La valise

Première partie

Il y a deux ans j'étais partis en voyage à Amsterdam, beaucoup de mes amis m'avait conseillé le Van Gogh Museums, ce fus donc sur ces bon conseil que j'étais partis pour visiter ce fameux musée.

En entrant dans celui-ci, je fus impressionné par la beauté du bâtiment, les peintures étaient magnifiques et et tout aussi impressionnante que le bâtiment. Je faisais le tour du musée quand je vis un tableau nommé "L'église d'Auvers-sur-Oise" je m'approchais et l'examinais avec avec attention.

En me retournant, je vis que les gens autour de moi me dévisageaient. Je ne compris pas tout de suite qu'ils me regardaient, moi, mais j'eus tout de même très peur.

Malgré cela, j'entrepris de nouveau d'analyser le tableau et m'aperçu qu'il y avait un deuxième personnages sur la peinture, c'était homme plutôt grand, il portait un très long manteau noir et des lunettes de vue, il avait une vielle valise de l'époque dans sa main gauche.

Lorsque je me penchai pour voir de plus près, une étrange chaleur m'inonda puis, je sentis quelque chose m'aspirer. Enfin après cette étrange sensation je ne voyais plus le musée mais bien un étrange couloir de couleur vive. Je marchais dans celui-ci quand j'entendis deux homme parler. je ne réussis pas à comprendre la Conversation mais il y avait un mot qui revenait souvent, ce mot n'était autre que le plus d'éfinitif de tout, le mot "mort".

Je continuerai de marcher dans ce couloir qui s'assombrissait pas après pas. Cela faisait au moins dix minutes que j'avancerais dans cet étrange et repoussant corridor quand je vis une porte grise au fond de celui-ci. Je l'ouvris pour me retrouver dans la nef d'une église.

Je m'arrêta pour pouvoir faire le point des récents événements. Après mûres réflexions je deduisais que c'était sans doute l'église d'Auvers-sur-Oise que Van Gogh avait peint. Quand je fus enfin sorti d'ici je vis les deux hommes de tout à l'heure en pleine dispute. Je reconnu tout de suite l'homme au manteau noir, il me fallut plus de temps pour reconnaître Vincent Van Gogh. Quand ils me virent arriver vers eux ils se turent net, comme s'ils avaient quelque chose à cacher, il me demandairent alors qui j'étais. Après m'être présenté je demanda à l'un des deux homme s'ils pouvaient m'héberger cette nuit car c'était par accident que j'étais ici. C'est Vincent qui voulu bien m'accueillir chez lui. L'homme en noir disais s'appeler Eli, nous discutions quand je vis que la valise était tachée d'un liquide rouge, je crus tout d'abord à du sang mais je me suis résigné à ne pas croire cela et à ne plus y penser.