Je m'appelle Maëlle j'ai 13 ans et cela fait 2 ans que je lis que je mange que je dors MANGA. Chaque soir après les cours je me dèpeche de partir pour rester malheureusement que deux heures à Japanim, ma deuxième maison. C'est le magasin de manga dans la ville. J'y reste tellement longtemps que d'une pars je connais bien les vendeurs et en même temps ils ont l'impression que je lis les mangas sans les acheter. J'en achète aussi beaucoup pour les collections perso mais j'en lis tellement qu'un jour en cherchant dans une étagère à Japanim je suis tombé sur une série de manga de trois tomes. Il n'y avait pas de titre, pas de photo, les pages de couvertures étaient rouge. Il n'y avait pas de signe disant qu'ils étaient vendus. Alors je les aient ramené chez moi. À 20 heures mes parents m'ont libéré
Et je me suis alors dépéché pour les dévorer, j'ai lue 170 pages de manga. Il était 23 heures et je venais d'arriver à la dernière page quand je lue "Si tu as lus les deux premiers tomes et que tu as un amour assez fort envers les mangas et l'histoire que tu viens de lire alors tu seras victime du même sort que le héros de cette histoire." J'ai alors rigolé, un rire venant subitement quand tu lie une ânerie mais qui se transforma en doute, un doute terrible. Le héros de l'histoire avait été le sujet d'un horrible sort...
Le héros nommé Natsu m'avait beaucoup plu. Pourquoi ? C'est simple : il a le même nom que le héros dans Fairy Tail ma série préférée et aussi parce que dans l'histoire il me ressemble un peu. Il a la phobie d'être seul, de décevoir ces amis. Mais en battant le gros méchant, vous savez ce méchant dans les films, les mangas, les romans, les bds, qui apparaît après son armée qui a été détruite et qui est super fort et bah dans ce manga le héros à perdu et est fait prisonnier. Et on lui fait boire un poison, le pire poison possible il ne change rien à son physique mais il lui fait rendre tout ses mots grossiers, il ne peut ressentir de gentillesse, de pitié, d'humour et tout ce qu'existe de positif. Alors moi Maëlle je perdrais tout ce qui fait ma personnalité, je doutais, je pleurais, je m'énervais mais je ne trouvais rien de drôle alors est ce vrai ? Je n'arrivais pas à me dire que c'était faux. Les pensées négatives ne pouvaient disparaître, je n'arrivais pas à penser à autre chose. Ce qui me fit encore plus peur...