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J'entre et monte.

Moi : je toque à sa porte Ouvre !

...

Moi : Ouvre !

Lohanne : Je veux être seule.

Moi : Tu sais que je ne vais pas te laisser.

J'essaie d'ouvrir cette porte mais elle s'est mise devant. Je la sens se mettre sur le côté et j'entre. Comme d'habitude, elle est dans le noir. Je me laisse tomber contre cette porte. Elle était à ma gauche. Sans la voir, je sentais bien sa présence. Elle ne dit rien. Moi non plus.

Je la sens renifler. Dans ma poche, il y a un mouchoir non utilisé que je lui tends.

Moi : Tiens.

Lohanne : Je ne vois pas, c'est quoi ?

Moi : Un mouchoir.

Lohanne : Merci.

Ce n'était pas chaleureux ici, c'est tendu. On pouvait entendre les mouches volaient ainsi que l'air.

Moi : Qu'est-ce que tu as ? Qu'est-ce qui t'as pris ?

Lohanne : Oh non rien. C'st seulement les règles...juste les règles. 

Moi : Vous êtes tellement bizarre les filles.

Lohanne : On sait pas ce que l'on veut.

Moi : Mmh

Je pense qu'on voulait tout simplement oublier ce qu'il venait de se passer. Je décide de me lever et la laisser.

En un instant, Lohanne a tout fait basculé dans ma tête.

Je descends et réchauffe mon plat. La faim s'est faite entendre.

La nuit tombée, je fais un tour dehors.

En ce début de mois de septembre, la nuit tombe en vers 21h. Pas trop tard pas trop tôt.

Dans ma tête c'est le néant complet mais je compte pas vous saoulez avec mes longs speech et préfère fermer ma gueule.

*

Je dépose Brahim à son université et Marjane dans son lycée.

[EN PAUSE] [2] « Un Amour Assassin »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant