『Game Gang 』 - m.yg -

Chapitre 1

Les écouteurs vissés dans les oreilles, mes yeux se promenaient entre les passants et les grands bâtiments de la métropole nommée Séoul. J'étais frapper de pleins fouet par le froid glacial. Nous étions le 24 décembre, la veille de Noël. Et non je ne faisais pas partie de ces bonnes familles fêtant noël entouré des personnes les plus chère à leurs yeux, je ne pouvais pas, ma famille habitait en dans la ville de Busan, tandis que moi j'ai emménagé à la capitale, pour pouvoir poursuivre mes rêves et terminer mes études. Mais cette année je ne suis pas passé acheté de billet de train pour rentrer dans ma ville natale. En cette fête de fin d'année, Je n'aurai pas la chance de voir le grand sourire de mon père qui déballe un énième cadeau, je ne verrai pas non plus mon petit frère regardant le dessert glacé avec tant de gourmandise, et ma mère, elle ne sera pas la à m'attendre les bras grands ouverts à crier que son petit Jimin venait de rentrer au cocon familiale. Cette année, j ' étais seul, à Séoul avec comme seul compagnie mon portable. Et oui, c'était bien triste, mais c'est moi qui ai fait ce choix, j'ai enfin sauté le pas, du jour au lendemain,  j'avais quittés mes repères pour m'installer à la capitale. Je voulais intégrer une prestigieuse école, mes parents m'avait aidé à payer mon premier loyer mais depuis quelque mois, je me rendis compte que la page était tournée et enfin le jeune homme que je suis était devenue indépendant à ses heures perdu. Maintenant, je devais me débrouiller pour gagner l'argent nécessaire pour subvenir à mes besoins. Certes, je n'avais que très peu d'expérience au niveau travail, mais mon loyer était toujours réglé en temps et en heure. Je vivais depuis un moment une vie assez plate qui était rythmé par le même emploie du temps, c'était une vie bien monotone pour un jeune d'à peine 20 ans.

Depuis un quart d'heure, je marchais d'un pied ferme pour rejoindre mon espace vital, je venais de sortir mes clés de mon épais manteau couleur nuit, le vent me frappant une dernière fois, je pénètre dans mon logis, c'était très calme aucun bruit même pas une mouche voler. Une ambiance reposante dégageait de celui-ci, des couleurs claires habillaient les murs de ma bulle. la décoration n'était pas sophistiquée non plus, un vrai dire un peu vide. Je retire ma veste en jetant sur le porte-manteau de l'entrée. Je m'installai sur mon sofa, puis j'allumais ma télévision, qui brisât le calme comme du verre. J'écoutais les nouvelles informations d'une oreille attentives, elles parlaient encore de l'affaire d'un certain groupe de mafieux très dangereux appeler Bangtan, cela faisait plusieurs fois que l ' on entendait parler d'eux. Ils étaient toujours présents dans les plus grosses affaires. Beaucoup de trafic de drogue et d'arme.

Il était une heure du matin, j'étais toujours affaler sur mon divan, la bouche grande ouverte avec le petit filet de bave collé de part et d'autre, c'était une nuit comme les autres et se fut comme ça pendant quelques jours

Quelques jours plus tard, j'avais les écouteurs vissés dans les oreilles, j'étais dans mes penser, je me posais encore cette même question vais-je encore vivre longtemps seul, quand vais-je rencontrer quelqu'un et me faire des amis. Je me disais tous les jours que ça arrivera demain ou bientôt mais je commençais à trouver le temps long tous seul. Je ne parlais que à moi-même tous les jours et la solitude commençais à me rattraper. Je marchais encore dans les grandes rues animées de la métropole, j'étais plongé dans mes pensées et j e regardais les personnes qui m'entouraient, je m'amusais à deviner leur caractère de chaque personne que je croisais, c'étais mon quotidien lors de mes promenades. Je regardais les innombrables boutiques il y en avait pour tous les goûts, mais mon regard s'arrêta sur un vieux café chaleureux, il donnais l'envie d'y rentrer, je me dirigeais vers l'entrée de celui-ci. Il y avait très peu de monde, les couleurs étaient chaudes et les meubles tous de bois, il se marriai à la perfection avec l'ambiance du lieu. Le café était peut-être ancien mais il donnait envie de s'arrêter pour goûter à leurs nombreuses pâtisseries et breuvages. Je m'installai une petite table prêt des grandes fenêtres. J'observais à travers le grand carreau de verre les passants, beaucoup étais accompagnés d'une ou plusieurs personnes, certains passants se tenait la main et d'autres étais seul comme moi. Une personne s'approcha de la table ou je me situais et brisa ma bulle de silence avec ces simples mots.

-Bonsoir, avez-vous pris votre commande? Me dit-elle avec son sourire orné de ces belles dents.
-Euh, non, je vais prendre un macchiato. lui dis-je d'une petite voix.
-D'accord, c'est noté je vous apporte votre commande.

Elle partie vers le comptoir s'occuper de ma commande tandis que moi je retournais à ma dernière occupation, je regardais l'heure sur mon cellulaire, il était très tard mais ce quartier restais ouvert presque toute la nuit. J'aimais beaucoup Séoul pour cette raison, la nuit cette ville était comme un spectacle de lumière.

Quelques minutes plus tard, la jeune femme m'apporta ma commande, elle déposa vers moi une tasse blanche fumante qui m'avait l'air si fragile. la petite tasse était sous mon nez, je humais ma boisson qui avait une odeur douce, puis d'un geste prudent j'attrapa la anse et apporta le liquide bouillant à mes lèvres. Et bu quelques gorgés, il était vraiment délicieux, un goût relevé qui me rappelait les boissons chaudes partagées avec mes familles au coin du feu, se breuvage est exquis, vraiment.

Je venais de quitter le café. Et je venais de renfiler mon blouson, mais malgré que celui-ci me couvrait la moitié du corps, le froid me frappa de plein fouet. Un grand frisson parcourra mon échine et mes pats augmentaient leurs vitesses, je marchais encore pour rentrer à mon appartement qui se situait à 10 minutes à pied. Le froid me glaçait les os, mais je me demande si ce n'étais pas autres choses qui me donnais aussi froid car depuis que je suis sortie du café je sentais comme un regard intense sur moi, comme si quelqu'un me surveillais depuis plusieurs minutes mais au fond de moi même je pensais que ce n'était que la fatigue qui commençait à s'installer. Je commençais à presser le pat car cette sensation était insupportable. Et tous à coup, je sentis une pression sur mon bras, elle se faisait de plus en plus forte, je voulais me retourner pour voir qui pouvais me faire ça, malheureusement, la personne enfonça son poing dans ma tempe avant que je ne puisse voir son visage. Je sentis mon corps bousculer en avant, mais la personne me récupéra avant ma chute. Je ressentais la pression de deux bras me porter, je n'arrivais pas à voir qui me portait. Mes yeux étaient clos et mon esprit embrumer, je me sentais partir loin jusqu'à ne plus rien sentir. Que se passe-t-il ? Tel étais la question ...