Trois mois ! Cela faisait plus de 3 mois que j'étais dans cette asile et M.Tongy se battait chaques jours pour que j'en sorte.
Mais je commencais à désepérer, je ne pouvais plus supporter cette ambiance morose, et mon ami (celui qui est toujours présent avec moi) me conseillait de m'enfuir de l'asile mais si je le faisait, la police me rechercherais partout et l'avoir en permance sur le dos et ne pas pouvoir être libre, ça me serait totalement invivable ! Déjà que c'etait à cause d'elle que Yohan n'était peut être pas mort et que j'avais cette énorme cicatrice sur le ventre.
D'ailleur le policier qui m'avait tiré dessus ne va pas vivre longtemps car je compte bien l'anéantir !
Cela vient de me donner une idée, pour m'occuper le temps que sorte de cet endroit je vais faire des recherches sur le nom, l'addresse et la famille de ce policier👿😈. Pour préparer sa mort...
_______________________________________11 mois passèrent dans la souffrance, c'étais beaucoup trop, il fallait que ça cesse MAINTENANT !
Je me dirigeais vers la réserve, la pièce qui sert a stocker tous les instruments des infirmiers. Je courrais dans les longs couloirs obscures jusqu'à ce que j'atteigne la bonne porte qui était malheureusement vérouillée alors j'essayais de la défoncer mais en vain, je n'y arrivais pas ! J'exécutais donc mon plan de secour, je sortais de ma poche une aiguille et tentais de crocheter la serrure. Mais la porte semblait vraisemblablement solide, d'ailleur c'était bizarre puisqu'il ne devait y avoir que des tranquilisants, des seringues contenant du produit anesthésiant et des tasers à l'interieur.
Il fallait que j'y entre alors j'allais voir les infirmiers et je simulais une fausse crise, je me métais a trembler et à casser plein d'objets (c'était assez drôle).
Une infirmière qui se nommait Lisa partait immédiatement chercher des tranquilisants dans la réserve pendant qu'un homme me maintenait au sol.Je réussis à attrapper l'aiguille de couture au fond de ma poche et je l'enfonçais du mieux possible dans l'oeil de l'homme, ceuli-ci fit un bond en arrière, en mettant la main sur son oeil qui était maintenant crevé. Je courrait le plus vite possible pour arriver à la réverve avant que Lisa ne referme la porte, l'homme me courrait après.
Il se rapprochait de moi ! Il n'était plus qu'à 25mètres environ.
J'aggripa la poigné de la porte la plus proche de moi, l'ouvris. J'en sortait un lit avec un patient attaché dessus, pour le poussait violemment dans le couloir, ceuli-ci se renversa sur l'homme, qui tribucha et resta immobile au sol.
Je pris mes jambes à mon cou, mais les couloirs était nombreux tel un labyrinthe.
Quelqu'un me stoppa, c'était Bertrand, un patient psycopathe. Il avait 43 ans, une calvitie prononcé mais il était très mince et musclés. Il était obsaidé par les chiens, dès qu'il en voyait un il le tuait avec une batte de base ball, les chiens volaient dans les airs et souffraient atrocement .
Il me dévisagea avant de me dire:《Si tu t'en enfuis emmène moi avec toi ! Sinon je t'arrache la tête ! (Il mit ses grosses mains autour mon cou en appuyant sur mes cicatrices)
-Aïe...
-Alors comme ça Madmoiselle.PIKÉ. Lola a mal !
-Dépêches toi de me suivre, vieux psycopathe ! Et m'appelles pas avec mon nom de famille, je deteste ça 👿!》Quand on arrivait enfin devant la porte de la réserve, elle était fermée !
Je me mis en colère après Bertrand, c'était de sa faute ! Je donna un coup de poing dans la porte, si fortement que ma peau s'arracha un peu.
Bertrand me poussait, et observait la serrure, il me demanda si j'avais un objet pour la crochetter. Je lui donna une aiguille en lui disant que ça ne fonctionnait pas.
Mais a ma grande suprise il réussit ! He oenses qu'il a l'habitude.On entra dans la pièce, je mettais des anesthésiants et des tasers, dans un petit sac pendant que Bertrand fixé désespérément un mur. Il est vraiment stupide, il pourrait au moins m'aider !
