Chapitre 1

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Coucou tout le monde ici l'auteur. C'est le retour du chapitre 1. J'ai décidé de tout réécrire depuis le début donc je vous conseille de relire si vous aviez déjà commencé. Voilà comme on est confiné chez nous j'avancerais sûrement pas mal. Merci de votre attention.

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Je vais vous raconter mon histoire. L'histoire de Zélie, jeune fille de 17 ans à qui il est arrivée quelque chose d'incroyable. Tout commence alors que je m'étais évanouie.

Quand je me suis réveillée je ne savais pas pourquoi mais j'avais un mal de crâne horrible. Je ne me rappellais plus de rien... Où étais-je? Je n'en savais rien. J'étais juste couchée sur un sol tiède et complètement lisse. Je me souvenais vaguement d'une grande lumière et puis plus rien.

J'entrouvit les yeux lentement... J'étais dans un endroit entièrement blanc. Mais vraiment entièrement. J'ai cru pendant un moment que j'étais devenu aveugle. En partie parce que j'étais éblouie mais aussi que tout était tellement blanc que je ne distinguait même pas de murs. J'ai aussi envisagé l'idée d'être à l'intérieur d'un nuage. Il n'y avait pas non plus de mobilier. Pas la moindre table. C'était terriblement angoissant. Je n'avais jamais rien vu d'aussi blanc. Même les plumes de ma chouette harfang préférée aurait parues ternes dans cette endroit étincelant.

Je me redressait. Si il y a un plafond, il devait être assez haut car même en étendant les bras je ne sentais rien d'autre que l'air tiède sur ma peau. J'avais juste une question. Où est-ce que j'étais ? J'avais très vite rejeté l'hypothèse d'être aveugle. Je voyais parfaitement mes pieds et mes mains.

J'essayai d'avancer pour voir a peu près la surface de l'endroit dans lequel je me trouvais. Je rentrait aussitôt dans un mur. Il faut dire que la jeune Zélie que j'étais à l'époque n'était pas vraiment douée. Mais je savais désormais que j'étais dans une pièce. Il fallait que je réfléchisse à un plan d'action. Je m'assis donc par terre pour tenter d'y réfléchir.

Ça ne réussit qu'à m'angoisser un peu plus. J'étais coincée dans une pièce si blanche qu'elle en paraissait presque surnaturel, seule, sans rien. Ce fut trop pour moi. Je me mis à hurler et à tambouriner sur le mur. Personne ne répondit. Dans quelle genre de galère m'étais je encore fourrée? J'allais mourir si ce n'était pas déjà fait. C'était la fin. Je n'aurais même pas de tombe avec écrit Reposes en Paix Zélie...

Ne paniquez pas vous vous doutez bien que je ne suis pas morte vu que je suis là pour vous raconter mon incroyable histoire aujourd'hui. Je reprends.

Je commencais donc à pleurer. Soudain le mur devant moi disparu. Je le sais parceque j'ai voulu m'appuyer dessus et que je suis tombée en avant. J'étais dans une pièce plus grande j'imagine. Mais du même type. Vous vous dites pourquoi plus grande? Je voyais des gens au loin et puis... C'est au moment où je me faisais cette réflexion que je compris que quelque chose clochait. Des gens? Qui étaient-ils ? Que me voulaient-ils? Et POURQUOI ÉTAIT-JE LÀ ?

Je me relevais méfiante et séchai mes larmes. Je ramassai mon panier. Cela me fit remarquer que je l'avais toujours avec moi. Je me souvins alors d'autres détails d'avant mon évanouissement. Je l'avais emmené à la volière dans l'idée de faire un pique nique avant la ''lumière.'' Je me rendis compte que je ne m'étais même pas regardé pour voir ce qui avait changé. Il semblait que tout était normal. Ma robe grise plissée était toujours grise et plissée. Ma cape rouge toujours sur mes épaules. Mes collants dégradés préférés toujours dégradés. Et je portais toujours mes gants. J'essayais d'estimer ma coiffure. Elle me semblait exactement comme avant. Même la plume que j'y avait glissé était parfaitement attachée. Tout allait bien. Aucun problème. Je soufflait en posant ma main sur mon pendentif clé. Attendez quoi? Un pendentif clé ? D'où sortait il ? Non mais ça devenait n'importe quoi là! Je décidais quand même de le garder. On ne sait jamais. Et puis il avait un certain style.

CubeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant