Chapitre 2

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Hugo

Cette femme est incroyable, je ne sais pas pourquoi mais je n'arrêt pas de pensé a elle. Il faut que je la voie, que je sache comment elle s'appelle, si elle est marié. Allez je prend mon courrage à deux main ma coiffe et m'habille corectement et je frape à sa porte. Elle ouvre. Wouah !! Elle est magnifique, elle porte une robe noir, qui est transparente au niveau de ces seins jusqu'a son nombril, ses cheveux blondsp et ses mèches bouclées retombent sur sa poitrine.

- Bonsoir, je me suis rendu compte que je m'était pas présenté. Hugo, Hugo CRUZ, comme vous savez je viens d'emménager, je viens de New York.

- Bonsoir, moi c'est Lina EVANS.

- Je vous dérange pas, je vois que vous êtes prête a sortir ?

- Non, non. Je sort avec des amies se soir, on se fait une soirée entre filles. Mais elles seront pas là avant 22h elles voulais toutes mangé avec leurs mari ou copain avant de sortir alors vous me déranger pas du tout.

- Ah parfait alors. Je peux vous inviter à prendre un verre chez moi ?

- Euh ! Oui bien sur. En faite sa serait mieux si c'est vous qui venez prendre un verre chez moi, comme ça je verrai quand mes amies seront arrivées.

Chez elle c'est un style mordenne, et trés classe. Je m'assied sur le canapé en cuire noir. Et elle se place juste à côté moi. Elle sent si bon, son sourire est envoutant.

Elle me tend un verre de vodka, sans se lacher du regard je lui carresse la main lentement avant de prendre mon verre.

Puis mes yeux se fixe sur sa lèvre inférieur qu'elle mordillent.

Je vais craquer. J'ai horriblement envie d'elle.

Sans que je compregne ce qui se passe, elle est assise sur moi en califourchon. Et me lèche le lobe de l'orreille. Je lui carresse les jambes, et remonte jusqu'à l'ourlet de sa robe la redresse pout lui carresser les cuisses. Elle attrape ma cravate de soie, m'attire brusquement ma bouche contre le sienne, ses lèvres sont aussi parfaite qu'elles en ont l'air, ferme et douce, puis elle me retire la cravate, m'arrache ma chemise en la déchirant et m'embrasse le torse.

J'arrive au bord de son string et passe mes doigts sous le tissu, frôle son clitoris et la pénetre. Puis je lui a arrache son string, Elle baisse la fermeture éclair de mon pantalon, me baisse mon boxer, et me serre la queue.

《 Tu es si excitante 》

Je la retourne et me place au dessus d'elle, lui écarte les jambes. Et je m'enfonce au plus profond en elle. Je l'entend gémir. Mes hanches frappent contre ces cuisses, je vais et viens, en avant en arrière, je la pénètre a fond. J'ai l'impression de me noyer en elle. Ses bras s'accrochent à mon cou, son visage s'y perd, en quelques minutes sa devient frénétique entre nous, nous crions comme des bêtes.

- Jouis... je murmure dans sa bouche en la léchant, le regard suppliant.

Mes yeux se ferment un moment, j'ai l'impression que je vais exploser en elle. Je bouge plus vite je me rempli de son odeur. Je goûtes ses clavicules, son cou, je mords son épaule.

-Embrasse-moi . Souffle-t-elle en m'attirant vers son visage. Elle se tortille sous moi, me supplie d'allez plus vite. Je sens son ventre se contracter. Ses jambes se ressetent violament autour de moi, ses cris retentissent fans mon oreille. Je serre les dents, en essayant de ne pas me laisser totalement aller. J'en veux plus, plus longtemps, je veux la sentir jouir encore une fois, avant d'avoir un orgasme.

Ses cris se font plus forts, elle gémit et cherche à reprendre sa respiration. Elle me glisse ses mains dans mes cheveux. Je tiens ses hanches je les fais bouger au même rythme que les miennes. Son corps se met a trembler et je l'attrape aussi fort que j'ose le faire. Avec un soupir profond, je laisse l'orgasme descendre le long de ma colonne vertébrale et me déchirer intérieurement.

J'ai l'impression d'entendre les murs craquer quand le silence se fait. Tout vacille dans ma tête tant la jouissance a été intense. Je suis désorienté.

J'entend comme un bruit de sonnette.

- Oh merde ! Les filles.

- Hého, Lina tu nous ouvre ? Qu'est-ce que tu fais ?

-J'arrive, j'arrive. crit-elle

Je me r'habille comme je peux elle aussi, sans se dire un seul mot.

- Je dois l'y allez. Tu claquera la porte derrière toi. Finit-elle par le dire sans même me regarder avant de partir.

Le Voisin SexyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant