Ace x OC

Chapitre 4

Deux semaines s'étaient écoulées depuis mon réveil dans la marine, Sangoku me redonna mon prénom, je m'appelais Miyako Ningyō .

(signification de Miyako ; belle enfant de mars le dieu de la guerre. )

Apparemment, j'avais de la famille dans la Marine, un oncle éloigné qui se soucié peu de moi. Il était sur les mers de Grande Line et poursuivais l'équipage au chapeau de paille pour l'amusement, même si celui qui avait prit la figure de père pour moi m'avais affirmé qu'il y avait une part de vengeance sur ce qu'ils m'étaient arrivé.

Mes parents voulaient que je suive sa voie. Enfin, à ma manière, car la sienne n'était pas la plus belle... D'où mon nom. J'ai grandi dans les hauts quartiers de Dressrosa et n'ais jamais connu de réels troubles dans le fait de trouver une place dans la marine vu ma réputation et ma famille.

Tous les jours je m'entraîne. Cependant, je suis vraiment nul au combat rapproché. Je ne comprends pas comment j'ai pu arriver si haut dans la hiérarchie avec ce niveau.

Mes entraîneurs me disent que le combat s'apprends avec l'expérience et que, vu que j'ai oublié mon passé, il était normale que je devais tout reprendre à zéro. Seulement, en plus de devoir réapprendre à combattre, c'est comme si je n'avais jamais eu les muscles pour.

Au fonds de moi, je ne sais pas qui croire je reste encore un peu sur mes gardes.

J'ai du mal à m'acclimater. Comme si je n'avais jamais mis les pieds ici auparavant, comme si je n'était pas moi-même.

Mes performances sont tels que l'amiral en chef m'envoie cette nuit sur une île impossible à rentrer sauf par l'intermédiaire son impératrice Boa Hancock. Elle m'emmènera sur son bateau en cachette pour "assurer la stabilité de son empire..." pourtant de ce que je sais, on connait déjà l'emplacement de son île...

Durant ces deux semaines , j'ai eu l'autorisation de lire tout les livres, historiques, recueil ect...

En effet, papa avait remarqué mes doutes et ma dit que je pouvais tout regarder. Comme ça, s'il y avait quelques choses qui me dérangeais je pourrais lui en parler. Il m'avait assurer que vu que je n'avais pas souvenir du serment dans la Marine, il remettait en cause mon statue. Je n'avais peut-être plus de titre mais j'avais le choix ! J'ai vu leurs méthodes et même si je sais que c'est pour combattre d'horribles personnes, je ne suis pas sûr d'y adhéré aujourd'hui...

En plus, au final, on me traite avec le même respect. Mes exploits du passé on forgeait l'estime à mon égare, me dit-il.

"Ah, tu es là. Je t'ais cherché partout tu sais ? Soupira Kuzen dit Aokiji complètement blasé. Dis-moi tu n'en as pas marre d'éplucher tous les livres ennuyeux de l'Amiral en chef ? Je ne suis même pas sûr que tu en ais le droit.

Miyako- Non pour ta gouverne, j'ai le droit de lire tout les livre que je veux. Affirmais-je comiquement.

Aokiji- Je vois, je vois.... Tient j'ais oublié pourquoi je suis venue te voir moi, ....ZZZZ....

Miyako- Kuzen t'endors pas debout ! Lui criais-je dépitée par sa tenu.

Il ouvrit nonobstant ses yeux de manière nonchalant.

Aokiji- Tu sais que tu devrais pas parler ainsi à un amiral toi ?

Miyako- Accouche... Finis-je saoulée.

Aokiji- Bon, y'a des vieux qui t'appelle dans la salle du conseil des Cinq Doyens alors grouille.

Miyako- Attend tu me parles bien de...

Aokiji- Je sais que je suis long à la détente mais t'es en train de me dépasser à ce train là.

Je fis alors le plus grands sprinte de ma vie, ouvrit, claqua la porte et m'agenouilla pour m'excuser de mon retard.