Passion mortel

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DAFINA

Le vent souffler agréablement sur mon visage. Il fit voler quelques mèches de mes cheveux sur mon visage mais ça ne me gênait pas. J'étais comme dans ma petite bulle, je n'entendais rien d'autre que la douce musique que j'avais mis dans mes oreilles. Les quelques petits rayons de soleil timidement cacher derrière les nuages était agréable aussi. Tout était agréable enfaîte. En me rendant aux parc, j'avais croiser quelques élèves du lycée qui était étonner de ne pas me voir en cour, ils avaient tous l'air surpris que j'avais décidée de sécher les cours aujourd'hui.

Visiblement, ils n'y étaient pas non plus ew.

Il est vrai que je ne rate jamais les cours, j'aimerais entrer dans une université d'art à New York. C'est un sujet qui m'a toujours fascinée. Je suis une élève sérieuse, qui rend toujours ses devoirs en temps et en heure. Mais ces deniers temps, j'avais peur. On me suit, on me surveille, on me prend en photo contre mon gré. J'en suis sûr maintenant.

Qui ? Je cherche encore.
Pourquoi ? J'aimerais le savoir.

Et j'ai l'impression d'être seule aux monde. L'impression que mes amies ne prennent aucune de mes inquiétudes aux sérieux, ils me disent que je regarde beaucoup trop la télé et que tout cela est sûrement une blague de quelqu'un qui s'ennuie dans sa vie. Sauf que tant que j'en aurais pas la certitude, je n'irais pas mieux.

Mon père n'est quasiment jamais à la maison. Il travail beaucoup pour un grand magazine, et il travail dans l'état voisin. Donc il part souvent pendant quelques jours avant de revenir, pour repartir encore quelques jours après. Je ne lui en veux pas, le travail c'est le travail.

Ma mère ? On en parle pas. Je n'en suis pas fière. Je ne considère même pas avoir une mère. Bien que je sois venue aux monde grâce à elle, elle n'était rien d'autre qu'une criminel à mes yeux et jusqu'à la fin de mes jours je lui en voudrais pour ce qu'elle a fait.

Cela faisait un bon vingt minutes que j'étais assise sur un banc en bois vieux, abîmée et inconfortable mais les faibles rayons de soleil qui réchauffer mon visage ne me donner aucunement l'envie de bouger.

Les quelques personnes qui passer par le parc semblaient heureux, et de bonne humeur. Cela réchauffer mon cœurs. Ils avaient l'air de se sentir si paisible, sincèrement je donnerais un rein pour me sentir paisible dans ma vie.

Demain, c'est samedi et j'avais envie de voir mes copines. Même si elles sont persuadées que je deviens folle, elles seront quand même quoi faire pour me changer les idées. Plus les minutes passaient plus je me rendis compte que c'était beaucoup trop calme d'un coup. J'enlève mes écouteurs et les met dans ma poche et me concentre pour entendre le moindre petit bruit qui se ferait rassurant. Rien. Plus personne. J'étais seule plus que jamais. En tout cas j'espérais être seule à ce moment là. Je me sentais épiée, un frisson me parcourue la nuque jusqu'au bas du dos .. la peur était bien présente.

Je me lève brusquement et fit mine d'appeler quelqu'un. J'attendis quelques secondes avant de faire la conversation à ... personne en réalité. Je pense qu'on l'a tous déjà fais dans la situation où on a peur, ou qu'on ne veux pas parler à quelqu'un. Après une courte conversation avec moi même, et manquant d'imagination je range mon téléphone dans ma poche et j'accélère le pas jusqu'à la sortit du parc.

- Salut.