Je crois que j'ai toujours eu envie de ça.
Et que je l'ai toujours refoulé.
Je crois que c'est une partie de moi.
De ce que je suis vraiment...
Une prédatrice.
Une dominatrice.
Un esprit tordu, profondément tordu...Elle, c'était celle avec qui il devait être.
Gentille, naïve, ronde, et surtout, innocente.Un teint noir d'ébène, un visage et des mimiques d'ange, et un corps presque de rêve.
Des fesses rondes, grosses, des cuisses gourmandes, de petits seins ronds, et pointus.
Elle était innocente, du moins, pas trop expérimentée...
Et moi, j'étais juste moi.
Lui, mon homme, s'en voulait, de lui avoir brisé le cœur parce que, oui, ils tenaient l'un à l'autre, au fond.
Mais moi, j'ai su le séduire et le faire mien.
Et lui, lui ne m'a jamais caché qu'il la trouvait bonne, généreuse, délicieuse à prendre...
Je l'ai rencontrée un week-end, chez lui. Elle déprimait, et était passée le voir, pour discuter.
Au début, j'étais gênée, mal à l'aise.
Puis, je l'ai vue, si fragile, si innocente et naïve, et surtout, j'ai vu ses fesses...
Sa candeur et son corps ont éveillé mes instincts de prédateur, alors je le lui ai dit, à lui, mon homme, que je la voulais, elle, sa petite amie ratée, et que je la prendrai et l'aiderai, lui, à jouir en elle.
Ça l'a excité, ça m'a donné envie, et on s'est fait, bestialement, à cette idée.
Et finalement, le jour a fini par arriver...
Elle était revenue, toujours déprimée. Il l'avait laissée seule dans la chambre, pour aller lui préparer un morceau à grignoter.
Et moi, je suis arrivée.
Elle portait une robe moulante, qui dessinait parfaitement son corps, ses fesses, ses seins, son petit ventre...
Je me suis approchée, je lui ai fait la bise pour la saluer, et je me suis assise sur le lit.
Elle a fini par se confier sur ce qui la tracassait. Je l'ai écoutée, je l'ai consolée, puis bercée.
Et finalement, je l'ai prise dans mes bras, et sans pouvoir m'en empêcher, je l'ai embrassée.
Elle a eu peur, a hésité, mais s'est finalement laissée faire...
Alors, mes mains se sont faites baladeuses sur sa robe, caressant ses courbes, et enfin, sous sa robe...
Elle gémissait déjà, haletait aussi.
J'ai approfondi mon baiser, empoigné et malaxé sa petite poitrine, et fini sous sa robe, encore, pour titiller son bouton d'amour.
C'est à cet instant précis que mon homme est entré, ou était-il là depuis, je ne sais pas.
Il était comme hypnotisé, par cette vision de nos deux corps s'entremêlant.
D'elle, en sueur et haletant, et de moi, avilisant celle avec qui il a failli être.
Elle avait honte...
Moi, j'étais heureuse qu'il soit venu.
Alors, j'ai rassuré ma chère amie en lui donnant un baiser doux. Je me suis levée, j'ai défait mon jean qui retenait mes généreuse hanches et mon derrière non moins voluptueux que le sien.
J'ai ouvert tous les boutons de mon chemisier, qui moulait à la perfection mes seins, bien plus gros, eux, que les siens.
Mon petit ventre plat apparut, et tous deux découvraient mon teint café au lait.
Je me dirigeai vers la porte, la refermai, pris le plateau de nourriture dans les mains de mon homme, et le déposai sur la table à babioles près de la porte.
Il était toujours immobile, et elle, toujours perdue et gênée sur le lit.
Je guidai mon homme vers elle, et une fois près du lit, je m'allongeai à ses côtés, lui souris, et me remis à lui carreser les seins.
Elle se crispa un instant, puis se laissa aller.
Je l'embrassai de nouveau, et elle gémit.Je l'aidai donc à se relever à demi, histoire d'ouvrir la fermeture de sa robe, pour dévoiler et dévorer ses seins.
Elle n'en pouvait plus, alors, je l'ai aidée à remonter sa robe à sa taille, pour avoir plus de liberté sur son clito.
Mon homme était là, à côté du lit, la queue pendante et la vue rivée sur nous, les deux femmes de sa vie.
Du clito, je descendis légèrement à sa chatte, mouillée, humide...
Je plongeai un doigt qui la fit grimacer. Alors, j'utilisai mon pouce pour à nouveau lui stimuler le clito, ce qui la fit gémir, encore...
Puis, je me levai, lui ordonnai de se mettre au bord du lit, à quatre pattes, ses grosses boules dégagées vers l'arrière.
Elle s'exécuta, pendant que j'embrassais mon homme à pleine bouche, lui caressais le torse et lui palpais la queue, bien dure et chaude, à travers de son jean.
Quand elle fut bien offerte, je défis le jean de mon homme et le guidai au bord du lit, derrière elle, juste devant son gros derrière...
Elle était totalement perdue, mais elle eut tôt fait de comprendre le sort qui lui était réservé, quand mon chéri se mit à lui carreser et claquer les fesses.
À lui passer sa queue bien dure et chaude entre la fente de ses rondes boules.Moi je m'éloignai, défis l'agrafe de mon soutien-gorge, et enlevai mon string.
Puis, je pris un préservatif sur la table de chevet, ouvris le sachet et revins près de mon homme pour le lui mettre.
Il était si chaud, mon bébé...Alors, je me mis de côté, tirai sur le string de ma chérie, et embrassai à pleine bouche mon homme, pendant que je le tirais plus près encore de ses fesses.
Quand il entra enfin en elle, elle cria, et on eut encore plus envie.
D'une main, il me pelotait mes fesses, et de l'autre, retenait notre invitée par la taille, pour mieux la labourer, tout en me dévorant la bouche. C'était si exquis.
Quand on la sentit au bord de l'explosion, j'abandonnai les caresses de mon homme, pour me mettre sous elle et lui dévorer le clito, pendant que je lui pelotais ses petits seins bien ronds et durcis par le plaisir...
Mon homme, lui, donnait de plus en plus fort ses coups de boutoir, et bientôt, tous deux eurent atteint les sommets...
Mon chéri lui lâcha son foutre, et sortit d'elle, pour enlever le preso.
Moi, je m'ecartai pour la laisser s'allonger, et pour profiter, à mon tour, de mon chéri.
Celui-ci me tira au bord du lit, s'agenouilla et m'ouvrit les cuisses. Il se mit alors à me bouffer la chatte comme si sa vie en dépendait.
Quand il eût fini, c'est pantelante qu'il me tira plus près de lui, et s'enfonça profondément en moi, en me regardant droit dans les yeux...
C'est dans cette position, lui en moi et me labourant avec rage et passion, et notre chère amie nous regardant, que nous avons, nous aussi, atteint les plus hautes cimes du plaisir.
Il s'est écroulé sur moi, fatigué, pendant que notre amie se rapprochait de nous, pour qu'à deux, nous puissions le bercer et lui témoigner toute notre gratitude.
Après, je ne l'ai plus jamais recroisée chez lui, notre invitée, même si j'aurais aimé qu'on lui fasse découvrir à deux, mon bébé et moi, d'autres plaisirs de la chair...