Solène
Voilà, déjà le dernier jour de ma formation en tant que secrétaire. Bianca est toutes énerver à l'idée d'être enfin en repos et pouvoir me relooké. Je suis seul au bureau, quand un homme blond aux yeux bleu, m'interpelle.
– Bonjour ! Jolie demoiselle !
Je le regarde avec un sourire. Il n'est pas mal non plus. Je reprends un peu de sérieux pour lui demander s'il a rendez-vous.
– Non ! Pas de rendez-vous ! Mais peux être qu'avec vous, ce serait possible.
Je suis intimidée, aucun homme ne mon parler comme cela depuis un bon moment.
– Alors, qu'est-ce que vous en dites ?
– Hein ? Quoi ?
– Un rendez-vous tous les deux uns de ses jours ?
– Désolé, je ne suis pas intéressé !
– Ah bon ?
– Je suis en train de travailler Monsieur, alors je vous prie de garder votre droguerie pour quelqu'un d'autre.
– Très bien, je vais aller voir si Aaron est là.
– Monsieur ! Non ! Vous n'avez pas le droit d'entrer s'en que je vous ai annoncé. Dis-je en me mettant devant la porte pour lui barrer la route.
Il se rapproche alors très prêts de moi. Je peux sentir son parfum musquer dans mes narines. Je suis un peu plus petite que lui alors quand je lève ma tête, je me retrouve nez à nez avec lui.
– Qu'est-ce qui se passe ?
– Je vais vous annoncer à Monsieur....
Et voilà que la porte s'ouvre et que je manque de tomber en arrière. Mais Monsieur Fuentes me rattrape de justesse. Je me redresse alors mal à l'aise.
– Monsieur Fuentes, ce Monsieur désire vous voir !
– Aaron comment va tu mon ami ?
– Steven, un plaisir de te revoir. Entre ! Merci Mademoiselle.
Je retourne donc à mon bureau, honteuse de ce qu'il vient de se passer.Aaron
– Qu'est-ce que tu fais ici, Steven ?
– Je suis venu te voir ! Cela fait des lustre que tu n'es pas venu me voir moi ni mes filles.
– J'ai du boulot !
– Boulot ! Boulot ! Tu ne penses donc jamais à toi ?
C'est vrai, que cela fait un petit moment que je ne me suis pas rendu dans son club. Mais avec le départ de Bianca, je n'ai pas le temps d'aller m'amusai.
– Comme tu peux le voir, j'ai une nouvelle secrétaire qui va prendre la place de Bianca, je doit donc vérifier qu'elle fait bien son travail.
– Oui, j'ai vu ça ! Elle est plutôt charmante. Mais pas facile à draguer.
– Steven, tu ne dragues pas mes employées.Mon ami soupire et lève les yeux au ciel.
– Tu n'es pas drôle ! Je ne peux pas draguer ta cousine, là, c'est ta nouvelle secrétaire que je ne peux pas draguer. Quoi ?... Mmh ta un faible pour elle ?
– Ne dis pas n'importe quoi ! Si tu veux la draguer, vas-y, tu as carte blanche. Je le vois me jauger et plisser les yeux. Il frotte son menton puis ce redresse sur son siège
– Mouais ! Mais ça ne serait pas drôle de la draguer seul. On fait un pari, celui qui la mets en premiers dans son lit à gagné.
– Non Steven ! J'ai passé ce stade de connerie.
– Tu n'es vraiment pas drôle depuis que tu as ouvert ton cabinet.
– Hey oui mon pauvre ami, je deviens sérieux !
– Toi sérieux ? Non, jamais je pourrais y croire.
– Et pourtant !
– Tu dis cela parce que tu es avec Dolorès ? Mais ta chère et tendre te trompent à tout-va et tu le sais aussi bien que moi.
– Nous sommes libres de faire ce que l'on veut.
– Alors un petit pari ne te fera rien hein ?
– Non Steven ! Tout ce que tu veux, mais pas ça.
