Chap 4

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PDV Rose
On cogna à ma porte, ce qui me fit sortir de mes pensés. Je me levais et partit ouvrir ma porte pour voir Émilie, la domestique, qui me regardait avec bien-veillance. Elle me dit tout doucement:"-Ils sont arrivés, chérie."Je savais de qui elle parlait. Je ne fit qu'hocher la tête et lui dit que j'allais venir dans une minute. Elle me laissa tranquille et je me dirigeais vers ma salle de bain. Je me regardais dans le miroir et je m'essuyais le mascara qui avait couler le long de mes joues. Je me recoiffa légèrement et remis un peu de mascara. Je me souris à moi-même dans la glace, essayant de me convaincre à moi-même que tout va bien se passer.J'ouvris doucement la porte de ma chambre et me dirigeais vers les escaliers. Une marche, deux marches, et ainsi de suite. Arrivée en bas des escaliers, je me dirigeais vers la salle de séjour où se trouvait tout le monde. Je vis d'abord mes deux grandes soeurs et mes deux grand frères. La plus vieille se nommait Elena, la deuxième, Clara, et mes deux frères, Jack et Émile. Ils me regardèrent tous d'un air sérieux. Je les ignora et continua de regarder autour de moi.Je vis ma mère et mon père parler avec un homme qui était dos à moi. Et juste à côté, il avait elle. Je pris une grande respiration et m'avança, sûr de moi et je me raclais la gorge pour attirer l'attention de ma mère qui leva ses yeux vers moi. Elle hocha la tête et se leva."-voici Rose."Le père de... Elle, se leva le premier pour me faire face. Il me sourit grandement et tendit la main vers moi."-Enchanté, Rose. Je t'en prit, appelle moi Sébastien. Je suis le père de Laure ."
Alors c'était cela son prénom,Laure. J'hochais la tête et baissais les yeux vers Laure.Elle se leva à son tour. Comme dans les films, elle avait l'air d'aller au ralentit. Je voyait ses bras qui ne touchait même pas à ses côtes tellement il était carré.Les yeux bruns tellement foncés qu'on ne voyais pas la pupille, des cheveux châtains... "-Rose? Ferme ta bouche, me dit sévèrement mon père qui me sortit de mes pensés. "
Je fermais immédiatement la bouche quand je remarquais que j'étais vraiment en train de mâté ma future femme. Je raclais nerveusement ma gorge et baissa des yeux. "-Heuu... Oui, pardon, Père."

Le Mariage forcé [ en correction ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant