Heat

La saison des amours atteind Makoto tout d'un coup.

Il prenait son petit déjeuner paisiblement lorsqu'un éléphant vint le déranger pendant ce temps calme, ou plutot, son ami d'enfance Makoto arriva en trombe dans la salle à manger.

- Haru ! appellait-il

- Pas bouger, lui ordonna l'autre d'une voix ferme et autoritaire qui eut tout de suite l'effet voulu.

Le jeune homme aux cheveux clairs s'arreta alors, net, à quelques centimètres de son ami et s'assit rapidement.

Haru lui frotta la tête gentiment

- Bon garçon, le flatta-t-il

- Je tes deja dit que je n'étais pas un chien, il repoussa doucement sa main, dépiter.

Le jeune homme à l'air impassible se leva

- Pourtant tu viens de le prouver à l'instant

Puis il partit en direction de la cuisine avec ses couverts qu'il déposa dans l'évier, quand une présence vint l'enlacer par derrière

- Haru... lui susurra son ami d'enfance qui commenca à umer son odeur

- L'odeur d'Haru... réprit-il pensif, comme pour lui meme

- C'est juste le maquereau, lui répondit son amant un peu gener, ses joues prirent une teinte rosée

- Ce n'est pas que sa...

Il commenca alors à lui taquiner le lobe d'oreille en le mordillant et le léchant, puis il s'attaqua à ses lèvres en l'embrassant passionément

- J'aime ça, lui souffla t'il

Il balada ses mains sous la chemise d'Haru, le caressant, jouant avec ces tétons.

Le brun succombait petit à petit, mais se reprit vivement l'écartant de lui

- On va être en retard, dit-il a Makoto pour le faire redescendre sur terre

Ils prirent donc leurs affaires et partirent, longant la mer comme à leur habitude.

Makoto devient un peu différent quand il est en chaleur, pensait le beau ténébreux en le regardant discrètement, il est très silencieux et il a l'air mal à l'aise.

Oh, je viens d'y repenser, mais demain c'est le début du camp d'entrainement. Peut etre a-t-il oublié ?

- Hey, l'interpella-t-il

- Hmm- ? Makoto le regarda souriant

Il ne prête même pas attention à notre conversation, pensa le brun.

-_-_-_-_-_-_-_-_-_-

La sonnerie retentie et ils regagnèrent leur place, cote à cote.

Pendant les cours Haruka observait, du coin de l'oeil, son compagnon qui avait les joues rougies et la respiration s'accadée.

Intérieurement Nanase se moqua de lui, c'est vraiment un chien.

Les cours passèrent à une vitesse folle, ainsi que les quelques heures de leur activité en club : la natation.

Ils avaient fini et les quatre membres étaient maintenant en train de se sécher et de se changer dans les vestiaires.

Makoto et Haru étaient silencieux tandis que Nagisa révisait avec Rei

- Un chien est dans la saison des amours tous les jours, récitait joyeusement le blond qui se fit vite reprendre par son camarade à lunettes.

- Ce n'est pas exacte Nagisa, le corrigeait-il, la bonne réponse est que les chiens males n'en ont pas vraiment, c'est quand les femelles sont en chaleur, elles produisent des phéromones qui les excitent.

Haru repensa soudainement aux paroles de son ami le matin, "L'odeur d'Haru", "J'aime ça".

Il se sent alors à la fois gener et contrarier, Non, c'est le problème de Makoto après tout. Sa ne pouvait pas être de sa faute.

Et vint le chemin du retour...

- Haru ! Haru ! appellait le jeune homme aux cheveux clairs depuis un moment, Attend ! Qu'est ce qui se passe ? Je-je veux aller chez toi mais... Nanase le coupa très vite

- Tu ne peux pas ! il s'arreta à quelques mètres de chez lui, Notre camp d'entrainement commence demain donc... il s'interrompit avant de reprendre, je ne suis pas un chien donc je ne veux pas, il détourna le regard, fuyant celui de son ami

- Huh ? Quoi ? demandais Makoto completement perdu, Mais Haru, tu n'es pas un chien

- Bien sur que nan ! lui cria le brun quelque peu deboussoler

- Je suis le seul qui sois un chien... répondit-il faiblement, presque inaudiblement pour son amant.

Il ne lui laissa pas le temps de réagir, il l'attrapa et l'emmena chez lui, ferma violemment la porte derrière eux et tombèrent sur le sol, à quatre pattes.

- Haru, reprit-il finalement haletant, tu sais qu'aujourd'hui j'ai été très patient.

Il defait sa braguette et fit glisser son pantalon et son caleçon jusqu'à ses genoux.

- Makoto ! Stop ! lui criait-il paniqué, demain c'est le camp d'entrainement !

Son amant se rapprocha de son oreille appuyant son engin durcit contre ses fesses, avant de lui reprendre calmement

- Je sais, declara-t-il, mais si je ne la mets pas c'est bon non ?

N'attendant pas la réponse il baissa aussi le bas d'Haru, lui releva légèrement les fesses, serant ces cuisses avant de s'enfoncer entre, excitant aussi le brun, un peu surprit mais vite heureux de cette intrusion.

Il commenca à faire des va et vient, d'abord lent, puis de plus en plus rapide pour leur plus grand bonheur.

- Haru... Haru... appelait Makoto entre deux coups, c'est si bon...

Il avait eu tellement envie de lui qu'il avait du mal à se retenir et il finit par se retirer, se déversant sur les fesses de son amant qui le fit sur le sol avant de tomber sur le coter, à bout de souffle.

- Ca va mieux maintenant ? demanda-t-il

- Oui, il le prit alors dans ses bras, mais j'ai menti, je n'en ai pas eut asser de toi, désoler...

Cette révelation fit rougir Haru qui détourna les yeux, heureux d'être aussi important pour son copain.

- Aide moi juste encore un peu, suplia-t-il en lui montrant son membre encore gorgé de plaisir.

Il allait surement devoir beaucoup faire travailler sa machoire cette nuit...

-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_

- Bonjour Haru. Allons-y, dit le jeune homme aux cheveux clairs frais comme un gardon

Il a l'air d'être redevenu normal, se dit Haru. 3 jours et 2 nuits, il soupira pensif puis regarda Makoto devant lui, Cela me va d'être la chienne si c'est se qu'il veut pensa-t-il.

Il rebaissa les yeux vers le sol, Donc dès que nous rentrons je vais mettre ce méchant chien à nouveau en chaleur...

Votez

Commentez