CHAPITRE:I

36 5 3
                                    

J'essayais d'ouvrir les yeux, mais rien, rien ne se produisait. J'essayais de toute mes forces, en vain. Une main vient se poser sur mon front et je voyais, Enfin. L'ombre, la grande faucheuse fantomatique de tout à l'heure. Je pouvais voir en elle un homme. Il prit ma main et m'emmena vers le cosmos, et en un clin d'œil je me suis retrouvé dans l'espace, j'étais le cœur, le soleil de ce système. Autour de moi gravitaient  quatres planètes. 

La première était d'un marron clair et pure. Elle ressemblait à de la terre, de la terre craquelé et comme posé dessus de la végétations, beaucoup de verdures et au centre se trouvait un large trou sans vert, sans rien juste de la terre. La faucheuse la montra du doigt et tendit sa main. Je ne voulais pas. A quoi ça me servirais ? 

Je fermais les yeux et commença à réfléchir. Je vis la faucheuse, serait-ce la mort? Mais que ferait la mort ici? Pourquoi moi ? Après ces mots je vis autre chose, des étoiles, des milliers, des millions d'étoiles scintillent de milles feux. Je pouvais apercevoir toutes les constellations. Elles étaient plus gigantesques et sublime les unes que les autres. C'était si magnifique à regarder.  On aurait dit un spectacle, une danse sans fin. À chaque mouvement de celles-ci mon corps était emplit d'une joie inexplicable. Je me sentais en parfaite harmonie avec moi même. J'étais si détendu que la peur qui m'envahissait chaque minutes de voir cette faucheuse avait totalement disparue. Elle était terrifiante certe, mais je pouvait voir un homme qui m'était familier. La façon dont elle était constitué était stupéfiante et effrayante. Elle n'était que le mélange  de l'ombre et du chaos en elle je pouvais voir la mort, et sentir une odeur de sang nauséabond qui a chaque fois que je la respirais me retournait les tripes. Après ces visions très étranges je reviens à moi et vis la main de la faucheuse toujours tendu vers moi. Je la prit. 

Quelques secondes après je me retrouvais sur la planète. La sensation au touché de cette terre était très agréable, elle est sèche et poudreuse. Dans le ciel je pus réussir à lire première épreuve: "Les sables mouvants." Des sables mouvants ? Sous ces mots le sol commença à trembler et je sentais que je m'enfonçais de plus en plus, mais la sensation était tellement agréable que je n'est même pas eu le temps de réagir. En quelque minutes je me retrouvais dans le noyau de cette planète. Il était d'une couleur sombre et il faisait froid, très froid, rien ni personne ne pouvait venir me chercher. Je me sentais seul, différent. J'attendais, j'attendais, je ne comptais plus les heures qui passe tellement le temps me paraissait long et ennuyeux. Quel était le but de ses épreuves je n'y comprenais pas le sens mais la première s'intitulait "Les sables mouvants" donc je dois sortir d'ici. Je me mis debout et commença à marcher sur le noyau il finit par rouler et la terre s'ouvrit et comme par miracle je vis une liane qui c'était étendu de toute sa longueur. Elle arrivait à ma hauteur. Je la pris et fit un noeud avec. Je lança la liane, et je la vit tomber vers moi, après des dizaines de lancer la liane se coinça enfin dans une fissure de la terre et je commença à grimper à la corde. Je me sentais lourd mais je ne fléchit pas et arriver en haut je me senti épuisé. 

Il fallait que je continu, la seconde épreuve était la nature que pouvait elle symboliser. Je marcha quelques minutes la texture du sol avait changé. Il était plus rugueux, plus dur. Je m'arrêtai pour regarder la nature, après tout ce serait ça la solution ? Je me mis à observer chaque buisson, chaque fougères, chaques arbres, chaques brin d'herbes qui pouvaient symboliser n'importe quoi. Soudain ! Je vis un arbre bouger la peur m'a pris en défaut je ne bougeais plus. Quand j'entendis une voix crier COURT ! Je couru alors de toute mes forces, je courais maintenant sans m'arrêter, je me battais contre la nature. Il fallait à tout prit m'échapper de cette nature folle, qui me pourchassait. Malheureusement il fallut s'arrêter. J'étais au bord d'une falaise. La voix retentit à nouveau SAUTE ! Malgré l'absurdité du geste, je sauta et atterrit en plein cœur d'une fleur aux courbes sublimes et au pollen doux et soyeux. Je regardait autour de moi et vu de mes yeux la désolation l'endroit où aucune verdure ne poussaient. Au centre de ce mystérieux massacre, on pouvait apercevoir une pièce d'amulette serti d'or et d'émeraude, à côté se trouvait la faucheuse elle me montra la pièce et me la tendit. 

Quand je l'ai touché je vis une vision je senti quelque chose d'étrange en moi comme si j'avais déjà vécu cette situation. Je vis un tremblement de terre. La force des vibrations des ondes étaient tel que je me voyais poussé de tout côté. Quand le choc fut terminé et que mon esprit fut calme je me vis partir loin et ensuite plus rien. Une lueur blanche éclairait mon visage et j'entendais des voix autour de moi. <<Il se réveil !>> 

Quand je me réveillais j'étais allongé sur un lit d'hôpital l'infirmière qui s'occupait de moi me salua chaleureusement. Je lui demanda quel était cet endroit étrange et où est passée la faucheuse, comme je m'y attendais elle ne compris pas ce que j'ai voulu lui dire en même temps cette histoire était un peu saugrenu elle me dit juste que je serai tout en temps et en heurs et qu'il fallait que je me repose. Après ça elle partit, me laissant seul dans cette chambre sur ce lit d'hôpital.


Psychose Paranormalment dystopique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant