French Girl

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"Jaxon, en quelle année à été peint ce tableau très connue?"

J'ai les mains dans les poches avec une tronche fatigué, limite on dirait que je suis sur le point de mourir tellement je suis blasé. la prof de français me pose cette question auquel elle s'attend à une réponse, du moin une petite partie. Je pense qu'elle est au courant de ma connerie. Aucun mot n'est encore sortie de ma bouche que les élèves autour de moi rigole, "avec" moi comme le dirait Maverick. C'est dur de supporter le fait qu'au moindre de mes gestes j'ammuse la galerie.

"Qu'est ce que j'en sais moi, la date doit sûrement être écrit en dessous du tableau ou demandez au guide"

Cette phrase je la sors en bafouillant légèrement, bien sûr j'étais sérieux. Le français n'est pas l'une de mes langues favorite car je ne sais pas me débrouiller. Bien sûr que je comtpe devenir bilingue, mais vu que tout les élèves sont au moin trilingue je suis un peu déçu. La seule langue que je maîtrise est le chinois, vu que ça m'amuse de regarder des films avec Bruce Lee. A part si c'est pas un chinois.

Toute la classe était bien en sortie scolaire au Louvre à Paris, malheureusement je n'avais pas mon mot à dire. Ça fesais trois jours qu'on était là et j'en ai déjà ma claque. Déjà être si loin de ma famille est dur, alors de Tayler encore plus. Devoir se coltiner une classe qui fait que rire aux moindres mots que je prononce est épuisant, surtout que ma bande de pote n'est pas avec moi, ils sont tout dans le groupe A, groupe qui est aux Champs Elysé. Donc me voilà avec des gogoles.

"Price, comment voulez vous un jour avoir une note au dessus de dix si vous n'essayez même pas ? Les jeux vidéos sont plus importants ?"

Ma bouche s'entrouvre, choqué. Un rire nerveux s'échape. Comment ose t'elle dire ça alors quelle ne connaît rien de ma vie, c'est vrai que je m'amuse à jouer avec mon portable sous la table en cours, mais c'est juste parce que je comprends rien à ce qu'elle me raconte. Je serre les dents vexé de son propo, regardant ailleur, un professeur n'est pas censé encourager ? C'est bon je crois qu'aller ailleur serait le mieux. Mes mains se fourrent dans les poches de mon sweet, enfin celui de mon brun, que je lui ai voler pour garder son odeur avec moi, puis le morale complètement explosé je tourne les talons pour trouver un moyen de quitter ce musée.

Une fois arriver dehors, un vent fort me frappe la tête, mes cheveux doivent être totalement volumineux maintenant. Énervé je passe ma main nerveusement dans mes cheveux pour mettre ça dans l'ordre. Putain de cheveux.

"Rhâ cheveux d'merde !"

Sans vraiment savoir mes yeux tombent sur une fille qui m'observe, elle est juste à côté de moi sur le trottoir. Elle est habillée assez chaudement et sa bouche est caché par son écharpe. Ça m'a l'air d'une jeune parisienne. Elle est blonde aux dégradés bleu clair. Je ne sais pas si c'est moi qu'elle fixe. Pour m'assurer que c'est bien moi quelle regarde et pas un poteau au milieu de la route je jette un œil à gauche puis à droite, mais c'est bien moi qu'elle regarde comme une psychopathe. La blonde à tout l'air d'une française.

"Bah quoi, je suis trop beau gosse pour toi mademoiselle ? "

Mes chevilles vont bien. D'un coup ça me paraîs bête, lui parler ne changera rien, même si ce dernier mot à été évoqué dans sa langue, la blonde comprends que dalle à ce que je raconte. Alors cest pour cela qu'elle me regarde encore plus intensément. Flippant moi je dis. "Chelou cette parisienne" ma pensée en ce moment même. Ses petits yeux verts me fixent toujours.

"T'es américains? Comme dans les films?"

A force de me scruter comme ça on pourrait se poser la question de est ce quelle a la parole. Même si je n'ai rien compris, sa voie est celle d'une petite chose toute mignonne, si innofencif de la vie, on dirais Maverick. J'espère qu'elle sait qu'elle peut continuer à parler des milliers de fois ça reste du portugay pour moi.

𝐁𝐄𝐒𝐓 𝐅𝐑𝐈𝐄𝐍𝐃 ↬ 𝘺𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘪𝘱𝘴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant