Le Multivers ... Un mot qui fait rêver ? Un mot qui pousse l'être humain à réfléchir ? Qu'est-ce que c'est ... ? D'où vient-il ... ? Qui l'a créé ... ? Mais la question que l'on se pose le plus est la suivante : Existe-t-il vraiment ?
Tant de questi...
Fulvi se trouvait dans sa ferme, enfin ... La défunte ferme de son grand-père. Le ciel était noir et remplir de fumée, les flammes ravageaient les environs. Mais le pire dans tout cela, c'était les cris que poussaient des voix avant de s'éteindre une par une ... Jusqu'à, ce qu'il n'en reste plus qu'une qui répétait sans cesse la même chose ... Une chose indescriptible mais qui devenait de plus en plus claire ... Soudain, son grand-père, complètement carbonisé, l'agrippa par l'épaule et lui hurla : COUPABLE.
***
Une fois de plus, notre jeune héros aux cheveux océans, se réveilla en sursaut dans cette étrange salle blanche qui était sa chambre provisoire. Il venait de vivre son pire cauchemar. Évidemment, il savait que tout cela était sa faute ... Et qu'il était coupable. Mais il voulait se rattraper en menant à bien son projet futur. Il remarqua quelques instants plus tard que Joël était à son chevet en train de fumer une cigarette. L'homme le regarda d'un air froid avant de souffler sa fumée.
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Joël : Tu t'y feras ... Ces horribles cauchemars. C'est une contrepartie du pouvoir que tu as acquis.
F : Le pouvoir ... ?
Soudain, tout revint à Fulvi. Il avait complètement oublié ce qu'il avait fait à l'homme masqué ! Il l'avait tué de ses propres mains. Il avait prit une vie de plus ... Joël l'analysa calmement en se demandant comment il allait réagir. Fulvi resta un moment à regarder ses mains avant de regarder Joël avec un sourire un peu niais.
F : Joël ... L'homme que j'ai tué ... Je n'arrive pas à m'en vouloir. C'est presque comme si ... J'avais apprécié tout cela ...
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Joël fût déstabilisé durant une fraction de seconde avant de se reprendre. Comment un être aussi faible d'esprit que Fulvi pouvait dire cela ? Était-ce la gemme qui le faisait changer ? Ou avait-il enfin compris le fonctionnement de sa nouvelle vie ? Puis il se mit à rire comme si la situation était drôle.
J : Eh bien la pleureuse prend du poil de la bête ! Tu vois quand tu veux ... C'est ça être fort.
Fulvi le regardait étrangement sans rien dire, lui aussi sentait quelque chose de différent en lui, sans trop savoir ce que c'était exactement. Mais s'il y avait bien une chose dont il était persuadé, c'était le fait qu'il voulait maintenant bouger, accomplir son objectif.
