Assise au bord de sa fenêtre il est minuit. Au dessus d'elle le ciel dénudé des ses belles étoiles. Devant elle se trouve une voie ferrée, d'habitude beaucoup de train y passe. Mais pas cette nuit. Cette nuit ce chemin est terriblement désert rendant la nuit calme. Elle entend une mélodie au loin. Une fête pense-t-elle. En effet dans un parc pas loin de chez elle se trouvais une fête ou la musique reignier ainsi que les feux d'artifices. Ça brise le calme de la nuit où on peut entendre le vent souffler. Ça brise le cour de ses sombres pensées. Elle murmure les paroles des chansons qu'elle entend tout en regardant droit devant elle. Que pouvait-elle penser a cette instant? Elle a des frissons, ce vent est froid pour elle et son petit pijama. Sa main posé sur son genoux plié et sa tête par dessus, elle fixe toujours l'horizon. Une route, de la verdure, le chemin de fer et encore de la verdure ; c'est tout ce qu'elle peut voir. Malgré la lumière que lui offre son lampadaire elle ne voit pas grand chose. Même avec la lumière du jour elle ne verrai pas grand chose a cause de ses yeux brouiller par la tristesse et les traces de larmes qu'elle sent encore sur ses joues rondes. Elle repense au teste quel a écrit une heure plutôt sur une feuille soigneusement ranger dans son ordinateur portable. Un texte répondant a un autre qu'elle a reçu. Dans ce texte elle a écrit qu'elle ne le relirait pas, qu'elle ne le changerait pas. À présent elle doute un peu. Une nouvelle chanson commence. Elle l'aime bien. Elle murmure doucement ces paroles qu'elle connaissais. Son esprit est vide a présent. Pourtant elle est toujours triste. Elle balance sa jambe qui pend a sa fenêtre dans un rithme régulier. Ses frissons augmentent. Ainsi qu'une sensation étrange dans ses jambes. Ses jambes lui démange. Elles veulent se tendre, se mettre debout. Être droite. Et faire seulement un pas. Juste un pas en avant. Elle se tourne est saute. Elle sent le sol dure de sa chambre plonger dans l'obscurité enfin de ne pas attiré des insectes de la nuit. Elle monte son échelle menant à son cocon douillet. Emmitouflée dans sa couverture, recroqueviller sur elle même, sa tête sur son oreiller, son fidèle doudou entre les bras, elle ferme doucement les yeux douloureux de fatigue et s'endort sans un bruit bercer par le souffle du vent et le chant des cigales.