Frustré, en colère, non ce n'était pas les bons sentiments. Il était ivre d'un désir sauvage qui risquait de la tuer de la plus merveilleuse des façons. Il la regarda, la détailla dans toute ses petites coutures. Elle était belle sans trop l'être. La seul raison de sa présence ici fut ses courbes généreuses. Des seins bien portés et un fessier offrant de large possibilité. Cette femme était un sacrifice, un jouet satisfaisant les moindres de ses désirs. Et bien plus encore.
Elle posa sa main délicate sur ce torse viril sans trop savoir quoi faire. Elle voulait sentir quelque chose, une alchimie peut-être. Mais rien. Elle continua malgré cela son exploration. Ses mains timide descendirent de plus en plus bas sans le vouloir. Heureusement, ces deux complices furent arrêtées de justesse. La jeune femme dut alors relever le yeux et croisa deux prunelles rouge sang. A cet instant, elle ne ressenti ni peur ni joie. Juste un devoir de pur dévotion. Oui, elle devait s'abandonné sans retenue sans taboue.
Il s'avança jusqu'à l'emprisonner dans un étau de luxure. Puis il huma sa poitrine, son coup pour finalement s'emparer de ses lèvres qu'elle lui céda volontiers. D'une habile caresse de la langue, il l'a fit frémir de tout son âme. Il entrouvrit sa bouche pour s'y plonger avec plus d'ivresse. Dépassée par l'afflux de sensation violentes qu'il éveillait en elle, elle noua les bras ses bras autour de son cou pour se retenir à lui. Ses jambes s'étaient transformées en coton. Sa reddition total ne semblait pas le surprendre mais plutôt l'ennuyer. Ses prunelles rouge la déshabilla cet fois-ci. Arrachant toute la pudeur de sa promise d'un soir.
- Prenez-moi, murmura t'elle comme une prière. Prenez-moi.
Et alors, il exauça même les souhaits qu'elle n'avait pas réussi à formuler. L'homme l'embrassa de nouveau, profondément, intensément, comme s'il extrayait son âme pur de son corps. Elle ne put répondre qu'avec ardeur et fièvre à cette appel à la débauche. Il lui mordit la langue. Une note métallique vint agrémenter leur salive. C'était douloureux, mais terriblement existant. Un petit gémissement l'échappa faisant sourire son vis-à-vis. Cet tendresse se mua en petit à petit en sauvage manipulation. Très vite, la jeune femme succomba à l'exquise perfection de ses baisers voraces. Du bout des doigts, il effleura sa joue jusqu'à son sein imposant. Sa main commença à jouer avec avidité. Ses tétons se dressèrent immédiatement à son contact. Puis le genou de l'homme fraya un chemin entre ses cuisses pour venir stimuler son petit bouton de plaisir. Il le caressa à un rythme beaucoup trop lent. L'homme la regarda alors se consumer de plaisir. Un vague de chaleur se déversa sur son genou malgré l'épaisseur de la culotte en coton. Cette vision débrider renforça le désir de l'homme.
Tous ses muscles se raidissent, ses veines se mirent bouillir et à gonfler. Son sexe était dur comme de la roche. Les choses sérieuses allaient débuter. Il la retourna violement, face contre le mur froid de la ruelle. Il déposa un baiser au creux de sa gorge tandis que les fesses ondulaient contre son sexe. Un frisson de pur délice dévala son échine. Emporté par le ras-de marée, la novice avait la bouche entrouverte sur un souffle haletant, les joues rosie par l'excitation, les mains crispées sur la pierre. Elle attendait. Nan ! Demandait la délivrance. Il déchira les derniers rempart et la posséda.
Un long râle sortit de la bouche de la demoiselle rapidement étouffer par une large main. L'homme laissa le premier filait de sang dévaler la cuisse de la jeune femme avant d'entamer les premiers va et viens. Ces petits coup se transformèrent brusquement en violent mouvement de riens. Il devait ralentir la cadence mais il en était incapable. Il n'y arrivait pas. Il venait et sortait. Le bruit de leurs peaux qui s'entrechoquaient, fut une douce mélodie à ses oreilles.
- Plus profondément, articula t'elle entre deux respirations.
Elle n'aurait jamais dû dire cela. Il tira ses hanches si fort qu'il laissa des marques violacées de ses doigts. Le corps de la jeune femme forma alors un parfait angle droit. Chaque partie d'elle lui appartenait à présent : sa peau transpirante, sa bouche timide, ses seins moelleux, le creux de son intimidé qui l'attirait vers l'Enfer. Sa retenue s'envola en éclat, se brisant dans les reins qu'il maltraitait. L'envie de faire durer le plaisir et son besoin altruiste de la faire jouir disparurent dans la brume de l'extase. Des larmes dévalèrent ses petites joues rouge. Le plaisir était trop grand pour elle. Il la redressa contre son torse sans cesser de se mouvoir en elle. Il empoigna ensuite ses seins qui molesta.
Finalement, il succomba. Et elle aussi. Elle jouit avec une force qu'elle ne soupçonnait pas. Un dernier soupir de plaisir traversa ses lèvres. C'était cela le septième ciel songea la novice. Son corps se mit brusquement à trembler comme une feuille puis elle tomba pantelante sur le sol humide. Quant à son partenaire, l'orgasme lu coupa la raison. Il regarda le corps se détacher de son membre sans aucune émotion. Il s'accroupit et regarda le corps encore brulant de leur ébats. Il posa sa cape pour couvrir sa nudité avant de partir sans se retourner.
Elle était morte.
C'est l'extrait d'un livre en cours d'écriture, la suite du premier volet de :
https://www.wattpad.com/story/135247398-aeternum-fatum-ad-vivo-tome-i
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P'tites histoires sortant d'un bazar
RandomC'est un recueil de petites histoires qui sortent de temps en temps de mon cerveau en bazar.