Chapitre 9

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Je rentre chez moi à pied et m’allonge sur mon lit en pleurant toutes les larmes de mon corps. Quelques minutes après m’être calme j’entends frapper à ma porte.

- Adèle, laisse-moi t’expliquer.

- …

- Adèle s’il te plait... Je n’ai rien fait avec cette fille.

- Ah oui alors pourquoi tu l’as laissé te toucher ?

- C’est elle qui est arrivé et m’as sauté dessus et je n’ai pas eu le temps d’enlever ses mains de moi.

- Je suis sûr que tu as couché avec cette fille. C’est ça qu’elle te demandait ? Que tu vienne la baiser encore une fois !

- Adèle je ne peux pas changer mon passé d’accord ? J’avoue que j’étais comme ça avant mais plus maintenant, plus avec toi.

- …

- Adèle … S’il te plait fait moi confiance je n’ai pas envie de te perdre pour ça.

- …

- Adèle…

Et là j’entends des … des pleures ? Théo pleure ? Je me précipite a la porte de ma chambre et l’ouvre pour effectivement tombé sur un Théo en pleure.

- Adèle s’il te plait crois moi je n’ai jamais voulu te faire de mal.

Je sentis mes larme remonter et exploser quand je me jette dans ses bras.

- Je le sais je suis désole mais quand j’ai vu cette fille qui te touchait comme ça je ne sais pas ce qui m’est arrivé mais j’étais en colère contre toi et contre cette fille…

- Je te jure qu’il ne s’est rien passer Adèle. Quand j’ai vue Emilie arriver je t’es cherché du regard et je ne t’’est pas trouvé, c’est là qu’elle m’a dit que tu étais parti et là j’ai tout compris.  Je suis allé me doucher et me changer le plus vite possible. Je sais que ça peut porter à confusion mais je te jure que je n’ai rien fait

- Je te crois Théo. Je suis désolé

- C’est à moi de m’excuser… J’aurais dû repousser cette fille et lui faire comprendre que j’étais déjà pris par la plus belle des femmes qui existe sur terre.

Je souris en le regardant. Il se penche vers moi et je fais le reste du chemin pour poser mes lèvres sur les siennes pour un baiser d’excuse. Je l’entraine dans ma chambre et il referme la porte derrière nous. Je le plaque contre cette porte et l’embrasse plus fort. Il répond à mon baiser et me prend dans ses bras pour ensuite me poser sur mon lit, lui au-dessus de moi.

- On est pas obligé de le faire si tu ne te sent pas prête. Me dit-il.

- Si je suis prête. Ça devais être ta récompense si tu gagnais et comme tu la fait haut la main… Dis-je en rougissant.

- Tu es sûr ?

- Oui je suis sûr !

- Vraim…

- Si tu me demande encore une fois si je suis sur je te jure que je te tue !

Je rigole et l’embrasse en passant mes mains dans ses cheveux. Il sourit lui aussi. Nous commençons à nous déshabiller. Il enlève mon haut, mon soutien-gorge et mon bas en un rien de temps et je me retrouve presque nue face à lui et à son regard de braise. Je sens le rouge me monter aux joues et je me cache tant bien que mal. Il enlève mes bras et me dit :

- Tu es parfaite, tu n’as pas besoin de te cacher de moi. Jamais.

- Oui mais…

- Il n’y a pas de « mais ».

Sentiment inattendus Où les histoires vivent. Découvrez maintenant