Après cinq bonnes minutes il finit par bouger, il pris un morceau de ferraille et gratta le mur pour y enlever la tapisserie.《Tu n'as rien de mieux à faire ! Sérieux, pourquoi tu enlève la tapisserie, je sais que tu es fou mais quand même pas à ce point !
-Tu feras quoi quand tu te seras échappée?
-Je ne sais pas ! Je vais peut-être essais de faire du karaté ou de la boxe... Mais ce n'est le moment de parler de ça ! Aides moi!
-Mais pour réaliser tes projets et si tu veux avoir un logement et de la nourriture il te faudra de l'argent !
Et je sais justement où en trouver! Une légende raconte qu'un coffre-fort et caché juste ici ! Derrière ce mur.
-On perd du temps là ! Je ne crois pas à ta légende ! De plus quelqu'un d'autre aurait déjà pris le coffre si il existait réélement!
-En faite toute ma famille a vécu ici, c'est eux qui m'ont raconté cette "légende", je suis le seul encore vivant qui la connait, sauf ma fille qui la connait mais qui vit en Australie dans une famille d'acceuil.
-Toutes les personnes de ta famille sont donc des fous ! Mais pourquoi tu n'as pas pris l'argent avant alors?
-Parce qu'avant je ne savais pas quel était le code pour ouvrir le coffre fort, mais je crois avoir résolut l'enigme ce matin ! En effet j'ai decouvert que les deux chambres qui étaient occupées par mes parents étaient les mêmes que celles de ma grand mère, de mon grand père et mon arrière grand père... et si on assemble les numéros des deux chambre cela donne: 90.400, ce qui je penses est le code.
Aides-moi !
-Donc tu n'es même pas sûr que ce soit le bon code, mais j'accepte quand même de t'aider ça en vaut la peine... 》Une fois la tapisserie enlever, il y avait des pierres du mur. Bertrand les enleva sans difficulté. On pouvait enfin voir la partie d'un coffre-fort ! Il avait raison !
Ça expliquait pourquoi il avait une porte aussi solide !Il tappait le code qui était donc "90.400", le coffre s'ouvrit et quatre-vingt-dix milles quatre cent euros appraissèrent devant nous! Pour une surprise, s'en était une ! Je ne regrettais pas la compagnie de Bertrand en fin de compte !
J'ouvris un grands sac et mis tout l'argent dedans sous le regard attentif de Bertrand.On se faufilait à travers l'asile, pour en sortir, et à chaque foie qu'une personne se mettait en travers de notre chemin, on lui donner des coups de tazzer! Tout allait bien jusqu'à ce que nous arrivions près du grillage qui nous séparait de la liberté, on venait de faire un trou dedans, sans perdre une seconde je passais de l'autre côté. Lisa sortie brusquement de sa cachette et fonça vers Bertrand qui n'avait passé qu'une seule main dans le trou de grillage. Il s'effondra au sol, après avoir reçut une picure anesthésiante par Lisa. Il me dit alors trois dernier mots avant de s'endormir, "reviens me chercher..." .
Je m'enfuie le plus vite possible, et me réfugie dans la forêt pour seumer les voitures de police (...) qui me poursuivaient.
J'ÉTAIS ENFIN LIBRE ! JE POURRAIS DE NOUVEAU ME VENGER, TUER ET FAIRE SOUFFRIR ! Toutes ces choses qui m'avaient tant manquées !😈
Mes parents vont regrettez, de m'avoir mis ici... ho oui, ils regretteront !
_______________________________________Il devait être dix-sept heures et je me rendais dans un salon de beauté et de coiffure pour me faire un relooking de la tête aux pieds !
Mes cheveux blonds devenaient noirs, longs d'un coté et courts de l'autre. Je mis des lentilles de couleur pour avoir les yeux rouges. Terminé de me faire passer pour la jolie petite fille, maintenant j'étais la cruelle tueuse en série 😈. Et aucun des policiers ne me reconnaitraient et je ne retournerais jamais dans un asile !Le soir, je réservais une chambre à l'hôtel.
Et avant de dormir, j'eu une petite pensée pour Bertrand, que je ne retournerais jamais aider.FIN DU CHAPITRE 7
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Horreurs mortelles🔥
HorreurSi vous chercher à être effrayé, ce livre est fait pour vous ! Je m'appelle Lola Piké et je vais vous raconter l'histoire de ma vie. Vous avez le droit de croire ou non aux démons mais lisez le livre jusqu'au bout ! Les personnes de mon entourage f...