Me voilà soupirante
Une cantine morne et mourante
Il manque des têtes à l'appel
Ça en est presque cruel
Je flâne , je baille et je m'ennuie
Comme tous les Vendredi
Je recherche des présences
Mais des fantômes hantent cette résidence
Je ne parle pas beaucoup
Ça ne veut pas dire que je ne tiens pas à vous
Il n'y a plus aucun bavardages
Mais plus tard , je retrouverai votre sillage
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Un vendredi ordinaire
PoetryUn poème sur une jeune fille qui s'ennuie alors que sa résidence et la cantine de sa résidence sont des lieux vides