Chapitre 34 : ...et Anthony

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Anthony : t'approche plus de qui que ce soit pauvre connard !

Rémy : tu crois que c'est toi qui vas me dicter ce que je dois faire ?

Anthony : non mais je te conseille vraiment de ne plus t'approcher d'elles.

Marie : de toute façon, les filles, ce mec est pas un bon coup, je vous le dis, ça sert à rien d'essayer.

Rémy : j'ai mis du temps à te sauter, mais j'ai fini par réussir ! Alors te plains pas trop !

Marie : oui, mais je regrette d'avoir attendu aussi longtemps pour...ça. Cette toute petite chose.

Anthony : bon aller ! Assez parlé de ça ! On s'en va parce qu'il est soulant !

Moi : t'as raison !

On partit, j'appris à connaître la sœur d'Anthony, elle est vraiment très sympa ! Et puis très intelligente !

Le soir venu, près avoir passé une journée de cours royalement nulle, je rentrai chez moi et me mis à réfléchir à ce que je pourrais acheter à Anthony pour son anniversaire.

Je sais qu'il aime bien le foot donc pourquoi ne pas lui prendre des places de ça ?

Allez hop ! Internet et c'est réglé.

Le week-end arriva plutôt vite, chose qui m'étonna.

Mes parents étaient partis chez des cousins éloignés ou je sais pas quoi, j'avais pas trop écouté à vrai dire.

J'allai donc le samedi soir chez Anthony.

Il était là, sa sœur avait dû repartir.

Il y avait donc moi et...Anthony.

Il n'avait invité personne d'autre.

On se retrouvait donc tous les deux pour un dîner aux chandelles.

Quand j'entrai, il était dans un costume de pingouin comme j'appelle ça.

Il m'ouvrit la porte et me fit un grand sourire.

J'avais fait un énorme effort : j'ai mis une robe avec des ballerines.

Ça fait pas trop pouffe mais un peu "sexy" avec la coupe de la robe.

Anthony : salut.

Il m'embrassa sur la bouche.

Moi : salut.

Je regardai aux alentours, pour voir s'il y avait quelqu'un.

Mais non, il n'y avait personne.

Moi : ta sœur n'est pas là ?

Anthony : non, elle est repartie précipitamment car son fils est malade et elle voulait retourner voir si c'était grave. Même si la nourrice lui avait dit que non. Une vraie mère poule.

Moi : donc on est tous les deux ?

Anthony : c'est ça, on est seuls. Ça te va ?

Moi : bien sûr, ça me déplaît pas du tout ! Au contraire même.

Je le regardai, il comprit tout de suite ce que je voulais dire.

Anthony : bon, on passe à table ?

Moi : avec plaisir. On mange quoi ?

Anthony : des pâtes.

Je le regardai. C'est nul. Pour un dîner d'anniversaire il aurait pu faire quelque chose de mieux.

Moi : des pâtes ?

Anthony : ...

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Salut ! J'espère que tout le monde va bien.

Désolée de ne pas avoir posté à la bonne date, ce coup-ci c'est pas une histoire de calendrier mais une histoire de faignantise...

Encore une fois désolée.

J'espère que ce chapitre vous plait, je vous dis à bientôt,

Marinoni 💖

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