Your hands on me

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J'aime la danse, vraiment beaucoup. Mais s'il y a bien une chose que j'aime encore plus, c'est Donghyuck. Il est.. Parfait en tout point. Il est tellement doué dans tout ce qu'il fait que parfois j'en viens à me demander si ce n'est pas un robot ou un humanoïde.

J'adore le regarder danser, sourire, parler, chanter, rire, parfois pleurer. Même quand il pleure, je n'arrive pas à lui trouver un défaut.
Chaque traits de son magnifique visage semblable à une statue grecque me rendent complètement dingue: ses yeux qui ont perpétuellement cette lueur curieuse incrustée dans ses iris, ses lèvres pulpeuses et terriblement aguicheuses auxquelles j'ai envie de m'attaquer chaque fois qu'il parle, son nez aplati légèrement voyant mais sans être proéminent qui est bien trop adorable à mon goût, son sourire lumineux qui pourrait adoucir le coeur du plus cruel de tous les hommes, son corps finement sculpté aux allures d'ange mais aussi de démon liées à ses cuisses foutrement musclées et son putain de déhancher.

Mais le meilleur moment, le moment où je peux totalement m'adonner à la contemplation de cette oeuvre d'art sans avoir peur d'être pris pour un psychopathe: c'est quand notre professeur lui demande de danser. C'est une des raisons pour lesquelles je prends encore plaisir à faire trente minutes de bus après les cours pour aller à ce foutu conservatoire.

Quand la musique se lance et qu'il est seul devant moi, qu'il ferme les yeux, que ses pas se mettent à le guider sur le parquet et que parfois je peux l'entendre chantonner les paroles Bad Intentions qui le transportent dans son monde auquel j'aimerai appartenir. C'est ce moment qui me rend à chaque coups d'oeil toujours un peu plus accro, un peu plus fou, toujours un peu plus amoureux. Je me demande si c'est humainement possible d'aimer à ce point, d'être dépendant du bonheur de quelqu'un, d'être attiré physiquement et mentalement d'une telle force.

TOUCH ITOù les histoires vivent. Découvrez maintenant