Bradley Wayne se remet peut à peut de la mort de Sa femme, Lorsqu'il rencontre jordanne black, une belle métisse aux formes sensuelle, croyant avoir assez souffert, Bradley ne ce se doute pas une seconde que c'est cette belle ensorceleuse qui lui fe...
Arrêter au milieu du salon, je regardais autour de moi émerveillée, pendant que je l'entendais parler dans une langue étrangère à une femme d'une quarantaine d'année dans la cuisine.
La dernière fois qu'il m' avait envoiyer ici après m'être évanoui au beau milieu de la route, j'avais pas pris le temps de regarder les lieux. Tous ce que je voulais, c'était sortir de ce lui trop plein de lux.
Le salon était très spacieux et décorés avec beaucoup de goût. Un escalier en spirale avec des parois en verre montais à l'étage supérieur. Deux grand canapé en L de couleur crème et deux fauteuils trônait au milieu de la pièces en dessous du quel il y avait un grand tapis de la même couleur, qui était d'aspect très moelleux, ainsi qu'une grande table basse en verre.( Photodessous)
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Plusieurs lutres étaient accrochés au plafond et une grande bair vitrée qui fesait tous le long du salon, donnait une vu époustouflante sur la ville.
Sur le côté droit , il avait un grand coin cuisine et un bar ainsi qu'une grande table à manger tout en verre elle aussi.
De l'autre côté trônait un grand piano à queue noir.
Je souriais en m'approchant.
Je l'effleurais du boue des doigts quand mon regard ce posait sur une grande étagère plein de vieux disques. Je les parcourais du regard, il y avait tous les grand single de grand artiste. Mes yeux s'arrêtaient sur un en particulier.
Mon souri s'élargir quand je le pris entre mes mains.
- Nina Simone... Tu aime ? me sursurai Bradley à l'oreille.
Mon corps se tendis. Je l'avais pas entendu approcher et son souffle chaud qui me caressait la nuque me fit frissonner.
Je tournais la tête sur le côté mais sans me retourner.
- j'aime pas... Mais j'adore ! Petite, quand mon père n'allait pas jouer avec son groupe de jazz et qu'il restait à la maison, il fesait résonner ses tubes en boucle dans la maison. La voix de cette femme m'a baisser toute mon enfance.
-je voie d'où te viens ton goût pour la musique.
Il me tendit un verre de vin.
-viens. Dit-il en me prenant la main.
Il me conduisit de l'autre côté de la pièce ou différent plats était disposer sur la table. il tira la chaise près de la sienne et m'invita à m'asseoir.
Je fis une grimace. bien vrais que tous ceci étaient alléchant, mais je n'avais vraiment pas l'appétit. J'avais encore l'estomac nouer à cause de ma dispute avec bonny que je n'avais pas encore digérer.