– Mais merde alors ! Tu te ramollis mon pauvre. Bon, je ne tirerais rien de toi aujourd'hui, je préfère partir. À la prochaine ! Mais sache que j'ai bien l'intention de draguer ta petite secrétaire.
Il me sourit puis s'en va de mon bureau laissant la porte ouverte, pour que je l'entends dire bonsoir à ma secrétaire. Quelques heures plus tard, ma cousine entre dans mon bureau.
– Aaron nous allons partir.
– Très bien !
– Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Te amo prima (je t'aime cousin.) me dit elle en me prenant dans les bras.
– Prenait soin de vous et dit bonjour à la famille.
– Je ne pars qu'en fin de semaines prochaines, j'espère que tu passera nous voir avant notre départ.
– Bien sûr !
– J'y vais ! Gracias (merci)
– Appelle moi Mademoiselle Simon.
Elle me fait oui de la tête, une petite minute après le petit minois de Simon passe à la porte.
– Vous m'avez fait demander ? Me demande elle intimidée.
– Oui entrer Mademoiselle Simon ! Je n'en aurais pas pour longtemps. Asseyez-vous !
Elle fait ce que je lui demande, mais ne me regarde pas.
– Je voulais vous dire que vous faite du bon travaille. Et que vos efforts vestimentaires son... Remarquable. Continuer ainsi.
– Merci Monsieur. Je voudrais m'excuser pour tout à l'heure avec votre ami.
– Ce n'est rien Steven peux être très... Collant. Rester professionnelle et tous ira bien.
– Merci. Monsieur. Passer un bon week-end. À lundi ! Me sourit elle. A ce moment là je me perd dans ses yeux. Elle est tellement belle quand elle sourit. Quoi? N'importe quoi Aaron reprend toi mon gars.
– Oui ! À lundi ! Dis je fermement
Je me retrouve seul dans mon bureau, une petite sorti s'impose. J'appelle Steven, pour lui dire que je vais passer ce soir à son club, j'ai besoin de décompresser. Et pas spécialement de boire, mais j'ai besoin aussi de relâcher toutes les tension de mon corps en couchant avec une ou deux femmes ce soir si ce ne sont pas trois.Solène
Le week-end à étais une vrai torture. Bianca m'a trimbalé de magasin en magasin. Nous sommes sortie avec plusieurs paquets de chaque boutique. Elle ma relooké vraiment de la tête aux pieds, car oui, la coiffure manucure, épilation tous y est passer et je peux vous dire que ma carte bleue en à pleurer.
Nous sommes lundi, je me prépare pour aller travailler seul cette fois. La veille, j'ai choisi la tenu préférer à Bianca, une jupe crayon en simili cuire et un haut blanc colle rouler s'en manches et des escarpins noir pour assortir le tous. J'attache mes cheveux en chignon décoiffé avec une sorte de baguette chinoise, me maquille légèrement.
Après de multiple compliment de Bianca, je pars enfin travailler. Ce qui est bien sait que le cabinet se trouve à cinq minutes de chez Bianca. J'ouvre le cabinet, et part à mon poste de travail. J'allume mon ordinateur, et sort les dossiers de la semaine. Part en salle de pose et prépare le café. Je retourne à mon bureau et vois que le bureau de mon patron et ouvert, je me dirige vers celui-ci pour le saluer. Je frappe doucement à la porte. Quand, il me permet d'entrée, j'avance doucement dans la pièce.
– Bonjour Monsieur ! Désirer vous un café ?
Il lève les yeux sur moi, et écarquille les yeux. Les secondes passe s'en qu'il ne répond quoi que ce soit. Il me détaille ce qui est des plus déstabilisant. Je perds patiente. Je m'éclaircis la voix et reprends avec plus de volonté.
– Monsieur?
– Oui...Mademoiselle ?
– Désiré vous un café ?
– Non merci, j'en prendrais un plus tard ! Me dit-il en fronçant les sourcils, ce qui lui donne un air plus sévère.
