Chapitre 1

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            Bonjour à tous celles et ceux qui me suivent. Voici une nouvelle histoire en espérant qu'elle vous plaisent autant que les autres.

                                                     Bonne lecture a tous 






Aujourd'hui, comme tous les autres jours, je me retrouve seule à la maison. À seulement vingt-neuf ans, je suis femme au foyer. S'en enfants. Pourtant, ce n'est pas peine d'essayer. Mais je crois que ce n'est pas le moment et puis je suis encore jeune pour avoir des enfants.
Il est plus de vingt heures est, j'attends toujours le retour de mon mari. Il travaille en temps que mécanicien, et parfois ça lui arrive de rentrer tard. Ayant, préparez le repas, je lui envoie un message pour lui signifier, que le repas est servi. Mais, comme toujours aucune réponse de ça part.

– Ma pauvre Solène, tu croyais quoi ? Qu'il aller te répondre ?

Et voilà, que je me parle à moi-même. Je deviens complètement folle.
Je décide tout de même de manger seul s'en même l'attendre, en me mettant devant la télé. Je mets, une assiette dans le micro-onde pour lui. Après plus de deux heures devant la télé, je fais ma vaisselle et passe à la salle de bain, puis vais me coucher.
Soudain, un bruit me réveille. Je sais très bien de qui, il s'agit, je ne vais pas me lever pour lui. Je reste donc au lit et me rendors aussi vite. Mais peu de temps après une main passe sous mon maillot et vient me titiller un sein. Je retire, la main dans une furie.

– Jimmy fou moi la paix ! Je suis fatiguée !
– Allez Solène ! Je suis désolé d'être rentré tard !
– Tu as vu l'heure ? Non, il est hors de questions dort et nous parlerons demain !
– Ouais, c'est bien ! Me dit-il en s'allongeant sur le dos.

Je ne prête pas attention à lui, et remonte la couverture sur mes bras.

– Continue comme cela et tu verras !
– Tu verras quoi, Jimmy ?
– Je me trouverais une pute, pour me faire ce que toi, tu ne me fais pas.
– D'accord ! Fait ce que tu veux !
– Fait bien ta maline hein ! Mais tu verras, quand ça t'arrivera, tu ne viendras pas pleurer !
– Ok ! Dis-je
– Le pire, c'est que tu ne me crois pas. T'es vraiment bonne à rien ! T'es nul au lit,nul pour la bouffe, et nul pour me donner un enfant !
– Ah non ! Arrête avec ça !
– Quoi sais vrai ! T'es nul aussi pour garder ta famille prêt de toi.
– Ma famille ? ..... C'est toi qui ma fait couper les ponts....
– Arrête de mettre ça sur mon dos... Tu sais rien faire, tu ne travailles même pas et claque ma tune, je ne peux même pas en profiter.
– Tu plaisantes, j'espère ?
– Nan !
– Tu ne veux pas que je travaille, parce que tu es parano ! Tu crois que tout le monde me court après.
– Normal ! T'es une pute !
– Tu dépasse les borne-là..... Dis-je en pleurant.

Il me regarde avec un petit sourire de vainqueur au coin des lèvres. Ce qui me met dans une rage folle.

– T'aimes bien ? Dis-je en larmes.
– Quoi ?
– Me voir ainsi.... En larmes....
– Ne dis pas n'importe quoi. C'est toi qui se mets dans des états comme ça.
– Mais tu as dit.....
– Tu as encore tous compris de travers....
– Oui.... Ta raison....
– Allez arrête de pleurer.... Viens là....

Il me prend dans ses bras, mais j'ai un goût amer dans la bouche. Le goût de rancœur. Soudain, il prend mon visage dans ses mains et écrase sa bouche sur la mienne. Pour qu'il se taise, je lui rends son baiser. Et le laisse faire ce qu'il a envie. Je sais que demain, son humeur sera meilleur.

Le lendemain, matin, je me lève passe à la salle de bain pour me préparer, puis descend préparer le petit-déjeuner. Jimmy descend prend son café et m'embrasse.

– Bonjour !
– Bonjour ! Dis-je encore peiner de la veille
– Je vais rentrer tard ce soir, ne m'attends pas pour manger !
– Très bien !
– Tu fais encore la gueule ?
– Non !
– On ne dirait pas ! Tu fais toujours la gueule... Jamais, j'aurais une femme souriante en me levant ou en rentrant du travail ?

Je lui fais un demi-sourire, tous en ramenant ma tasse à mes lèvres. Soudain, il se lève en faisant valser tout ce qu'ils avaient sur la table. Me faisant renverser mon café sur moi.

– Ça ne va pas non ....
– Ferme ta gueule... Je te préviens ferme ta gueule....
– Tu as tous renverser !
– J'en ai rien à foutre.... Ramasses-tu n'a que ça à foutre de tes journées....
– Mais... Qu'est-ce que j'ai fait ?
– Réfléchis avec ta petite cervelle....Allez je me casse.


