.AVERTISSEMENT
Après avoir lu ce livre, ne soyez pas parano et éviter de tous les gens avec des yeux ronds. Ils vous prendront pour un idiot, et en plus c'est mal poli.
Tout commença un mardi normal, un soir normal. Quand on dit normal c'est que rien ne s'est passé mise à part le train train quotidien. On est bien d'accord ? Très bien.
Alors rapprochons nous de l endroit où cette histoire débute. C'est dans une avenuen: avenue des Tilleuls. Mais les habitant disent plutôt l'avenue des écureuils. En effet, beaucoup de ces bêtes habitent dans les arbres qui bordent la route. Quand on passe dans cette avenue on les vois courir. Enfin on voit surtout un éclair dans les tons marronné et roux qui traverse la route juste devant vous, ce qui force souvent les voitures à freiner brutalement et à laisser des grosses traces de pneus sur la chaussée.
De chaque côté de cette avenue, des maisons sont alignés bien sagement avec leur jardins bien entretenues où les fleurs et le gazon poussent malgré la sécheresse alors que ce n'était que le mois de mai.
Nous allons nous approcher d'une maison : le numéro 36 . Le jardin est d'aspect normal, bon après cela dépend des goûts, si on aime pas les décorations de jardin on trouverait cela plutôt bizarre. On s'étonnerait surtout du nombre, mais bon nous ne sommes pas la pour débattre sur le nombre de nains de jardin que nous pouvons mettre sur sa pelouse.
A l'intérieur de la maison, tout est normal. Il y a un salon, une salle à manger,une cuisine, des couloirs, des chambres, des salles de bains, une salle de jeux, des étages, des escaliers, des meubles et toutes les choses qui servent plus ou moins dans une maison abritant une famille nombreuse.
Il est sept heure du soir, la famille Martin est en train de prendre son dîner. Tout est normal enfin pas vraiment. Car si on se rapproche un peu plus de la table , on verrait la tête des parents. Madame et monsieur Martin qui d'habitude sont souriant, se jettent des regards inquiets . Les enfants, eux ne remarquent rien. Ils ont une attitude normale pour une fratrie: il se disputent, rigolent, racontent leurs journées aussi normalement que possible.
Alors que les aines débattaient sur un sujet quelconque et que les derniers se disputaient, monsieur Martin se racla la george. Doucement au début, mais comme il y avait beaucoup de bruit dans la cuisine, il se racla plus fort. Il ne réussit pas attirer l'attention des enfants juste à s'étouffer. Dommage ! Il toussa tellement fort que son dernier le regarda avec des yeux ronds d'inquiétude.
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Gardiens
FantascienzaEt si les anges Gardiens existaient vraiment ? mais qu'au lieu d'être habillé d'une longue robe blanche avec des ailes, c'était des humains avec des Dons ? et si l'équilibre entre le bien et le mal ne tenait qu'au choix d'un petit garçon de huit ans...