Je lui souris puis repars à mon poste de travail, je me demande pourquoi il m'a regardé ainsi. Bref, je me mets au travail j'ai beaucoup de chose à rédiger, à envoyer et à classer pour les rendez-vous à venir.Aaron
Quand, ma secrétaire et venu dans mon bureau ce matin, je n'en croyais pas mes yeux. J'ai cru rêver. Alors, je ne vous parle même pas de la visite de Steven ce jour la, il ne la lâcher plu.
– Putain, mon ami, ta secrétaire est encore plu bonne que la semaine passer.
– Concentre-toi, tu veux. Pourquoi, tu voulais me voir ?
– Oui. Bon, j'ai besoin de toi enfin, j'ai besoin de l'avocat.
– Pour ?
– L'ancien proprio de mon club, veut récupérer ce qui lui appartient.
– Mais, tu na pas acheter ce Club ?
– Si, mais il dit que le terrain ou se trouve mon Club et encore à lui.
– Est ce que tu a ramener ton contrat ?
– Bien évidemment !
Je regarde le contrat avec attention et lis toutes les petites lignes, pour ne rien mettre de coter. Soudain trois petits coups à la porte.
– Entrer !
Le petit minois de ma secrétaire apparaît dans l'embrasure de la porte. Ce qui n'est pas pour déplaire à mon ami.
– Mademoiselle ?
– Messieurs excusez-moi de vous déranger, mais il y a une Dame qui demande pour que vous la représenter pour son divorce.
– Je ne fais pas dans les divorces !
– Pourquoi ? Dis elle étonnée
– Parce que c'est comme ça !
– Mais vous êtes avocat, donc vous devez défendre n'importe quel dossier !
Elle commence à m'énerver sérieusement, je lève la tête et encre mon regard au siens.
– Oui, je suis avocat Mademoiselle Simon. Donc, j'ai le droit de choisir les dossiers que j'ai envie.Donc, allez lui dire que je ne défends pas les mariages qui ont échouer.
Elle écarquille les yeux de ce que je viens de dire. Son regard devient plu sévère, plus sexy. Quoi ? Arrête ça tout de suite !
– Je ne peux pas lui dire cela !
– Vous n'êtes pas là pour me tenir tête, allez lui dire que je ne la représenterais pas.
Je la regarde furieux elle en fait de même, aucun des deux à l'intention de baisser les yeux. Quand, Steven intervient.– Mademoiselle Simon !
– Lopez ! Je préfère que l'on m'appelle Mademoiselle Lopez !
– Mademoiselle Lopez ! Mon ami est en plein travail. Allez donc expliquer à cette dame que Monsieur Fuentes ne pourra la représenter pour manque de temps.
– Bien, si c'est ce que vous désirez. Dis elle en me fixant
Elle me regarde en biais, puis claque doucement la porte.
– Tu vois pas besoin d'être brusque avec elle. De toute façon, tu vois dans son regard qu'elle à aussi mauvais caractère que toi mon ami.
– Oui peut-être... Reprenons !
La journée à étais assez longue entre le dossier de Steven et d'autres un peu plus complexe, je me sens complètement user. Je me lève et m'étire un peu avant de sortir de mon bureau. Je regarde le bureau de Mademoiselle Lopez, il est vide.Est ce qu'elle serait déjà partie ? Étrange, même en colère elle viendrais, me saluer. Et puis son ordinateur est encore allumé, peu être est elle dans la salle de pause. Je devrais aller la voir et m'excuser de mon comportement de tout à l'heure. Mais alors que je vais vers la salle de pause, j'entends une voix féminine, elle à l'air d'avoir besoin d'aide.
– Lâche-moi !
Que ce passe t-il ? Est ce que je devrais intervenir ?
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The love of your life
FanfictionSolène est en couple depuis 10 ans avec Jimmy tous aller pour le mieux quand le coter pervers narcissique de Jimmy est sorti au grand jour 3 ans après leur mariage. Solène en ayant marre de ce faire rabaisser chaque jour, décide aider de son amie de...