Quand, la porte claque et que j'entends la voiture partir en trombe. Je m'effondre.

– Putain.... Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter cela ?

Je nettoie tous en continuant de pleurer. Quand, on sonne à la porte, j'essuie mes larmes et essaye de me redonner une contenance. Je vais ouvrir la porte. Mes yeux tombent dans ceux de mon amie Charlotte. Elle se précipite immédiatement sur moi.

– Ma chérie qu'est ce qui se passe ?
– Rien ! Entre !

Je la fais entrer tous en gardant la tête baisser. Honteuse du bazar qu'il se trouve par terre.

– Tu peux me dire ce qui sait passer ici ?
– Rien ! J'ai fait renverser du café par terre....
– Avec les tasses ?.......
– Oui.....
– Arrête Solène... Je sais que sais lui qui a fait ça....
– Non !
– Arrête de le défendre. Il a dû pousser une de ses colères habituelles ?

Je regarde mon amie puis fonds en larmes prenant mon visage dans mes mains frêle.

– Hey ma chérie, calme toi.... Allons s'asseoir et tu vas m'expliquer !

Je fais oui de la tête. Et nous allons nous asseoir dans le canapé du salon. Une fois assise, elle me tend la boîte de mouchoir et attend sagement que je me calme. Une fois calmée, elle me demande ce qu'il sait vraiment passer :

– Il sais mis en colère et a tous fait valser, juste parce que je ne souriais pas.
– Pourquoi tu ne lui souris plus ?
– Parce qu'il me rabaisse en permanence.
– Et tu encore heureuse avec lui ?
– Je ne sais pas..... Depuis que l'on sait marié il y a deux ans, il a changé.... Il est méchant dans ses paroles, ne reste plus à la maison.
– As t-il déjà lever la main sur toi ?
– Non.... Il ne ferait jamais cela....
– Tu en es sûre ?
– Oui !

Mon amie me regarde perplexe,ce redresse légèrement puis me prend mes mains dans les siennes.

– Ma chérie, ton mari est un pervers narcissique....
– Quoi ?
– Oui... Il aime rabaisser les gens qu'il entoure. Il te coupe du monde pour te garder rien que pour lui. T'interdis la moindre sorti seul, espiègle tes moindres faits et geste. Rien de ce que tu fais lui va.... Ça va continuer, de plus en plus, jusqu'à ce que ta santé mentale te fasse craquer.
– Non.... C'est impossible... Jimmy n'est pas comme ça...
– Tu en es vraiment sûre ?Ne ta t-il pas éloigner de ta famille ? N'essaye t-il pas de t'éloigner de moi ? Dit il encore qu'il t'aime ou t'embrasse t'il encore avant de partir travailler ?

Je regarde mon amie tristement, les larmes menaces une nouvelle fois de couler.

– C'est bien ce que je penser.... C'est bien ça .... Ton mari est un pervers narcissique...
– Comment je peux faire pour qu'il change ?
– Il ne changera jamais !
– Mais....
– Il faut partir Solène. Partir loin de lui, avant qu'il ne t'écrase vraiment.
– Où est-ce que tu veux que j'aille ? Je n'ai personne ! Pas de travail ! Rien !
– Tu nous as moi et Damien.
– Charlotte... Je ne vais pas venir t'embêter... Je ne veux pas mettre en danger ta famille.
– Tu fais aussi partie de ma famille. Écoute, je connais une amie qui chercher une personne pour la remplacer en temps que secrétaire dans le cabinet d'avocats de son cousin. Elle doit accoucher dans un mois, et personne ne convient à son cousin pour la remplacer.
– Et tu crois vraiment que je conviendrais ?
– Tu as fait de superbes études. Et tu es la femme la plus forte que je connaisse. Tu es avec ton mari depuis dix ans et tu vie un calvaire depuis des années. Oui, je pense vraiment que tu y arriverais.
– Je ne suis pas encore partie Charlotte, et je pense vraiment que Jimmy peut changer.
– Comme tu veux ! Mais si tu changes d'avis, tu sais que la porte et ouverte à toute heure de jours comme de nuit.
– Merci....
– Promets-moi de réfléchir ! Ne mets pas ta vie en danger, tu es jeune belle et intelligente. Il est encore temps de te reconstruire.

Après quelques heures à discuter, mon amie s'en va en me prenant dans ses bras.

– On sera toujours là pour toi.... Je t'aime.
– Je t'aime aussi... Allez file, tu vas être en retard pour tes enfants.
– D'accord...Fait attention à toi.

Je lui souris, puis ferme a porte tous en posant ma tête dessus. Je me rends compte que tout ce dont mon amie ma dit sur mon mari est vrai. Faut-il vraiment que je parte ? Quitter pour tous recommençait ? Je me laisse la semaine pour en réfléchir, si cela reste la même situation, je partirais, c'est sûr.

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