Boruto x Sumire, enfant de la racine

Prologue

Mon nom est Sumire Shigaraki , et j'ai aujourd'hui exactement 17ans.
Comme à chaque anniversaire, je passais toute la journée au lycée à déprimer, car ce maudis jour était également celui de la mort de ma mère. Morte en me mettant au monde.
Car oui, ma mère n'avait pas eu le droit à un accouchement à l'hôpital, elle n'avait été suivie par aucun médecin et son état physique et psychologique était faible. La raison ? Elle était marié à un ancien partisan de la racine, mort à ce jour, un groupe qui agissait dans l'intérêt du village de Konoha, mais sans l'autorisation de l'Hokage, chef du village.
Quand « La Racine » fut démanteler, ses membres avaient été chassés, ma mère avait donc été forcée de me donner naissance dans l'ombre, fortement épuisée par les longs mois de traques qui n'en terminaient jamais.

Mais cette histoire, personne ne la connaissait, mise à part mes amies, Sarada Uchiha et Chocho Akimichi. Elles étaient mes amies depuis plus de 5 ans déjà, depuis que je vivais incognito au village de Konoha sous le nom de Kakei Sumire. Je savais qu'il n'y avait qu'elle en qui je pouvais vraiment avoir confiance.
Bref, je passais la journée affalée sur ma table à déprimer.
Alors que je me morfondais dans mon coin, Sarada profita de la sonnerie qui annonçait la fin des cours pour frapper fort sur ma table et me secouer.

Sarada: Sumire, tu ne peux pas pleurer indéfiniment sur le passé. Je sais que tu détestes ta date de naissance, mais pour une fois, tu vas quand même sortir faire la fête avec moi et Chocho se soir. On t'embarque pour une soirée.

Je la regardai avec le sourire le plus radieux qu'il m'était possible de débiter à se moment.

Sumire: Tu vois Sarada, je vais bien, pas la peine d'aller où que se soit. Une soirée tranquille chez moi ira parfaitement.

Je connaissais mes amies et je savais qu'elles avaient toutes les deux la mauvaise habitude de s'embarquer dans des soirées très alcoolisées qui finissaient rarement bien. Moi, j'avais absolument horreur de ça. Mais face aux regards noirs que me lança la brune, je compris que discuter ne servirait strictement à rien et je me résignai.

-On passe te chercher à vingt heure, c'est toujours à cette heure que les soirées prennent vraiment.
Me lança Chocho avec ce regard que je ne connaissais que trop bien, elle avait l'intention de s'amuser comme une folle et de m'embarquer avec elle.

C'est comme ça que je me retrouvai entraînée dans une histoire qui allait littéralement changer toute me vie..