Part II

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Lundi, une journée que je déteste tellement dans la semaine et sûrement je n'étais pas le seul. Il sonnait 6h 45 minutes et mon réveil résonnait. Il faisait un bruit tellement fort qu'il peut réveiller dans un rayon de 10 km. La fatigue du dimanche me retenait au lit mais je percevais aussi le cris de tous les travaux qui m'attendaient au service. La vie d'un homme. J'aurai souhaiter être une femme et laisser toutes mes charges sur mon mari.
Somnolant, je me levai du lit et me rendit à la douche de pas lourds.
Après quelques minutes, j'étais prêt. Chemise blanche piquée dans un Jean pantalon bleu sur une chaussure noire. Je descendis au salon et Christine était assise sur le canapé, Georges dans ses bras prenait ses tétons dans sa bouche et dégustait. Un petit bout de moi qui me ragaillardait à chaque fois que je suis triste.

L'air pensif, j'étais hypnotisé devant l'écran de mon ordinateur quand madame Yvonne rentra. Son parfum envahit mon bureau et elle me dévisageait.
_ Bonjour madame. Bredouillai-je en essayant d'éteindre la musique qui me détendait.
_ Bonjour Henri. Comment tu vas? Me demanda-t-elle avec un grand sourire.
_ Je vais bien madame. Merci
_ Super. Après tu passes me voir au bureau. J'ai un truc urgent à te montrer.
_ D'accord madame. L'air innocent, j'étais le bon petit employé. Elle ferma la porte et depuis l'intérieur de mon bureau, je pouvais entendre le bruit de ses talons qui frappaient contre la sol cimenté.
_ Une sacrée femme. Soufflai-je. J'essayais de l'imaginer au foyer. Elle doit être très autoritaire. Parfois, j'avais peur du regard qu'elle nous jetait quand il y'a du boulot. C'était une femme téméraire, elle avait monté à elle seule l'entreprise et la maintient toujours en bon état. Son slogan c'est «Que l'échec ne vous fasse pas croire que vous n'avez pas les potentialités nécessaires pour y arriver. Apprenez plutôt de vos échecs et avancer plus intelligemment».

Je me précipitai juste quelques minutes après elle pour la rejoindre parce que j'étais impatient d'écouter ce qu'elle avait à me dire.
Elle était assise derrière sa table, les verres sur le nez, et laissa les premiers boutons de sa chemise ouverts. Ce qui laissait une vue parfaite sur la hauteur de ses seins. Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter des coups d'œil pendant qu'elle me parlait. Elle avait une beauté sans pareille et le don de me mettre hors de moi. Je me ressaisis et essaya de rester concentrer sur ce qu'elle me disait. Mon rôle était de travailler pas de fantasmer sur les jolis seins de ma patronne.
_ A la fin, tu m'accompagneras faire quelques courses. Je te deposerai chez toi après.
J'imaginais déjà tout un long trajet avec elle. La soirée promet d'être longue.

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