Une vie qui a mal tourné

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Une vie qui mal tourné
L’histoire que voici, je les rêvée à partir d’un mot. Simplement dit, avec un naturel chaleureux dont le cœur se sentait touché. Que j’y songe, je crois l’entendre encore, mais il me parlait de la vie d’un jeune homme < on ne sait pas l’âge qu’il avait, mais il est toujours vivant>.
C’est pourquoi à l’instant d’écrire, il m’a paru prendre le relais, j’ai poursuivi voilà tout, sans même avoir la conscience du moment où j’abandonnais la main qui m’avait indiqué la route.
 
Le pays où je mène est peut-être par-ci mais il est d’un autre monde .comment vous dire ?
Ça peut être de ce cote –ci « notre pays »à toucher la « notre ville », ça pourrait être aussi bien dans une ville plus écartée et plis dangereux.                                                                                                       Mais surtout l’histoire me vient du fond du temps, si reculée que même certains des amies en avaient perdu le souvenir. Imaginer deux monde qui sont accolés lisières à lisières, qui se touche mais rien de plus ni amis ni ennemis. D’un côté, notre ville à nous les hommes .et de l’autre côté un monde imaginaire
Chez nous, les hommes, de bons chemins aux travers, une riche surface aussi belle qu’au jour d’aujourd’hui, des bouquets d’arbres, des communaux, des villes saintes, en plus des voitures de luxes, des châteaux, des ghettos.
Imaginez aussi, semé là, tout un peuple gaillard, gentil, fort, vaillant à la besogne, labourant, chômant .en revanche protégé par les paroles Divine, baptisé, marié….. Vous voyez tout va son train, tout marche.
Mais nous voici dans un monde insensé, là mes amies vous aurez du mal à saisir le vrai coté des choses, car ce monde-là allait son train à part ailleurs. Mais gardez –vous surtout de croire à des inventions des bonnes femmes, à des enchanteurs, et surtout n’oubliez pas les Fées.
                                        
Papa de son vrai nom Balla est un jeune homme qui est née à Dakar dans les allée de la Médina, un quartier minée par les mauvais choses : la sexualité, la drogue et la criminalité.
Ayant perdu ces 2 parents à bas-âge, il vivait avec sa grand-mère dans une maison de deux(2) chambres pour une famille de huit(8) personnes, la plus part du temps, il dormait sur le sol accompagnés des cafards et des rats.
Très jeune, il avait compris que le crime ne lui proposé que deux(2) issues a savoir la prison ou la mort. Mais, il a choisi une autre voie, une voie qui va lui permettre de sortir les siens de leurs misères, devenir «un homme d’affaire »