Résidence Hells

Hells

Hells est une ville situer entre deux chaine de montagne. Même si elle est difficile d'accès, de nombreuse personne y vienne. Connu pour ces écoles de renom que seuls les meilleurs peuvent intégré, hells a énormément investie dans la construction d'internat et autre structure pouvant accueillir les étudiants. De l'ingénieurie à la pratique des langues ou encore du sport, cette ville regroupe de nombreuses spécialités en tout genre qui on toutes leurs adeptes. A présent c'est la bas que je vais étudier et vivre, j'ai travailler très dur afin d'intégrer l'école dont je rêve depuis mon enfance. Venant d'un petit village éloigné de toute la foule et des nouveauté, ma famille ne pensaient pas que j'avais le niveau et les connaissance requise pour une école si réputé. Mais j'ai réussi le concours d'entrées, alors je compte bien montré ma valeur a tous ceux qui ne crois pas en mon projets.

Sa doit faire quatre heure que nous roulons moi et mes parents, le trajet paraît interminable jusqu'à ce qu'enfin, j'aperçois le panneau indiquant « Hells ». Encore quelques minutes et je vais découvrir mon nouveau chez moi. L'adresse indiquer sur le bail de ma chambre nous mène devant une grande foret ; ma mère ce tourne vers moi :

-Dit moi ma chérie, es tu sur que ce soit la bonne adresse ?

-C'est ce qui es écrit sur la feuille donc je suppose que oui.

-D'accord, sa doit juste être de l'autre coté. Alors terminus, tous le monde décent.

Dans un même élant mes parents sortent de la voiture, ouvrent le coffre et déchargent sans aucun scrupule mes affaires.

-Vous n'allez tout de même pas me laisser comme ça !

Mon père me regarde avec des yeux doux

-Écoute, nous sommes au bon endroit alors tu n'a plus qu'a trouver un grand bâtiment qui ressemble a un hôtel, tu vas marcher un peut ce n'es pas grave. On a beaucoup de travail a la maison alors nous devons rentrer sans tarder.

-Ton père a raison tu as réussi a entrer dans cette école par tes propre moyen alors trouvé une résidence ne devrai pas être trop compliquer.

-C'est vrai mais ...

Ils me tourne le dos et remonte dans la voiture aussi vite qu'ils en sont sortie. Comme pour un message d'adieu ils m'adressent quelques mots, d'abord ma mère :

-Prend soin de toi ma chérie, je t'aime

puis mon père :

-On ce reverra, appelle nous si tu as un gros problème.

Si vite, la compassion c'est pas trop leur truc , je n'est même pas pu leur dire merci ou au revoir. Sa y ai, je ne les vois plus, ils sont bien loin. Je suis sidéré, la chance n'a pas l'air d'être avec moi déjà que je suis en retard.

Bien, que faire maintenant.

Il fait très chaud aujourd'hui alors il n'y a pas grand monde dehors. Qui plus ai, nous sommes dimanche,et le dimanche les boutique sont fermé. Je n'ai jamais eu de chance mais la il faudrait faire un petit effort !

Cherchant désespérément une solution elle me tombe droit dessus, ou plutôt droit devant ; au loin une supérette m'a l'air ouverte. Je me presse alors vers celle ci et miracle ... elle est vraiment ouverte .J'entre et une petite clochette retenti au contacte de la porte. Un vieux monsieur ce tourne vers moi et dit la phrase phare des vendeurs :

-bienvenue, si je peut faire quoi que ce soit pour vous je suis au comptoir.

-merci, effectivement si cela ne vous dérange pas j'aurai besoin d'un renseignement

-mais bien-sur jolie demoiselle que puis-je faire pour toi

-et bien je ...

-oooh mais c'est que tu es bien charger

-oui en fait je voudrai me rendre a ...

-tu doit être une étudiante j'en voit pas mal passer ces jour ci comme il y a la rentrée qui approche

-c'est vrai je ...

-j'ai un fils tu sais, il doit avoir le même age que toi, mais il ne va pas a l'école lui il préfère m'aider au magasin, il est vrai que j'en ai bien besoin.

-je vois, mais ...

Je le voit lever la tête, il cri :

-Shin décent on a de la visite

OUAHH ! Il n'est pas méchant un !Mais a ce train la je serai encore ici demain. Oh non et si sont fils est pareil que vais-je faire !!! J'entend des pas ce rapprocher de plus en plus, je voit un, puis deux pieds descendre doucement de l'escalier qui mène a l'étage. Jambes, mains, bras, je déglutie.. t .. torse ; et enfin, visage. Il est différent de ce que je pensait. L'homme au comptoir a le visage assez carré, un nez un peut épaté et des paumettes rougissante ; sont fils lui, a un visage bronzé par le soleil un nez plus fin que celui de son père et de beau cheveux chatin, mais on voit la ressemblance entre les deux en partie grâce a leurs yeux ; ils sont d'une couleur verte d'eau,magnifique. Il porte un t-shirt gris manche courte et un pantalon large, kaki, recouvert de poche. Sa bouche s'entrouvre avec un immense sourrir charmeur au lèvre :

-Mon chèèère petit papa, raconte moi tout, ou a tu déniché l'ange qui ce trouve au seuil de notre demeure ?

-Figure toi fils, que cette jolie demoiselle a le même age que toi, elle viens d'arrivé en ville être cherche son dortoir, en plus de ça la rentrée est demain elle est donc pressé.

Étonner je me permet d'intervenir dans leur conversation.

-Mais comment avez vous su !? Je n'ai même pas pu vous expliquer.

-Mon père parle beaucoup c'est un fait,mais il cerne les personnes très rapidement.

Dit t-il avec un ton plus solennelle

-Je vois, excusé moi

-oh la ne t'en fait pas pour ça. S'il te plait shin tu peut l'accompagner ?

-Bien-sur, j'ai fini de ranger la haut,donc je suis libre comme l'air.

-Eh bien ravie d'avoir fait ta connaissance jeune fille, nous parlerons une prochaine fois je sais que la tu doit être très pressé. Alors bon courage et repasse quand tu veut.

-Merci beaucoup, je reviendrai. C'est promis.

Je fit signe de la main au gérant, ce serai marrant que je lui trouve un surnom, enfin je verrai ça plus tard. Shin et moi nous dirigeons vers la sortie en ouvrant la porte je réentend le son de la clochette pendu au dessus de la porte. Ce petit son résonne dans ma tête, qu'es ce qu'il est agréable. Ces quelques notes sont celle du véritable départ ma première expérience dans un nouvel univers. Je sens que je vais me plaire ici et puis si je n'ai pas le morale je sais déjà ou aller, n'est ce pas géniale.