Hey people, voici la suite que vous attendiez mdr. Je ne suis pas aussi sadique hein!
Je tiens à vous remercier pour vos lectures, votes et commentaires. Vous etes vraiment géniaux et cela me faire plaisir d'écrire et de poster aussi souvent. Je suis heureuse que ma fiction plaise et j'avoue parfois halluciner. Bref cessons le blabla et place à la lecture. Je vous embrasse tous...
PDV Harry
Je l’embrassai en la poussant dans la chambre et je fermai la porte d’un coup de pied. Elle répondait à mon baiser, pressant ses lèvres contre les miennes et ses bras s’enroulèrent autour de mon cou. Je posai mes mains sur ses hanches, ressentant enfin sa peau fraiche contre la mienne brulante et je pu percevoir la « différence ». Cette putain de chose qui me bouffait, cette comparaison insupportable que je faisais constamment quand je touchais une autre femme qu’elle. Cette putain de sensation qui m’avait empêché de faire quoique ce soit avec Calie.
J’avais commencé avec elle, mais je n’avais jamais réussi à finir, sentant à chacun de ses contacts, de ses baisers, que ce n’était pas Beth. Ce n’était pas elle avec qui j’allais baiser et j’avais tout stoppé. Il avait fallu que Calie prononce ces mots « monsieur styles », ces mots qui me faisaient tant d’effet quand ils provenaient de la bonne personne, quand ils provenaient d’elle.
J’étais parti, sans explications, sans prononcer un mot et j’avais rejoint les gars en disant que je rentrais. Je ne savais pas qu’elle avait été leur réaction et je m’en foutais j’étais au plus bas, j’étais mal et personne ne pouvait faire quoi que ce soit pour moi.
J’étais rentré dans ma chambre et j’avais eu besoin de lui parler, j’avais eu besoin d’elle tout simplement. J’avais pris mon courage pour l’appeler et plus je discutais plus je me rendais compte que c’était ça que je devais faire. « Prendre les chose en main, prendre le contrôle ». Je devais enfin arrêter de me battre contre mes sentiments, cessser de me battre contre moi-même et me bouger le cul.
J’avais marché, voire peut-être meme couru jusqu’à sa porte et j’avais fait ce dont j’avais envie depuis si longtemps. J’avais pris le contrôle sur une situation qui me faisait complétement le perdre. J’avais arrêté d’avoir la frousse, cesser de me frustrer. J’avais embrassé la femme que j’aimais et elle m’embrassait aussi.
Je senti Beth me plaquer contre elle, réclamant plus de proximité, ses lèvres mouvant contre les miennes et nos langues se débâtant. Je marchai jusqu’à son lit ou nous tombâmes tous les deux, lourdement. Elle rompit le contact entre nos lèvres, pour s’attaquer à la peau de mon cou, pendant que je relevai son pull et que j’enlevais son haut, la décoiffant de plus en plus. Elle retira ma chemise grossièrement et je retirai le tissu, dévoilant mon torse. Elle passa ses mains dessus me créant des foutus frissons sur tout l’ensemble de mon anatomie.
Elle nous fit tourner, en passant au-dessus de moi à califourchon et recommença à m’embrasser fougueusement, pendant que je retirais son soutien-gorge, le lançant dans la pièce en souriant quand elle senti mes mains prendre en coup un de ses seins. Je le portais à ma bouche, mordillant le bout, le rendant sensible et dur. Elle haletait de désir, elle devait être tellement humide à l’heure actuelle et le savoir me rendait fou. J’étais fou de cette meuf.
Je la vis déboutonner mon pantalon et je me rappelai soudainement de Calie. Elle avait essayé de me faire plaisir et je l’avais repoussé comme un idiot. C’était vraiment connard de ma part mais je ne regrettais pas le fait qu’elle ne m’ait pas touché, seule Beth le pouvait vraiment. C’était la seule dont je voulais le contact.
Elle m’aida à retirer mon pantalon, en le faisant descendre et je vis mon boxer noir complètement tendu, mon membre vibrant presque d’impatience. Elle passa sa main dessus mais je la pris dans ma paume pour l’embrasser doucement, c’était tellement plus que de la simple baise. La jeune femme et se pencha rapidement pour m’embrasser, comme si elle ne l’avait jamais fait avant, comme si elle ressentais ce que moi je ressentais et cela me rendait fou à en crever. Je pris ses fesses en coupe, retirant son short vigoureusement la rapprochant de moi, pendant que je mordais sa lèvre si délicieuse et je perçu sa voix.
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I'm too bad like dad (H.Styles)
FanfictionTome 2 Harry Styles et Élisabeth Sullivan sont passés par tous les stades... de la haine, à l'amitié, à l'amour. Leur vie a été rythmé par tant de mésaventures, tant d'épreuves. Ils ont mélangé leur passés, leur passés obscures et douloureux dans un...