C'est en m'offrant le mensonge que je suis parvenu a la vérité ;
C'est en croyant à leurs arrogance que je suis tomber dans le tord;
En m’apprêtant à condamné l'essentiel ma vie est devenu vague .
J'ai souhaité que la vérité soit ignoré et oublier mais sa ne ma jamais permis d'avancer ;
Est-se qu'en relançant le temps , je parviendrai à me rénover ?
Je m'adresse que par le désire et j'en fus voir que superflu ;
Pourquoi être tant rangé par la colère et la haine ?
on vit dans le désarroi .
Serais-se un méprit pour la nature humaine ?
Des sens aiguisé au fils du temps ;
Peur d’être tuer, notre seul source de vie .
Elle alimente notre survie , rien que pour elle !
L’espoir tellement de personne le vaudront ;
Abrégé les souffrance le vœu du cœur .
Si il existé l'horloge qui donne le recule , l'autrui se permettrait d y songer .
A mon humble avis , les seconds pèsent beaucoup plus que les décennies.
Relevez juste le moment est vous deviendriez sobre .
Aveuglé , je ne le suis plus .
J'étais injuste envers moi même en devançant les événements .
J'avais cru que le pois hissé sur mes épaules ne serait plus , mais j'étais trompé .
Un tel fardeau sur le cœur , je ne pouvais y croire .
Des penses réserver qu'à la seul source de tout sentiment .
La vérité , il m'a fallu trois longue année pour l’apercevoir clairement .
Dés le départ , toutes étaient joué d'avance .
Les cartes sur table je ne pourrai me blâmer de ce qui en-sort .
Rien ne pouvais l'atteindre mais au seul contacte , étonné je le suis .
Comment cela peut il existé ?
Est-se que en évoquant le temps je me cacherai derrière mon échec ?
De quel échec je parle ?
Je ne fais qu'évoqué le fet et si il existé un autre nom je lui déduirai volontiers .
Je n'utilise que le mot le plus courant .
Il me condamne en rendant la jeunesse comme alibi , un échappatoire .
Pourquoi la jeunesse serai synonyme de stupidité ?
De bon fois , j'ai laissé les paroles à leur guise .
Je savais se qui m’attendrai en le fessant mais je ne voulait rien savoir .
Avoir le cœur allégé et sentir l'écoulement du fleuve chaud , je n’optais que pour ça .
Se fut mon bonheur même dans le souvenir .
Il m'était transmit que je ne converser qu'avec le chagrin .
Et si c’était ainsi ma naturalité ?
Certain me trouve dans le silence une inquiétude .
Est si le silence m'était favorable ?