prisonniers du miroir

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La première fois que je me suis rendu invisible, c'était le jour de mon deuxième anniversaire. On peut dire que c'est la faute de black. Black c'est mon chien. Une vraie andouille, bien que ce soit un chien papillon. Il est tout blanc, c'est pour ça qu'on a appelé Black. Black n'avait pas été en train de renifler partout dans le grenier... Bon , je ferais peut-être mieux de commencer par le commencement. Bon mon anniversaire tombé d'un samedi. Il pleuvait. J'attendais mes copains pour ma fête des minutes à l'autre et je finissais de me préparer. Le Pré Paris, ça veut dire me brosser les cheveux. Jérémy, mon frère, n'arrête pas de se moquer de moi et de ma coiffure. Il trouve que je passe  beaucoup trop de temps devant le miroir à me bichonner. Mais il faut dire que j'ai des cheveux magnifiques. épais, doré et à peine onduler. C'est ce que j'ai de mieux et j'aime bien les mettre en valeur. en plus, j'ai de très grandes z'oreilles, complètement décoller. Il est très important que mes cheveux les caches en permanence.

- Paul, ils sont tout en mêlée sur la nuque! Déclara Jérémy, planté derrière moi pendant que j'ai vérifié ma coiffure dans le miroir de l'entrée. Jeremy a deux ans de moins que moi. Ce n'est pas un mauvais Bougre , mais il est trop d'énergie. Il faut toujours qui lance un ballon, qu'il tambourine sur la table, qui cogne sur quelque chose, il court partout, il tombe, il saute et qui se bat avec moi. vous voyez le genre. Papa dit qu'il a la bougeotte. c'est une expression idiote mais c'est à c'est vrai. En plus, il est Gossip il passe son temps à jouer à la balle dans la main de la main gauche. Même si dans la maison où est bien sûr formellement interdit!

- je ne te redis le coup pour voir mamie. Ce n'est pas enmeler menteur.

-Attrape! criamon frere en me lancant sa balle.

Raté! Elle vin frappé le mur, juste au-dessous du miroir, avec un bruit sourd. Pétrifié, nous n'avions plus bouger, guetant la réaction de maman. Mais elle n'avait rien entendu. Elle devait être dans la cuisine, en train de mettre la touche finale à mon gâteau d'anniversaire. Je chuchotai      - c'est malin! ta failli casser la glace.

- c'est toi qui est malin !

Ben voyons !

- et si tu as premier à lancer de la main droite ? Je pourrais peut-être attraper tes balles de temps en temps.

Il déteste que je l'embête ce sujet.

- tu pues, dit-il en ramassant sa balle.

Ça j'y suis habitué. Il le dit cent fois par jour. Il doit trouver ça drôle. Pour un gosse de 10 ans, il n'est pas mal, mais il manque un peu de vocabulaire. avant que je puisse répondre, quelqu'un sonne à la porte. Je me précipitai, Jérémy fume plus rapide et c'est lui qui ouvrit les malgré les protestations.

-Eh ! C'est mon anniversaire !

Adrien, mon meilleur ami, s'engouffra dans la maison. il était trempé comme une soupe, parce que la pluie tomber averses. Il me tendit un cadeau enveloppé du papier d'argent carrément humide.

- ce sont des bandes dessinées. Je les ai déjà lu. Il y en a qui sont super.

- merci. Elles n'ont pas l'air trop mouiller.

Adrien on va sa casquette, sexy le permis d'examiner sa nouvelle coiffure.

- et bien. ! Ça te change ! Lui dis-je.

Ses cheveux raides et bruns été coupée très court d'un côté et retomber en rideau , beaucoup plus long, de l'autre.

- tu as invité des filles ! Me demanda-t-il.

- quelques-unes. Sophie et Marie ma cousine Charlotte viendra peut-être.

Je savais qu'il aimait bien. Il hocha pensivement la tête. Adrien envisage de très sérieux, avec des yeux bleus. Il regarde toujours le lointain, comme s'il était perdu dans tes pensées. c'est un petit profond. Sa mère veut, mais très remonté. Il faut toujours qu'il soit le premier partout. Fille se retrouve deuxième c'est une catastrophe. envoyez le genre! il fait quoi sa casquette pour les goûter et s'inquiéta:

- qu'est-ce qu'on va faire ? Tu as vu le temps ?

Josset les épaules.

- j'ai loué des cassettes vidéo. On pourrait peut-être les regarder.

Sonnette retentit un nouveau. Jérémy, surgissant de nulle part, nous repoussa aménageant amant et plongea vers la porte.

-Oh! C'est vous! S'exlama-t-il.

-Merci pour l'acceuil.

Je reconnus la vois de Sophie.À caue de sa voix et de son aspect frêle, on a surnommé sophie Souris. Elle a les cheveux court, blond et raides. Je ne la trouve mignone, mais, évidement , je ne l'ai jamais dit à personne.

- on peut rentrer ?

C'était Marie, autre fille de notre groupe. ses cheveux noirs et bouclés en cadre des yeux sombre et triste. J'ai toujours pensé t'elle mais il était triste, mais en fait aller simplement timide. A deux heures et demie, tous les invités et est arrivé, quize en tout. La fête pouvait commencer.

Le problème, c'est qu'on ne savait pas quoi faire. je voulais regarder Terminator, la cassette que j'avais loué. mais les filles voulais jouer à des jeux de société. après une longue discussion, on a réussi à trouver un compromis. d'abord on joue au Monopoly, et après, on regarde mon film. L' heure du goûter arriva vite et  nous permis de nous empiffrer de gâteaux et de crêpes délicieuses... ce fut une fête réussie, tout le monde s'amuse à beaucoup. après que Juju déballer mes cadeaux, on me demanda de remettre la cassette de Terminator pour voir les effets spéciaux. certains amis commencer a sen aller. Il devait être environ cinq heures, mais on avait l'impression qu'il était plus tard, parce qu'il faisait déjà noir et que l'orage redoublé d'intensité. mes parents pour ranger la cuisine. Il ne restait plus que Marie et Sophie. elle attendait la mère de Sophie, qui avait téléphoné pour prévenir qu'elle serai en retard. Black, planter devant la fenêtre du salon, aboyer comme un fou. Je veux jeter un coup d'oeil dehors, mais il n'y avait personne. recette andouille de chien à deux mains pour le faire taire , et après avoir réussi à le calmer, jeu proposé aux filles:

-vous venez dans ma chambre ? on m'a offert une nouvelle cassette de Game Boy et j'aimerais bien l'essayer.

Les deux filles acceptèrent avec joie. c'est justement, Terminator on leur plaisait pas. au premier, le couloir était plongé dans l'obscurité. j'ai appuyé sur l'interrupteur, mais rien ne se passa.

- l'ampoule doivent être grillée, dis-je.

Ma chambre est temps au bout du couloir, il nous fallait avancer à tâtons.

- on se croyait dans une maison hantée, par ici, remarqua Marie.

Et au moment où elle disait cela, le placard à linge s'ouvrit à la volée et une silhouette sombre nous saute dessus, en poussant un hurlement sauvage

prisonniers du miroirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant